" Mes amis , réveillons-nous . Assez d'injustices ! " L'Abbé Pierre

mardi 26 mai 2015

des reves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns ...

 
 
" Je vous souhaite des reves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns. Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier. Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences. Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil et des rires d'enfants. Je vous souhaite de respecter la différence des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir. Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence et aux vertus négatives de notre époque. Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l'aventure, à la vie, à l'amour car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille. Je vous souhaite surtout d'etre vous, fier de l'etre et heureux, car le bonheur est notre destin véritable. "

Voeux du chanteur Jacques BREL le 1er janvier 1968 sur Europe1 radio.


 
Il avait tout compris ...

lundi 25 mai 2015

en appelant ouvertement à la guerre contre Bachar el-Assad, le président Français François Hollande a commis encore une faute grave !

La conquête par les djihadistes de l’Etat Islamique de la ville de Palmyre, l'un des plus importants foyers culturels antiques, a mis en pleine lumière l'indifférence et l'immobilisme de la coalition internationale qui a préféré sacrifier les populations civiles et un patrimoine inestimable plutôt que d'apporter son concours à l'armée syrienne.
Dans ce contexte de chaos généralisé, on ne répétera jamais assez combien la responsabilité des gouvernements UMP et PS est grande dans la flambée djihadiste, que ce soit au Proche Orient ou au Maghreb. En soutenant et en aidant diverses factions islamistes en Syrie et en appelant ouvertement à la guerre contre Bachar el-Assad, le président Français François Hollande a commis une faute grave. Si on ajoute l'action du précédent président Français Nicolas Sarkozy, qui a engendré le chaos et l'expansion des islamistes en Libye, le discrédit de la classe politique UMPS est total !

 

dimanche 24 mai 2015

La France est devenue une énarchie bananière !


l’indignation collective au regard de l'impunité de la nouvelle noblesse !

 



Dans un pays ayant théoriquement aboli les privilèges la nuit du 4 août 1789 et dans lequel la noblesse, le clergé et le tiers-état ont été remplacés par les seuls citoyens, on serait en droit d’espérer que tous les citoyens soient logés à la même enseigne mais, comme dirait le proverbe : " on peut toujours rêver "…
 

Les frais de taxis de la présidente de l'INA :





On passe pourtant du rêve au cauchemar en apprenant que l’ex directrice de l’INA ( Institut National de l’Audiovisuel) remerciée pour ses notes de taxis frôlant les 41000 euros en dix mois, dont 7600 pour son fils, alors qu’elle bénéficiait d’un véhicule de fonction avec chauffeur, vient d’être recasée. C’est dans son ministère d’origine, la culture, qu’a été crée un poste sur mesure de " chargée de mission sur les questions de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences ".
 
 
Inutile de dire que ceci laisse rêveur dans la période de chômage de masse et d’insécurité sociale que nous vivons, dans un pays où des salariés de supermarchés ont été licenciés pour avoir pris des produits périmés qui avaient été bennés… Inutile de dire que l’impunité dont bénéficient les membres de la nouvelle noblesse officielle, les énarques, même après s’être tout permis avec l’argent des contribuables, fait sonner des envies de révolte dans un pays où on demande chaque jour aux citoyens de se serrer toujours plus la ceinture, de hausses d’impôts en stagnation des salaires, de baisse des remboursements en cas de maladie à réduction de la durée d’indemnisation des chômeurs.

L'impunité de la nouvelle noblesse républicaine :





Inutile de dire que le sentiment d’impunité de cette nouvelle noblesse est total pour que celle-ci se permette de créer un poste sur mesure mais dont l’utilité pour la collectivité reste à démontrer dans un délai aussi court alors que le comportement de cette personne a choqué l’ensemble du pays. Inutile de dire qu’en voyant ceci les Français pensent que le terme " égalité " dans le triptyque républicain relève de la gageure mais que le terme " fraternité " apparaît là dans toute sa splendeur au sein de nos élites cosanguines.

Bref dans l’énarchie bananière qu’est devenue la France, il y a des envies de nuit du 4 août qui gratouillent de plus en plus de Français et, si rien n’est fait, ce n’est plus de 1789 et d’abolition des privilèges qu’il sera question mais plus prosaïquement de 1793 et de têtes de nobles tombant en Place de Grève. De 1789 à 1793, il n’y eut que quatre ans. Il va donc falloir agir très vite pour que les envies de jacqueries que le comportement de certains légitimerait ne deviennent pas réalité d’ici peu.
 
 
 
 
 
 
 
 


Nous devons mettre un terme à cette mascarade, à cette boucherie en France ! avant 2017 !

Le nombre des chômeurs continue de progresser à une allure vertigineuse : toutes catégories confondues, on dénombrait presque 5,9 millions de demandeurs d'emploi fin 2014, soit +312 900 depuis un an et +919 000 depuis mai 2012.
Observez vous-même encore le résultat à cause de ce fourbe Hollande et des politiciens de droite comme de gauche à leur solde :
l'industrie Française en ruine , des chômeurs par millions tout comme l'immigration d'ailleurs, hausses des impôts par milliards, des dizaines de milliers de sdf errant dans nos rues , des retraités et des jeunes qui font les poubelles le soir pour se nourrir, des jeunes qui se prostituent pour se nourrir et payer leurs etudes, des fermetures de creche et d'hopitaux incessants, une population de plus en plus precaire et en mauvaise santé ... etc etc....... et maintenant le secours populaire qui nous alerte que plus de la moitié des Français sont guettés par la pauvreté (magazine Le Point.fr et journal Le Monde.fr du 11/09/2014) ! Nous sommes déjà 9 millions de pauvres déclarés !
voilà la raison pour laquelle nous devons descendre tres rapidemment dans la rue pour faire la peau à cet infame imposteur menteur fourbe Hollande, Valls, Mini Macron et sa mafia socialiste (qui d'ailleurs sont des usurpateurs car ils ne sont pas du tout socialistes tant ils méprisent leur peuple) .
 

 

Quand va t-on se décider à mettre un terme à ce véritable terrorisme démocratique et social !?

L'objectif non avoué de ce gouvernement de tordus est de ... Stigmatiser les Prud’hommes pour privatiser la justice !
La presse a largement relayé les dires de l’avocat Hubert Flichy, qui prétend inventer un dispositif nouveau en proposant de réaliser des arbitrages privés pour régler les litiges du travail. On a vu ce que donne l’arbitrage, justice privée, dans le cas de l’affaire Tapie… Des centaines de millions pour l’entrepreneur…et de multiples procès en conséquence.
 
 
Le prétexte tout trouvé pour le Cabinet Flichy est la lenteur de la justice prud’homale. Les délais et les coûts devraient être moindres que ceux des prud’hommes dit cette propagande…. Difficile… l’accès aux Prud’hommes est gratuit… Quant à la lenteur, il suffit de venir assister à une audience de bureau de jugement dans un Conseil de Prud’hommes : les avocats des employeurs ou ceux des salariés ne cessent de demander des renvois, ils n’ont pas encore pu établir la preuve, les conclusions ne sont pas arrivées à temps, l’un a reçu des nouvelles pièces la nuit précédant l’audience, et comme ils disent " en toute confraternité, ils ne s’opposent pas au renvoi demandé par le confrère ". Alors que devant de tels procédés dilatoires, il leur serait possible de dire qu’ils plaident, ce qu’une minorité consciencieuse d’ailleurs fait. Ces renvois qui sont une raison majeure des délais dans les Conseils de Prud’hommes, au-delà du manque criant de moyens de cette juridiction, et ils sont bien sûr imputés aux juges prud’homaux qui n’en peuvent mais.
Selon l’avocat Flichy qui définit son projet " Les parties choisissent un ou plusieurs arbitres – en nombre impair- leur confiant un rôle de juge, un vrai juge. Il n’y a pas d’appel possible à moins qu’il ne soit prévu par les parties à la cour d’appel, exactement comme pour le jugement des Prud’hommes ou du TGI". Cette citation appelle deux commentaires : les juges des prud’hommes seraient des faux juges ? Par ailleurs les décisions des Prud’hommes au-delà de 4000 euros sont automatiquement susceptibles d’appel. Il n’est pas nécessaire de le prévoir explicitement.
Monsieur Hubert Flichy trouve que l’audience de référé tient des séances pathétiques où les gens sont perdus. Certes, un citoyen à qui des salaires n’ont pas été payés, parfois quelques centaines d’euros pour ceux relevant des statuts les plus précaires, vient sans avocat, se défend comme il peut, et c’est au juge de dire le droit, d’évaluer les preuves, d’interroger l’entreprise et le salarié pour décider si il y a lieu ou pas à condamnation. Cette possibilité d’arriver devant le juge sans conclusion écrite, sans avocat, pour demander que justice soit rapidement faite (l’audience de référé se tient dans les 15 jours, ainsi que le rendu de la décision) est une grande construction démocratique. Le statut des juges prud’homaux qui viennent de l’entreprise leur donne une grande compréhension de la situation des salariés et des entrepreneurs. Penser que ce citoyen sera mieux traité par une justice payante privée, dont le coût dépassera éventuellement ce qu’il réclame dans le litige est assez cocasse, ou grinçant.
Par ailleurs, dans les conseils de prud’hommes, le bureau de conciliation, qui se tient à huis clos, et là pour tenter de régler le litige, faire discuter les parties (la personne qui est présumée avoir subi une injustice et l’employeur qui est présumé avoir commis une injustice – ou parfois l’inverse). L’ordonnance de conciliation est un document secret, et les parties qui la signent sont tenues au secret. Ensuite, pendant le délai qui se passe entre le bureau de conciliation et le bureau de jugement, environ 30% des affaires " disparaissent ". Des transactions ont lieu qui entraînent des désistements d’instance et d’action, le litige s’arrête car une solution a été trouvée suite à la discussion de conciliation.
La nouveauté est que les avocats avaient l’habitude de traiter les litiges des entreprises avec leurs cadres dirigeants, et d’établir, dans la tiédeur des palaces, des compromis juteux secrets pour faciliter le départ des cadres devenus indésirables. Or, de plus en plus, ces cadres dirigeants se pressent dans la section encadrement des Conseils de Prud’hommes, pensant peut-être avec raison, que l’application stricte du droit du travail leur rendrait plus justice devant des employeurs multinationaux devenus intransigeants et qui les licencient " comme des ouvriers ". De plus, l’explosion du nombre de ruptures conventionnelles – plus de 300 000 par an - , et la création de structures de soutien en ligne à bas coût, a privé les avocats d’un large marché.
Evidemment, les Prud’hommes sont gratuits… et certains avocats souhaitent récupérer cette clientèle… Et la propagande vient dénigrer les prud’hommes au moment où les projets des lois MACRON et REBSAMEN s’attaquent frontalement aux institutions du travail et aux droits du travail.
Bizarre, vous avez dit bizarre ????
il n'y a rien de bon à attendre du pouvoir méprisant à la tête de ce pays !
Bref, le délitement social poursuit sa route, pépère, sans trop de remouds...
Quand va t-on se décider à mettre un terme à ce véritable terrorisme démocratique et social !?
 
 
 
 
Si on prend le recul nécéssaire, on s aperçoit que les machoires d un plan très calculé se ressere sur nous. D un coté on liquide les garanties qui bénéficient aux salariés et de l autre on pond des lois très floues qui laisseront à nos gouvernants toute lattitude pour étouffer dans l oeuf toute contestation.
 
 
 
 
 


 
 

la France est l'un des pays développés où les inégalités entre les riches et les pauvres se sont le plus creusées !

Ces dernières années, la France est l'un des pays développés où les inégalités entre les riches et les pauvres se sont le plus creusées !

Jusque-là, la France échappait plutôt à la règle qui veut que les écarts entre privilégiés et défavorisés se creusent au fil des ans. Mais cette ère est révolue. Ces dernières années, la France est l'un des pays développés où les inégalités entre les riches et les pauvres se sont le plus creusées, d’après un rapport de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).


Pauvre un jour, pauvre toujours ?




Certes la France reste moins inégalitaire que la moyenne des 34 pays de l’OCDE, mais pour combien de temps ? Les inégalités ont davantage augmenté dans l'Hexagone que dans les autres pays entre 2007 et 2011. En 2007, les plus riches gagnaient par exemple 6,8 fois plus que les plus pauvres. En 2013, ils gagnaient 7,4 fois plus (contre 9,6 fois plus dans la zone OCDE).

Les riches ont continué à s’enrichir (les 10% de personnes ayant les revenus les plus élevés ont vu leur revenu augmenter de 2% par an en moyenne), et les pauvres à s’appauvrir (les 10% de personnes avec les revenus les plus faibles ont connu une baisse de 1%).



Pourtant, depuis les années 1980, les inégalités avaient tendance à être stables en France.

Un point critique atteint dans le monde entier !




Dans le monde entier, dans les pays développés comme dans les nations émergentes, les inégalités se sont renforcées au fil des crises économiques.

"Nous avons atteint un point critique. Les inégalités dans les pays de l'OCDE n'ont jamais été aussi élevées depuis que nous les mesurons", a déclaré un responsable de l’institution.

Au sein de l’OCDE, elles sont particulièrement marquées aujourd’hui au Chili, au Mexique, en Turquie, aux Etats-Unis et en Israël. En revanche, le Danemark, la Slovénie, la Slovaquie et la Norvège tirent mieux leur épingle du jeu.



Or les inégalités ont un coût social, mais aussi économique. On estime qu’elles ont amputé la croissance de 4,7% entre 1990 et 2010 en moyenne dans les 19 pays de l'OCDE analysés.




 


Rien n’est plus puissant qu’une idée dont l'heure est venue, aux armes citoyens !


"  Rien n’est plus puissant qu’une idée
dont l’heure est venue "

Victor HUGO
 
 
 


 

Gouvernement aux methodes de gangster !

 
 
Le passage en force du gouvernement, qui vient de publier le décret et l’arrêté organisant la réforme du collège pour la rentrée 2016, témoigne de son mépris total pour la France et les Français.

C’est un mépris pour la France, par le contenu de cette réforme qui détruit notre histoire nationale, affaiblit notre langue et menace la transmission des savoirs fondamentaux ; c’est un mépris pour le peuple français dont les aspirations, une fois de plus, sont magistralement ignorées.

Cet épisode aura aussi permis de démasquer l’hypocrisie de l’UMP qui feint de s’opposer à la réforme Vallaud-Belkacem alors que toute son action éducative est allée dans le même sens : moins d’heures de cours, destruction des méthodes classiques d’enseignement, affaiblissement de l’enseignement de l’Histoire, refus de l’autorité du maître.

J’appelle les enseignants et tous ceux qui s’opposent très justement à cette réforme et aux methodes facistes de ce gouvernement à ne pas plier devant le coup de force du gouvernement.

C'est la crise, l'heure est grave, les Français n'ont plus d'argent !



Consommation : faute d’argent, les Français désertent les restaurants !


C'est la crise, le chômage est au plus haut et les impôts sont de plus en plus élevés... donc les Français n'ont plus d'argent. Et quand on n'a pas d'argent on supprime les loisirs et les sorties (car on ne peut guère supprimer la nourriture et l'électricité). Du coup on ne va plus au restaurant... et le secteur enregistre une baisse en 2014. La première baisse depuis 10 ans... mais tout va bien en France, n'est-ce pas ?


Moins de sorties au restaurant pour les Français




L'étude annuelle du secteur de la consommation alimentaire hors domicile (CAHD) (les restaurants mais également les sandwichs et autres...) du cabinet Gira Conseil fait un constat assez triste pour le secteur : il est en baisse. Du jamais vu depuis 2005 et surtout depuis la crise économique de 2008 dont la France commence à peine à sortir la tête de l'eau.

En 2014 le chiffre d'affaires du secteur s'établit à quelques 84 milliards d'euros... soit une baisse de 0,3% sur un an. Un baisse légère, certes, mais qui laisse transparaître l'état des finances des ménages de l'Hexagone : elles ne vont pas bien.

Si le porte-monnaie ne suit pas, ce sont aussi les habitudes qui changent. A l'heure où McDonald's subit une crise mondiale, c'est l'ensemble des chaînes qui souffrent de cette baisse de fréquentation des restaurants.
 

On sort moins... alors on mange "mieux"




Si "aller au restaurant" n'est plus une habitude mais devient un véritable luxe qui fait un trou dans le budget du mois, alors il vaut mieux que ce trou soit justifié et vaille la peine de risquer un tête-à-tête avec son banquier. Du coup les Français reviennent vers la cuisine traditionnelle.

La restauration commerciale chute de 1% en 2014 tout comme la restauration hôtelière (-4% sur un an). La restauration collective et les circuits alternatifs tels que les boulangeries, au contraire, vont mieux : +0,7 et +2% sur un an respectivement.

Symbole de cette baisse du secteur de la restauration et de ce retour aux sources et aux "indépendants", les chiffres du groupe Flo, côté en Bourse et qui détient notamment la chaîne Hippopotamus : son chiffre d'affaires recule de 9,6% mais la chute est plus sensible au niveau de ses chaînes que de ses brasseries.
 

Pas de dessert, pas de vin... vive les économies à table




Celles et ceux qui peuvent encore se permettre de sortir au restaurant, par exemple grâce à des tickets restaurants, font aussi des concessions : la commande est limitée au strict minimum afin de ne pas faire gonfler la facture.

Ainsi le repas moyen baisse encore à 8,82 euros par personne... forcément on va supprimer les boissons ou le café, on va éviter de prendre un dessert ou encore on passe directement au plat sans prendre d'entrée.
 

Une mesure Israelienne intolerable qui rappelle certaines heures particulierement sombres de l'histoire ...



A partir de ce mercredi, les Palestiniens se rendant quotidiennement en Israël pour y travailler n'auront plus le droit d'emprunter les mêmes autobus que les Israéliens. Objectif affiché: "réduire les dangers de sécurité".

 Objectif non affiché : la ségrégation du peuple palestinien, une mesure aux airs d'apartheid !

La mesure est à peine croyable et rappelle certaines heures particulièrement sombres de l'histoire.




A compter de ce mercredi, les Palestiniens de Cisjordanie se rendant chaque jour en Israël pour y travailler n'ont plus le droit d'utiliser les mêmes autobus que les Israéliens pour revenir chez eux, a indiqué une responsable du ministère de la Défense.

 

Même route, bus différents




Dans le cadre d'un projet pilote prévu pour durer trois mois, "les Palestiniens qui travaillent en Israël devront à partir de mercredi revenir chez eux par le même point de passage sans prendre les autobus utilisés par les résidents de Judée-Samarie", la Cisjordanie occupée, avait auparavant indiqué une responsable du ministère de la Défense, qui a requis l'anonymat.

Les milliers de Palestiniens employés en Israël doivent désormais passer par quatre postes de contrôle pour se rendre sur leur lieu de travail et revenir chez eux par ces mêmes points de passage. A leur retour en Cisjordanie, les Palestiniens doivent prendre des autobus palestiniens et non plus israéliens pour les ramener chez eux. Une mesure aux airs d'apartheid, qui va rallonger très sérieusement le temps de transport pour des dizaines de milliers de Palestiniens.

L'application officielle de cette mesure de séparation est "sans précédent" depuis le début de l'occupation de la Cisjordanie. "Il y a eu des tentatives dans le passé pour imposer ce genre de séparation, mais qui n'ont pas été suivies d'effet", a indiqué une responsable de cette association.

 
 

"Expérience"




Selon la radio publique, le ministre de la Défense Moshé Yaalon à l'origine de cette décision, qui n'est pas sans rappeler les mesures de ségrégation raciale qui existaient en Allemagne Nazie avant et pendant la premiere guerre mondiale, aux Etats-Unis jusqu'aux années 1960 ou encore en Afrique du Sud il y a encore peu, "tirera les leçons de cette expérience à l'issue de la période d'essai de trois mois".

La radio a précisé que le ministre estime que ces dispositions vont permettre de "mieux contrôler les Palestiniens et qui sortent d'Israël et de réduire les dangers de sécurité". Cette mesure était réclamée par le lobby des colons de Cisjordanie occupée depuis des années.

 
 

"Plus de place pour les Israéliens" dans les bus




Un député du "Foyer juif", un parti nationaliste religieux membre de la majorité du Premier ministre Benjamin Netanyahu, Mordehaï Yogev, a ainsi expliqué à la radio qu'il menait depuis trois ans une campagne avec d'autres représentants des colons pour interdire aux Palestiniens l'accès aux autobus israéliens.

"A leur retour du travail, les Palestiniens remplissaient les autobus si bien qu'il n'y avait plus de place pour les Israéliens. De plus, les femmes israéliennes notamment les soldates étaient souvent victimes d'agressions sexuelles", a affirmé Mordehaï Yogev, dont le parti milite pour la colonisation des territoires palestiniens.

Selon lui, "il ne s'agit en aucun cas d'apartheid. La situation était tout simplement devenue insupportable. Tous les hypocrites dans le monde et parmi nous peuvent dire ce qu'ils veulent, mais la situation était devenue insupportable".



D'après un récent rapport de la Banque d'Israël, 92.000 Palestiniens sont employés en Israël de façon légale ou illégale.
 

l’indignation collective au regard de l'impunité de la nouvelle noblesse !






Liberté, Egalité, Fraternité : l’indignation collective au regard de l'impunité de la nouvelle noblesse !


Les frontons de nos mairies sont tous ornés de la fameuse devise républicaine : Liberté, Egalité, Fraternité. Outre le fait que la liberté est une valeur à géométrie variable et la fraternité un vœu pieux, c’est le terme égalité qui prête le plus à confusion, d’aucuns confondant "égalité" et "égalitarisme".




Dans un pays ayant théoriquement aboli les privilèges la nuit du 4 août 1789 et dans lequel la noblesse, le clergé et le tiers-état ont été remplacés par les seuls citoyens, on serait en droit d’espérer que tous les citoyens soient logés à la même enseigne mais, comme dirait le proverbe : " on peut toujours rêver "…
 

Les frais de taxis de la présidente de l'INA




On passe pourtant du rêve au cauchemar en apprenant que l’ex directrice de l’INA ( Institut National de l’Audiovisuel) remerciée pour ses notes de taxis frôlant les 41000 euros en dix mois, dont 7600 pour son fils, alors qu’elle bénéficiait d’un véhicule de fonction avec chauffeur, vient d’être recasée. C’est dans son ministère d’origine, la culture, qu’a été crée un poste sur mesure de " chargée de mission sur les questions de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences ".

Inutile de dire que ceci laisse rêveur dans la période de chômage de masse et d’insécurité sociale que nous vivons, dans un pays où des salariés de supermarchés ont été licenciés pour avoir pris des produits périmés qui avaient été bennés… Inutile de dire que l’impunité dont bénéficient les membres de la nouvelle noblesse officielle, les énarques, même après s’être tout permis avec l’argent des contribuables, fait sonner des envies de révolte dans un pays où on demande chaque jour aux citoyens de se serrer toujours plus la ceinture, de hausses d’impôts en stagnation des salaires, de baisse des remboursements en cas de maladie à réduction de la durée d’indemnisation des chômeurs.




 
 

L'impunité de la nouvelle noblesse républicaine




Inutile de dire que le sentiment d’impunité de cette nouvelle noblesse est total pour que celle-ci se permette de créer un poste sur mesure mais dont l’utilité pour la collectivité reste à démontrer dans un délai aussi court alors que le comportement de cette personne a choqué l’ensemble du pays. Inutile de dire qu’en voyant ceci les Français pensent que le terme " égalité " dans le triptyque républicain relève de la gageure mais que le terme " fraternité " apparaît là dans toute sa splendeur au sein de nos élites cosanguines.

Bref dans l’énarchie bananière qu’est devenue la France, il y a des envies de nuit du 4 août qui gratouillent de plus en plus de Français et, si rien n’est fait, ce n’est plus de 1789 et d’abolition des privilèges qu’il sera question mais plus prosaïquement de 1793 et de têtes de nobles tombant en Place de Grève. De 1789 à 1793, il n’y eut que quatre ans. Il va donc falloir agir très vite pour que les envies de jacqueries que le comportement de certains légitimerait ne deviennent pas réalité d’ici peu.

 

 

 

vendredi 22 mai 2015

Quand nos élus politiques et les laboratoires pharmaceutiques se foutent de la santé publique !

 
 
Réfléxion/révélation sur le système d’influence des laboratoires pharmaceutiques :
 
 
 



Le scandale du Mediator est apparu pour beaucoup comme un accident, conséquence de dysfonctionnements propres au laboratoire Servier, qui ne sauraient concerner une industrie pharmaceutique qui demeurerait dans son ensemble soucieuse de la santé publique.

En outre, la loi Bertrand votée en réaction n’a-t-elle pas institué la transparence des liens d’intérêts et l’objectivité des experts, garantes de décisions conformes à l’intérêt général ?

L’actualité nous rappelle que l’arbre Servier cachait la forêt : discours politiques sur la nécessaire dérégulation du marché du médicament, révélations de Mediapart sur la collusion des membres des agences sanitaires et des firmes pharmaceutiques, milliards engloutis dans la promotion des médicaments auprès des professionnels de santé dont des centaines de millions en avantages directs. Le rapprochement de ces éléments confirme un système organisé et cohérent, prenant en compte toutes les étapes de la vie du médicament et permettant d’assurer avec un risque minimal un profit maximal aux firmes pharmaceutiques.


Le lobbying du législateur
L’industrie pharmaceutique ne déclare étonnamment aucun lobbyiste dans le registre des représentants d’intérets auprès de l’Assemblée Nationale. Pas une entreprise, pas même les lobbies professionnels que sont le LEEM n’ont souscrit à cette déclaration, il est vrai basée sur le volontariat et assortie d’obligations déontologiques. Cette tentative de transparence, qui apporte un début de traçabilité aux échanges entre lobbyistes et législateurs, est déjà bien au-delà de ce que peut supporter ce secteur, habitué à plus de discrétion. Ainsi selon le baromètre annuel du cabinet de lobbying Burson Marsteller, la France est parmi les pays européens les plus perméables au lobbying, et la santé serait le secteur où cette influence est la plus fructueuse.

Le lobbying s’exerce également hors les murs de l’assemblée. Sous couvert d’informations, de nécessaires débats de société ou de réflexions de stratégie nationale, les industriels essaient d’influencer parlementaires et gouvernements afin d’obtenir des lois et des règlements à leur avantage. Le dispositif principal, si communément accepté qu’il se pratique avec une transparence confondante, est la " rencontre parlementaire ".

Les rencontres parlementaires sont des conférences organisées et financées par les industriels, qui en confient la présidence à un parlementaire, et qui bénéficient souvent du parrainage voire de la présence du ministre concerné. Il en existe sur tous les thèmes : la fiscalité, le transport, l’environnement, les énergies...

Il y en a plusieurs sur le thème de la santé, certaines éphémères sur un thème ciblé en fonction de l’actualité d’une firme, d’autres pérennes sur des thèmes plus vastes, souvent financées par plusieurs laboratoires, permettant de varier les sujets au gré des enjeux stratégiques du moment.



Quelques exemples parmi d’autres :

- rencontres parlementaires sur l’hepatite C :

financées par Abbvie (commercialisant un nouveau traitement contre l’hépatite C au coût prohibitif), sous les présidences de Jean-Pierre DOOR, député du Loiret, Jean-Louis TOURAINE député du Rhône et Gérard BAPT député de Haute-Garonne. Marisol TOURAINE a accepté de clore les journées.

- rencontres parlementaires sur les vaccins :

Les 3èmes rencontres ont eu lieu le 04 mai 2011. Dans le contexte de la controverse sur l’intérêt des vaccins contre le papillomavirus (Gardasil, Cervarix), le thème fut très explicite : " Vaccins : Gagner la bataille de l’opinion ". Les débats furent menés par Martine Perez, rédactrice santé du Figaro et élue UMP de la ville de Paris, et firent intervenir tour à tour :

- Ministres : Nora BERRA, Secrétaire d’Etat chargée de la Santé et Henri de RAINCOURT, ministre chargé de la Coopération.

-Parlementaires : Jean-Pierre DOOR député du Loiret, Paul BLANC, sénateur des Pyrénées-Orientales, auteur du rapport d’information " Vaccins : convaincre et innover pour mieux protéger " et Yves BUR, député du Bas-Rhin.

- Agences sanitaires : Thanh LE LUONG, directrice générale de l’INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé), Jean-François DELFRAISSY, directeur de l’ANRS (Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales).

  • Firmes pharmaceutiques : Cécile REY-COQUAIS, directrice des affaires publiques de Pfizer et François BOMPART, directeur médical de Sanofi Aventis qui commercialise le Gardasil.


- rencontres parlementaires sur notre systeme de santé :

présidées par Jean-Pierre DOOR une nouvelle fois, avec la participation en 2013 de Marc de GARIDEL, PDG d’IPSEN et de Cyril TITEUX président de Janssen, deux laboratoires qui finançaient la réunion.

- rencontres parlementaires sur le cancer :

présidées par le professeur Jean-Louis TOURAINE, député du Rhône. Ces rencontres sont chaque année financées par pléthore de firmes. En 2006 le thème était "cancers: Quels coûts pour la santé". et elles étaient sponsorisée par Amgen, GSK, Merck, Pfizer, Roche et Sanofi Aventis, commercialisant tous des thérapies coûteuses.

Toutes ces rencontres parlementaires sont organisées pour le compte des industriels par des agences de communication spécialisées, encore appelées sociétés de relations publiques, comme MetM conseil ou AGORA. Il est finalement pour le moins difficile de voir une différence fondamentale avec le système de lobbying institué à Bruxelles où il est devenu une institution.

On peut également citer l’existence de réunions moins formelles, qui peuvent entrer dans le cadre d’un " club parlementaire " comme le très célèbre club des parlementaires amateurs de havanes financé par la British American Tobacco. Ils n’ont pas d’existence officielle, leurs réunions sont secrètes et il est difficile d’imaginer que, dans le domaine de la santé, les firmes financent ces réunions dans l’objectif d’aider les parlementaires à améliorer le système de santé à moindre coût. Le club HIPPOCRATE dont l’objectif était de débattre de questions de santé, était financé par GlaxoSmithKline. Avant d’être nommé président de la commission d'enquête parlementaire sur le Mediator début 2011, Gérard BAPT en était le président. Etaient membres également les incontournables Yves BUR, Jean-Pierre DOOR et Jean-Louis TOURAINE.

Comment les parlementaires peuvent-ils croire que la participation à des conférences dont les thèmes et orateurs sont choisis par des firmes, et financées par elles, n’a aucune influence sur leur manière d’appréhender les questions de santé ? Alors qu’ils ont voté des lois pour éloigner les experts ayant des conflits d’intérêts des agences sanitaires, ils ne semblent pas encore disposés à appliquer ces dispositions pour eux-mêmes.

Le débat sur l’amendement à l’actuelle loi de santé (loi TOURAINE) élargissant les obligations de transparence nous a livré un moment d’anthologie. Trois députés prirent la parole: Bernard DEBRE, Gérard BAPT, Dominique ORLIAC. Tous trois sont médecins, profession la plus représentée à l’assemblée nationale d’ailleurs. Surtout, tous trois figuraient dans la base transparence www.transparence.sante.gouv.fr pour des avantages reçus de firmes de santé. Gérard BAPT déclara : " Je suis heureux que ce soit M. DEBRE qui cite le montant de certaines conventions, qui n’a en effet rien à voir avec les petits avantages comme les déjeuners-débats, auxquels il peut nous arriver de participer, dans la mesure où il s’agit de débats sur de vrais sujets ".

Le discours politique a tendance à opposer la santé publique et la santé économique des acteurs industriels. Mettre fin à l’influence des firmes pharmaceutiques sur notre législation mettrait-il en péril l’attractivité de notre pays avec à la clef de nombreux licenciements ? Ce sont du reste les menaces brandies par le lobby du secteur pharmaceutique, le LEEM, dès qu’une mesure susceptible de réduire ses profits est en discussion. Que ces arguments soient relayés sans recul par les élus est pour le moins inquiétant. Une enquête de Cash Investigation a montré que l’excellente santé économique d’un grand groupe pharmaceutique français ne l’empêche pas de licencier ses chercheurs de manière à augmenter inlassablement ses profits.

Le rôle du parlement, du gouvernement et des agences sanitaires est de garantir la santé publique dans leur domaine de compétence. Empêcher les firmes pharmaceutiques d’influencer leurs décisions est la condition nécessaire à la réalisation de cet objectif. Plusieurs conséquences pourraient résulter de la suppression des moyens d’influence : au sein des entreprises une diminution des profits, mais aussi un désarmement marketing (plus de 4 milliards d’euros sont dépensés chaque année rien qu’en marketing à destination des médecins) et vraisemblablement la réorientation de la recherche vers de véritables innovations thérapeutiques dont le chiffre d’affaire serait moins dépendant d’un coûteux marketing. Du côté de la nation, cela entraînerait une diminution des coûts de santé en proportion, permettant par exemple d’alléger le plan d’économies de 10 milliards, dont 3 milliards dans les hôpitaux qui va conduire à la réduction des effectifs hospitaliers dans les prochains mois.

Notre association, le Formindep, a pu constater l’influence que les firmes pouvaient avoir sur les décisions politiques. La loi Bertrand avait pour ambition " qu’il n’y ait pas de nouveau Mediator ". Nous avions rapporté comment se déroulèrent les négociations sur la rédaction des décrets d’application de cette loi, nous obligeant à quitter la table. Le Dr Foucras, alors président du Formindep, écrivit : " le plus choquant a été d’être le témoin de l’attitude de fonctionnaires de la République française, soumis et écrivant quasi sous la dictée de l’industrie les lois de la République.(…)J’ai vu à l’œuvre, scandalisé, la réalité de ce qu’on appelle la capture de l’Etat par des intérêts privés, comme des maîtres décernant avec condescendance un satisfecit à leur personnel. "





Le résultat fut à la hauteur de notre désespérance. Le décret organisant la transparence des liens d’intérêts des experts choisit d’exclure la déclaration des montants des contrats signés entre les firmes et les médecins qui en assurent la promotion. Pire, le décret instituant la charte de l’expertise permit aux agences sanitaires de définir elles-mêmes ce qui constitue un conflit d’intérêts, méconnaissant les dysfonctionnements passés ayant permis les scandales sanitaires.

Mais comment s’en étonner ?


Lutte contre la corruption en Chine : des milliardaires exécutés pour l'exemple !

Cela s'appelle mettre les moyens pour mettre un terme au probleme de la corruption qui gangrene nos démocraties, nos institutions et nos valeurs humaines et sociales !

Lutte contre la corruption en Chine : des milliardaires exécutés pour l'exemple ! enfin des mesures éfficaces pour lutter contre la corruption qui met en danger gravement nos économies et … les peuples !
Ainsi, en effet, le président chinois Xi Jinping a lancé une opération "mains propres" dans son propre parti. Si cette lutte contre la corruption fait trembler les 80 millions de membres du Parti communiste chinois, gageons que cette methode nous fera avancer d’un grand pas pour l’humanité tant la corruption met gravement en danger nos économies mondiales ! même si il est triste d’en arriver à ce point mais il est clair que je ne vois pas d’autres moyens malheureusement de faire cesser ce phenomene de corruption mondiale qui affame les peuples , qui detruit nos economies les unes apres les autres !

La Chine a ainsi exécuté cinq hommes cette deuxieme semaine de fevrier 2015. Parmi eux, le milliardaire de l'industrie minière Liu Han ainsi que son frère et trois complices, reconnus coupables d'avoir organisé un gang mafieux et commandité plusieurs meurtres. Au total, 68 hauts responsables du Parti communiste chinois, dont le maire de Nankin, 72 000 cadres de plus bas niveau et quinze généraux ont été arrêtés ces derniers mois en Chine.

S'attaquer aux "tigres" et aux "mouches"




Le nouveau maître de la Chine, le président Xi Jinping, s'est attaqué aux "tigres" et aux "mouches" : les "tigres" sont les hauts responsables qui se sont tant enrichis au mépris du peuple. Quant aux "mouches", il s'agit des petits chefs qui prennent de l'argent pour attribuer un emploi, une place à l'hôpital ou à l'école.

Le président estime que le peuple prend ainsi sa revanche. La campagne anti-corruption se développe depuis quelques semaines. La corruption s'est généralisée en Chine, et concerne des "sommes de plus en plus colossales et des méthodes de plus en plus crapuleuses", selon Du Daizheng, un ancien ministre, membre du parti communiste depuis 1937.



Soyons réaliste : C'est à mon humble avis malheureusement le seul moyen pour mettre un terme au probleme de la corruption qui gangrene nos démocraties, nos institutions et nos valeurs humaines et sociales !
 
 
 

Un Etat dans l'Etat qui piétinne nos institutions et nos valeurs sociales et humaines : la Francmaçonnerie !





Là je vous transmets la liste des Juges et des Avocats et Huissiers et Entreprises les plus corrompus par la Franc-Maçonnerie en FRANCE !
La Franc-Maçonnerie a toujours eu la réputation d’être un réseau d’influence puissant en politique.


Les grands journaux nationaux titrent régulièrement sur les hommes politiques francs-maçons. Selon les plus récents papiers, le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian, le directeur de cabinet de Jean-Marc Ayrault, Christophe Chantepy, et d’autres conseillers politiques notamment dans l’entourage de Manuel Valls sont francs-maçons.

La justice Française doit être Neutre et non Maçonnique !

Un juge doit-il dire qu'il est franc-maçon?

Un magistrat Franc Maçon c'est une personne qui a prêté deux serments. Un serment de faire appliquer le droit, et le serment d'entraide avec les autres Francs Maçons.
Donc dans un dossier où il y a une partie Franc-Maçonne et une partie qui n'est pas Franc-Maçonne, le magistrat s'il est sincère normalement doit se départir du dossier.
Il doit dire non, je ne veux pas juger ce dossier-là.
Mais s'il ne l'est pas ou s'il considère que son serment maçonnique n'est pas un problème...
Et bien ça pose un problème de véritable impartialité.


L'Italie et l'Angleterre, pour des raisons diverses, l'Italie parce qu'il y a eu la Loge P2, l'Angleterre parce que traditionnellement c'est une terre de Franc Maçonnerie, ont mis en place des registres pour que les Francs-Maçons ou les fonctionnaires de police se dévoilent; en France ce n'est pas encore d'actualité…

Cela ne peut pas rentrer dans le cadre de la vie privée, puisqu'il y a incompatibilité déjà pour commencer entre deux serments. Il serait tout à fait normal qu'en justice une partie demande à l'autre si elle est Franc-Maçonne ainsi qu'au juge, car sinon le jugement rendu ne pourrait que violer l'article 6 de la Convention européenne des Droits de l'homme. Beaucoup de victimes comprendront ainsi pourquoi il ne peuvent gagner leur procès , pourquoi ils ont perdu leur procés alors qu’ils auraient dû gagner ….

Tant que la liste de leurs membres ne sera pas publiée, comme cela a été fait à l'étranger, la suspicion existera. Si les loges ne veulent pas le faire, c'est qu'elles ont des choses à se reprocher.




Liste des membres Francmaçons EN FRANCE :



BANQUES :
UBS, Crédit Mutuel, Crédit Agricole, Banque Populaire Rives de Paris, Caisse des dépôts et consignations, BIL (Dexia), AXA, BNP Paribas

FONCTIONNAIRES, MAGISTRATS :
Jean-Claude ANDRE, Patrick ANDRE, Raymond ANDRE, Ingrid ANDRICH, Martine ANZANI, Stephan AUTIN, Gilbert AZIBERT, Françoise BARBIER-CHASSAING, Francine BARDY, Pascale BELIN, Brigitte BERNARD, Brigitte BLIECQ, Philippe BOIFFIN, Edith BOIZETTE, Géraldine BOUZARD, Sophie BRIONNE, Jean-Marie BUFFET, Eric BUISSET (gendarme OPJ), Fabrice BURGAUD (affaire d'Outreau !), Nicole BURKEL, Bruno BOVAL, Françoise CANIVET, Guy CANIVET, Odile CAPODICASA, Francine CARON, Michel CASTAGNET (D.N.E.F. Bobigny), Alban CHAIX, Marie-Anne CHAPELLE, Jean-Christophe CHAZALETTE, Jacques CHOLET, Daniel CLOUET, Philippe COIRRE, Yves COLLEU, Dominique COMMARET, Bruno COTTE, Jean-Marie COULON, Philippe COURROYE, Catherine DALLOZ, Sylvie DARBEDA, Henri DESCLAUX, Patrick DESMURE, S. DEWAILLY, Annie DABOSVILLE, Pierre ESTOUP, Sabine FAIVRE, Michèle GANASCIA, Hélène GENEVEY, Jean-Michel GENTIL, Solange GAUTIER, Emmanuel GERARD, Christian GIRARD, Michel GIRARD, Corinne GOETZMANN, Patricia GRANDJEAN, Pierre GUERDER, Eric HALPHEN, Philippe INGALL-MONTAGNIER, Denis JARDEL, Eva JOLY, Marc JURD, François JURDEY, Roland KESSOUS, Jean-Paul LACROIX-ANDRIVET, Elisabeth de La LANCE, Vincent LAMANDA, Geneviève LAMBLING, Claude LAPLAUD, Olivier LARMANJAT, Jean-Amédée LATHOUD, Roger LE LOIRE,Philippe LEMESLE, Vincent LESCLOUS, Gérald LESIGNE, Lysiane LIAUZUN, Dominique LONNE, Jacques LOUVEL, Jean-Pierre MARCUS, Sabine MARIETTE, Jean MAZARS, Henri MENGIN-LECREULX, Jean-Yves MONTFORT, Hevé MORIN (gendarme OPJ), Françoise NEHER, Patrice OLLIVIER-MAUREL, Gilles PACAUD, Marie-Hélène PAULTE, Hervé PAVY, Philippe PEYROUX, Christian PIERRE, Gildas QUILLIEN, Elisabeth RABACHE, Monique RADENNE, Laurent RAVIOT, Fabienne RENAULT-MALIGNAC, Michel REYRE (Directeur Impôts Chateaudun), Stéphane RICHARD, Pierre RIQUIN, Olivia RODRIGUES, Denis ROUCOU, Dominique SCHAFFHAUSER, André et Jacques SCHMELCK, Yves SCHUMACHER, Jean SEITHER, Michel et Michèle SEURIN, Xavière SIMEONI, Françoise SIMONNOT, Gabriel STEFANUS, Isabelle SUBRA-SARDINHA MARQUES, Paul THEVENIN, Jean THIBAUD, Jean-François THONY, Serge TRASSOUDAINE, Dominique TREVISAN (D.N.E.F.), Jean-Luc VALLENS, Laurence VICHNIEVSKY, Maud VIGNAU (née LE GALL), Vincent VIGNEAU, Dominique VONAU, Bernadette WALLON

AVOCATS :
SUISSE : Susanne AFHELDT, Claudius ALDER, Hannes BAUMGARTNER (Bâle), Filippo Th. BECK (Zürich), Bruno de BOCCARD (Fribourg), Hubert de BOCCARD, Pascal EISNER, ENGLER, Philippe FROSSARD, David GELZER, Hans-Peter HANI (Ombudsman), Thomas HUG, Bettina KÄSTLI, H.-J. KUNDERT, Christoph MEIER, Nicolas OBERSON, Cyrille PIQUET (Lausanne), Michel RENAUD (Lausanne), Patricia ROBERTY, Kathrin SCHEURING, Jean-Bernard SCHMID, Edgar SCHÜRMANN, Georg SCHÜRMANN, Pierre VUILLE (Genève), Stephan WULLSCHLEGER; Bruno de WECK, Antoinette FASEL, Henri GENDRE, José KAELIN, Jacques MEYER, Markus MEUWLY, Thomas MEYER (Fribourg)
CASSATION :
Frédéric ANCEL, Elisabeth BARADUC-BENABENT, Jean BARTHELEMY, Alain BENABENT, François BERTRAND, Jean-Alain BLANC, Louis BORE, Didier BOUTHORS, Dominique BROUCHOT, Jean-Philippe CASTON, Arnaud de CHAISEMARTIN, Bertrand COLIN, Jean-Claude COURJON, Olivier COUTARD, Dominique COUTURIER-HELLER, Antoine DELVOLVE, Guillaume DELVOLVE, Jean-Philippe DUHAMEL, Dominique FOUSSARD, Jean-Claude JACOUPY, Ludovic de LANOUVELLE, Gérôme LAUGIER, Didier LE PRADO, Olivier MATUCHANSKY, Alice MEIER-BOURDEAU, Alain MONOD, Pierre RICARD, Yves RICHARD, Jérôme ROUSSEAU, Jean de SALVE de BRUNETON, Patrice SPINOSI, Frédéric THIRIEZ, Gilles THOUVENIN, Pascal TIFFREAU, Claire VEXLIARD, Claire WAQUET
ALENCON : Alain LEMONNIER
ANGOULEME : Anny REMY-MALTERRE
ANNEMASSE : Françoise VINIT-MAADOUNE
ANTHONY : Jean-Paul PARFU
ARRAS : Philippe BODEREAU
BOULOGNE : Wallerand de SAINT JUST (Front National, franc-maçon GLF)
BOURGES : François AUBERT, Eugène BANGOURA, Marie-Paule CHAMBOULIVE, Stéphanie JAMET, François PILLET, Sylvie RAYMOND, Guy SOREL, Pascal VERNAY-AUMENIER, Loïc VOISIN
CAHORS : Françoise ROBAGLIA
CHARTRES : Isabelle AIDAT-ROUAULT, Bruno ALZIAL, Pascal APPLINCOURT, Gaëlle AUGER, Joëlle BACOT, Guillaume BAIS, Sandrine BEAUGE-GIBIER, Georges BERANGER, Thibault BETSCH, Odile BORDIER, François CARE, Claire CORBILLE-LALOUE, Vincent COURCELLE, Virginie COYAC-GERBET, France CRESSENT, Frederic CRUCHAUDET, Jean-Marie DEPIED, Marie-José DEVEMY (Conseil de l'Ordre), Jean-Philippe DORE, Olivier DUPUY, Michel FESTIVI, Odile FOUGERAY, Nathalie GAILLARD, Marie-Claude GERBET, GESICA, France GOETHALS-REMON, Emmanuel GOMEZ (ex-bâtonnier), Véronique JOLY, Thierry KARM, Marie-Antoinette LABROSSE (Conseil de l'Ordre), Alexis LEGENS (pédophile), Sylvie LEROY (ex-bâtonnier), Patrick LESTER (ex-bâtonnier), Alain MALET (ex-bâtonnier, Conseil de l'Ordre), Bertrand MAY, Jean-Gabriel MARTIN, Christian MERCIER (2 fois bâtonnier), Philippe MERY, Jean-François NOMBLOT (ex-bâtonnier), Jacques PICHARD, Yves PICHARD, Sandra RENDA, Valérie RIVIERE-DUPUY, Thierry ROY, Patrice PETIT (Conseil de l'Ordre), Alice POISSON, Sylvia ROMEUF, François SOUCHON, Philippe SOUCHON, Bruno STACHETTI, Claude VANDENBOGAERDE (ex-bâtonnier)
COURBEVOIE : Fabienne GLEMAIN-GRUSSENMEYER
DIJON : Hervé PROFUMO, Sylvain PROFUMO, Claude SIRANDRE
EPINAL : Alain BEGEL, Carine DESCHAMPS, Catherine FAIVRE, Estelle FRISE, Violaine GUIDOT-MANGEOT, Bertrand HAEMMERLE, Didier KUGLER, Elisabeth LASSERONT
GIGNAC (MONTPELLIER) : Sylvie PLATRET-RICO
GRENOBLE : Bernard RIPERT
LE MANS : Françoise GALLOT-LAVALLEE, Alain IFRAH, Annie LANGE, Jean-Pierre MASSI, Jean-Pierre MURY, Jean-Luc VIRFOLET
LILLE : Eric DUPONT-MORETTI
MARSEILLE : Gilbert COLLARD, Daniel TARASCONI
MONTROUGE : Michel CLERGET (incarcéré)
MOSELLE : Sylvie ALLES, Pierre ALT, Cécile AUBLED, Laure-Anne BAÏ MATIS, Pascal BARBIER, Estelle BATON, Bertrand BECKER, Laurence BECKER-ENGEL, Bernard BECKERICH, Raymond BEHR, Djaffar BELHAMICI, Jacques BETTENFELD, Jean-Luc BIEBER, Agnès BIVER-PATE, Fabienne BORN-COLBUS, Claude BROCK, Armand BUCHER, Hubert BURGUN, François BURKATZKI, Maryvonne CHAUVE-GRAY, Annie CHILSTEIN-NEUMANN, Thierry COUMES, Achille CYTRYNBLUM, Philippe DAVID, Guy ENGLER, Josiane FONTANA-BUSSIERE, Antoine FITTANTE, Gérard FRIOT, Jean-Christophe GENIN, Hervé HAXXAIRE, Armand HENNARD, Bertrand HOFFMANN, Michel HUBERT, Myriam JEAN, Bettina KEMMER, Raymond LAGARDE, Frédérique LOESCHER, Laurence MALLET, Olivier MICHEL, Denis MOREL, Tania MUSNIK, Claude ODENHEIMER, Jean-Claude OSWALD (incarcéré), Jean-Claude PARRE, Virginie PARRE-FASSONE, Gérard et Laurent PATE, Joseph ROTH, Yves ROULLEAUX, Armand et Gilles ROZENEK, Christine SALAVANE, Claudine SAVARD, Viviane SCHMITZBERGER-HOFFER, Myriam SCHWITZER-MARTIN, Patrick SERRE, Anne-Christine SPADONI-WOLFF, Jean STROHMANN, Alfred SWIATLY, Pierre THOMAS, Patrick VANMANSART, Francis WEIL, Roger WOURMS
MULHOUSE : André CHAMY
NANCY : Françoise FREY-MICHEL, Nadine GASPARETTI, Stéphane HEIT, Gérard MICHEL
NOGENT SUR MARNE : Jean-Pierre VITRY
ORLEANS : Jean CISSOKO, Philippe CROZE, Bénédicte GREFFARD, Philippe LAVAL (incarcéré), Pascal LAVISSE, Pierre PLISSON, Jérôme WEDRYCHOWSKI
PARIS : Wallerand de SAINT JUST (Front National, GLF), Karim ACHOUI (incarcéré), Benoît AMIEL, Jim ARBOGAST, Gilles AUGUST, AUGUST et DEBOUZY, Christophe AYELA, Jean-Paul BADUEL, Nicolas BALLET, Lamiel BARRET KRIEGEL, Guy BARSI, Dominique BARTHES, Julien BAUMGARTNER, Alexandra BELLAN-VILLA, Thierry BENAROUSSE, Karine BENHAMOU-SOBOHAN, Philippe BESSIS, Gilles-Eric DE BIASI, Jean-Louis BIGOT, Gérard BINET, Ingrid BINET, de BOISBRUNET Ludovic, Laëtitia BONCOURT, Frédérique BOREL DE MALET, Marielle BOULLIERE, William BOURDON, Luc BOURGUIGNAT, René BOUVIER, Didier BRACCHI, Denis BRUGERE, Amélie BULTE, Stéphanie BUREL, Bertrand BURGOT, Bernard CAHEN, Michèle CAHEN, Patrick CAILLET, François CAMPION, Charles CANTEGREL, Christine CARPENTIER, Jérôme CASEY, Cyril CATTE, Elisabeth CAULY, Didier CAYOL, Jérôme CAYOL, Pierre CHAIGNE, Antoine CHATAIN, Christian CHARRIERE-BOURNAZEL, Claude CHAUVET, Arthur COMTE, Michelle CORLIN GARREAU DE LOUBRESSE, Marie COTTINET, Bertrand COURTOIS, COURTOIS LEBEL, Pierre COUSI, Georges CREVON, Catherine CRUVEILHER, Didier DAILLOUX, Pierre DAMIEN VENTON, Emmanuel DAOUD, Michel DEGROUX-RICARD, Philippe DELATTRE, Hervé DENIS, Mikhael DERHI, Eric DELCROIX, Anne-Sophie DEROME, Jean-Philippe DESTREMAU, Marie DEVERTU, Pascal DEWYNTER, Alain DOMENJOU, Clarisse DORLHA, Roger DOUMITH, Evelyne DOUMITH-GEMAYEL, Pierre-Randolph DUFAU, Dominique DUMAS, Françoise DUMONT, Yann Hervé DU PENHOAT, Hervé DUVAL, François-Pierre FAIT, Nicolay FAKIROFF, Bernard FAULIOT, Muriel FAYAT, Jean-Marc FEDIDA, Julie FERRARI, Claire de FEYDEAU de SAINT CHRISTOPHE, Laurence FINELTAIN DEHARBE, Philippe FORTABAT LABATUT, Lef FORSTER, Jean-Claude FRESCHEL, Jean-François GALVAIRE, Martine GARNIER-BARTHES, Jean-Pierre GASTAUD, Antoine GAUDINO, Geoffroy GAULTIER, Annette GERING BRIGGS, Amiel GOLDMANN, William GOLDNADEL, GRANTURCO, Thierry GRUNDELER, Judith GUEDJ, Julien GUEGUEN-CARROLL, Stéphane GUENIN, André GUIBERT, Audrey GUTIERREZ FERNANDEZ, Karen HADDAD, Pierre HAÏK, HANOUNE, Williams HAOUIT-REHEL, Christelle HASSARD, Alain HAZAN, Maurice HAZAN, Dominique HAZAN, Xavier HAZAN, Frédéric HENNES, Monique HERPIN, Thierry HERZOG, Alain HOLLANDE, Thomas HOLLANDE, Yves HOLLIER, Gilbert HOUILLIEZ, François HUBERT, Jacques HUILLIER, Philippe HUSSON, Anne-Marie IDRAC, Côme IDRAC, Dominique INCHAUSPE, Emmanuel JARRY (ex-avoué 78), JEANTET, Michel JOCKEY, Mustapha KALAA, Lisa KONCKIER, Charles KORMAN, KORKMAZ, Stéphane LATASTE, André LAUNIER, Maurice LANTOURNE, Henri LECLERE, LELLOUCHE, Sylvie LERAT, LE ROY, Dominique LOCQUET, Pierre LOTZ, Jean-François LOUIS, Francis LOUVARD, Patrick MAISONNEUVE, David MARCOTTE, Corinne MATOUK, Jean-Pierre MIGNARD, MIRANDE, Edmond MISIKA, Antoine MISSOFFE, Bernard MERY, David METAXAS, Thibault du MANOIR de JUAYE, Rosny MINVIELLE de GUIHLEM de LATAILLADE, Thierry MONNIER, Olivier MORICE, Jean-Baptiste MORILLOT, Jean-Louis PELLETIER, Jérôme PETRIGNET, Patrick PILLOT, Jean-Charles PLANCON, Sybille PLANTIN, Hélène POIVEY-LECLERC, Martin PRADEL, RAMBAUD MARTEL, Anne-Sophie REMY, Daniel RICHARD, Yannick RIO, Charles ROBAGLIA, ROBIN, Sabine ROY, Thierry SCHMITZ, Richard SEBAN, David SEBBAN, Carbon DE SEZE, Georges SOUCHON, Jean-Luc SOULIER, Mario STASI, Isabelle STEYER, Denis TALON, Marie TAVERNE, Jean-Sylvain THINAT, François TIZON, Vincent TOLEDANO, Patrick TOSONI, François TRECOURT, Jacques TREMOLET DE VILLERS, Dominique TRICAUD, Emmanuelle TRICHET, Jérôme TRIOMPHE, VAILLANT et associés, Adèle VANHAECKE, Alexandre VARAUT, Jean-Marc VARAUT, Pierre-François VEIL, Frédérique VEILLON - JONSSON, Mathias VERNE, Jean-Pierre VERSINI-CAMPINCHI, VILLARD et associés, VOITURIEZ Christophe, VOVANS et associés, Georges-Paul WAGNER, François WAGNER, Michel WATELET, Hugues WEDRYCHOWSKI, Isabelle WEDRYCHOWSKI, Ladislas WEDRYCHOWSKI, Laurent WEDRYCHOWSKI, Sébastien WEDRYCHOWSKI, Jean WEILL, WHITE AND CASE
PERIGUEUX : Anic LE BER
PERPIGNAN : Enric VILANOVA
POITIERS : Baghdad HEMAZ
PONTOISE : Alain BARBIER, Charles-Henri HAMAMOUCHE, Patrick CANET, Sabine DOUCINAUD - GIBAULT, Christian GAYRAUD, Marie REGALDO - SAINT BLANCARD, Jean-Marie VIGNOL
QUIMPER : Ronan GARET, Béatrice JACQUET
REIMS : réseau ACG, Stéphane BOILEAU, Marie COMMERCON
RODEZ : Philippe COUTURIER
SAINT BRIEUC : Frederick JOUBERT des OUCHES
TOULON : Pierre-André WATCHI-FOURNIER
TOULOUSE : Pierre-Marie BONNEAU
TOURS : Dominique GROGNARD, Christophe MOYSAN
VERDUN : Michel VOIVRET
VERSAILLES : Nicolle BIRFET, Laurent BOMMART, Pierre BORDESSOULE de BELLEFEUILLE, Stéphane CHOUTEAU (ex-avoué), Marion CORDIER, Emmanuel GUEILHERS, Pierre GUTTIN (ex-avoué), Fabrice HONGRE (+ BOYELDIEU .., ex-avoué, Conseil de l'Ordre), Patrick HUON de KERMADEC, Philippe KEIME (ex-avoué), Frank LAFON (ex-avoué), Frédéric LANDON, Emmanuelle LEFEVRE, Jean-Yves LIENARD, Raphaël MAYET, Patricia MINAULT, Agathe MONCHAUX, Benoît MONIN, Béatrice du PAYRAT SCHMIERER, Sophie POULAIN, Claire RICARD, Gilles-Antoine SILLARD, Monique TARDY (ex-avouée), Renaud VERCKEN de VREUSCHMEN

HUISSIERS :
PARIS : Jean-Michel ADAM (75017), Vincent ADAM (75017), François ARDAILLOU (75011), Jean-Marie AULIBE (75010), Denis CALIPPE, Renaud CASTALAN, Franck CHERKI, Michèle DALICIEUX-PAGES (75011), Astrid DESAGNEAUX, Raphaëlle DIEY et CHAPLAIS (75007), Anne-Sophie GRUEL, Yann JEZEQUEL, Baptiste LEMIRE, Marie-France NOGUIER (75017), Christine PINHEIRO, PROUST et GOURY-LAFFONT, Virginie RIGOT, RUAUX, SAMAIN et RICARD
Province : Alain BEAULIEU (Maintenon), Luc BOLLENGIER-STRAGIER (Chartres), Geneviève CHAMBAS (Provins), GEYELIN (Orléans), François HONTEBEYRIE et Yvette ROUSSEAU (Chartres), Eric GODFRIN (Voves), François-Xavier PACCOU et Catali PACCOU-MAROTTE (Courville-sur-Eure), Freddy SAFAR (Melun), Jean-Pierre SUIRE-DURON (Poitiers), Jean-Louis VIDON (Nogent-Le-Roi)

POLITIQUES :
Louis ALIOT (Front National, franc-maçon GLF), Michèle ALLIOT-MARIE, Michèle ANDRE (Droit Humain), David ASSOULINE, Martine AUBRY, Alain AVELLO (FN), Jean-Marc AYRAULT, Edouard BALLADUR, François BAROIN, Claude BARTHOLONE, Christian BATAILLE, Alain BAUER (GODF), Denis BAUPIN, Nicolas BAY (Front National), François BAYROU, Nicolas BAZIRE, Jean-Pierre BEL (GODF), Xavier BERTRAND, Jean-Louis BORLOO, Etienne BOUSQUET-CASSAGNE (Front National), Thierry BRETON, Steeve BRIOIS (Front National), Jérôme CAHUZAC, Bernard CANDIARD, Christophe CHANTEPY, Luc CHATEL, Frederic CHATILLON (FN), Aymeric CHAUPRADE (FN), Pascal CLEMENT, Gilbert COLLARD (Front National, franc-maçon GLF et GLNF !), Jean-François COPPE (UMP), Paul-Marie COUTEAUX (FN), Frederic CUVILLIER (GODF), Rachida DATI, Jean-Paul DELAHAYE, Harlem DESIR, Julien DRAY, Bertrand DUTHEIL DE LA ROCHERE (communiste PC, socialiste PS, FN ...), Pierre-Yves DUWOYE, Anne-Marie ESCOFFIER (GLFF), Laurent FABIUS, François FILLON (UMP), Christian FORESTIER, Jean-Bernard FORME (FN), Claude GUEANT, Elisabeth GUIGOU, Benoît HAMON, Adeline HAZAN, Edmond HERVE, Brice HORTEFEUX, François HOLLANDE (franc-maçon GO), Yannick JAFFRE (FN), Lionel JOSPIN (franc-maçon GO), Daniel KELLER (GODF), Isaac KHASKI, Christine LAGARDE, Florence LAMBLIN, Jack LANG, Gérard LARCHER, Valérie LAUPIES (FN), Marylise LEBRANCHU, Gilles LEBRETON (FN), Jean-Yves LE DRIAN (GODF), Valéry LE DOUGUET (GODF, UMP, FN), Stéphane LE FOLL (GODF), Jean LE GARREC, Bruno LEMAIRE (FN), Corinne LEPAGE, Marine Le PEN (Front National, GLFF), Gérard LONGUET, Victorin LUREL (GO), Marion MARECHAL (+- Le PEN ? ..., Front National, GLFF), Philippe MARTEL (RPR, FN), Olivier MARTINELLI (FN), Jean-Luc MELENCHON, Robert MENARD (extrême gauche, Front National), Francis MER, Michel MERCIER, Arnaud MONTEBOURG, Xavier MOREAU (FN), Pierre MOSCOVICI, Patrick OLLIER, Charles PASQUA, Vincent PEILLON, Philippe PENINQUE (FN), Dominique PERBEN, Florian PHILIPOT (Front National, franc-maçon GO puis GLF, conseiller de Marine Le PEN, ex-PS Jean-Pierre Chevenement !), Sylvia PINEL, Henri de RAINCOURT, François REBSAMEN, Jean-François ROCCHI, Pierre-Olivier ROCCHI, André ROUSSELET, Ségolène ROYAL, Wallerand de SAINT JUST (Front National, franc-maçon GLF), Michel SAPIN (GODF), Jacques SAPIR (Front de gauche, FN), René SCHLEITER, Pierre SEGUIN, Michel SIBEL (FN), Fabrice SORLIN (communiste, FN), Dominique STRAUSS-KAHN, Jean-Richard SULZER (FN), Bernard TAPIE (franc-maçon GODF), Christiane TAUBIRA (GLFF), Jean-François TOUZE (FN), Manuel VALS (GODF), Jean-Pierre VESPERINI (FN), Alain VIDALLES (GODF), Jean-Yves WAQUET (FN)

NOTAIRES :
Antoine BAILLY (75008, Chambre des notaires de Paris), Michel BAILLY (75008), Guy BRAULT, CAURO (75008), François DESJARDINS, Pierre DROUART, Cyril NEVIASKI et THELU et RENOULT (80000), Claude DINIELLE et Anne DINIELLE (77970), Michel HUET (28290), Thierry MACHET (77970), Hervé POMMERY (75008), Bernard TRIGALLOU, Jean-Pierre PHILIPPON, LEDUC (75017), LE COLLINET (75011), Bertrand SAVOURE (75017)

CITOYENS :
Geoffroy CHANCERELLE de ROQUANCOURT-KERAVEL, Odile CHANCERELLE de ROQUANCOURT-KERAVEL née DIMIER de la BRUNETIERE, Philippe CESCHI, François DIMIER de LA BRUNETIERE, Henry DIMIER de LA BRUNETIERE, Jean DIMIER de LA BRUNETIERE de LA CROIX, Louis DIMIER de LA BRUNETIERE (Front National), Bertrand de FEYDEAU de SAINT CHRISTOPHE (GODF), Geneviève de LANGLOIS épouse de Louis DIMIER de LA BRUNETIERE, Gérard MACHET de LA MARTINIERE (GODF), Gérard BEAUD, Hassane HAMZI, Henri de LA CROIX de CASTRIES (GODF), Alexandra MARTIAL, Franck OGNIN, Michel de ROSTOLAN (Front National, GLF)

François Hollande, un Président aux ordre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

Président de la République

_ François Hollande (Président de la République) , franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF) et " Young Leader " de la French American Foundation

Ministres et Conseillers Franc-Maçons

_ Jean-Marc Ayrault (Premier Ministre) : En 2008, maire de Nantes, il fait voter une subvention de 400 000€ destinée à la rénovation et à l’agrandissement du local servant aux réunions de 7 loges maçonniques

_ Manuel Valls (Ministre de l'Intérieur), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Christiane Taubira (Ministre de la Justice), franc-maçonne membre de la secte maçonnique de la Grand Loge Féminine de France (GLFF)

_ Pierre Moscovici (Ministre de l'Economie et des Finances), ancien membre de la Ligue Communiste Revolutionnaire et " Young Leader " de la French American Foundation

_ Najat Vallaud-Belkacem (Ministre des Droit des Femmes), " Young Leader " de la French American Foundation

_ Arnaud Montebourg (Ministre du Redressement Productif), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF) et " Young Leader " de la French American Foundation

_ Michel Sapin (Ministre du Travail), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Vincent Peillon (Ministre de l'Education Nationale), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF) et ancien communiste membre du Comités Communistes pour l’Autogestion

_ Jérome Cahuzac (Ministre du Budget), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Jean-Yves Le Drian (Ministre de la Défense), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Stéphane Le Foll (Ministre de l'Agriculture), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Marylise Lebranchu (ministre de la Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Fonction publique) franc-maçonne et ancienne communiste membre du PCMLF (Parti communiste marxiste-léniniste de France)


_ Anne-Marie Escoffier (Ministre déléguée chargée de Décentralisation), franc-maçonne membre du Parti Radical de Gauche et membre de la secte maçonnique de la Grand Loge Féminine de France (GLFF)

_ Fleur Pellerin (Ministre Déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l'Innovation et de l'Economie Numérique), " Young Leader " de la French American Foundation

_ Benoît Hamon (Ministre délégué à l'Économie sociale et solidaire et à la Consommation), franc-maçon

_ George Pau-Langevin, (Ministre déléguée à la Réussite éducative), franc-maçonne

_ Michèle Delaunay (Ministre déléguée aux Personnes âgées et à l'Autonomie), franc-maçonne

_ Frédéric Cuvillier (Ministre délégué aux Transports), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Marc Mancel ( conseiller de la ministre George Pau-Langevin), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Christophe Chantepy (directeur de cabinet de Jean-Marc Ayrault), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Alain Simon (contrôleur général au ministère de l'Economie), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Alain Vidalies (Ministre en charge des Relation avec le Parlement), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Aquilino Morelle (conseiller de François Hollande), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF) et " Young Leader " de la French American Foundation

_ Cédric Lewandowski (directeur de cabinet de Jérome Cahuzac), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Victorin Lurel (Ministre délégué en charge de l'Outre-Mer), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Renault Vedel (directeur adjoint de cabinet de Manuel Valls), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Alain Bauer (conseiller officieux de Manuel Valls), franc-maçon ancien Grand Maitre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Yves Colmou ( conseiller de Manuel Valls), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)


Les Franc-Maçons du Sénat

_ François Rebsamen (président du groupe PS au Sénat), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Jean-Pierre Sueur (sénateur PS du Loiret et Président de la Commissions des lois), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Claude Domeizel (sénateur PS des Alpes-de-Haute-Provence), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Gérard Collomb (sénateur maire de Lyon), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Michèle André (sénatrice PS du Puy-de-Dôme), franc-maçon vice présidente de Fraternelle Parlementaire et membre de la secte maçonnique du Droit Humain

_ Robert Navarro (sénateur PS de l'Hérault), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

Les Franc-Maçons à l'Assemblée Nationale et dans les Colléctivités Locales

_ Henri Emmanuelli (député PS des Landes), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Christian Bataille (député PS du Nord), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Pascale Crozon (députée PS du Rhône), franc-maçonne vice présidente de la Fraternelle Parlementaire

_ Pascal Terrasse (député PS de l'Ardèche), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Oliver Dussopt (député PS de l'Ardèche), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Brigitte Bourguignon (députée PS du Pas-de-Calais), franc-maçonne

_ Odiles Saugues (députée PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne

_ Patrick Menucci (député PS des Bouches du Rhône), franc-maçon membre de la secte maçonnique de la Grande Loge de France (GLDF)

_ Paul Giacobbi (député PRG de la Haute-Corse), franc-maçon membre de la secte maçonnique de la Grande Loge de France (GLDF)

_ Jean Le Garrec (ancien ministre PS),franc-maçon président du Cercle Ramadier, membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Philippe Guglielmi (premier secrétaire fédéral du PS de Seine-Saint-Denis), franc-maçon ancien Grand Maitre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Jean-Jacque Queyranne (président de la région Rhône Alpes), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Philippe Foussier (rédacteur en chef de la revue de la Fédération national des élus socialistes et républicains), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France

_ Jean Glavany (député PS des Hautes-Pyrénées), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Jean-Marie Cambacérès (député PS du Gard), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Jean-Michel Baylet (sénateur PRG du Tarn-et-Garonne), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Jack Lang, franc-maçon

_ Daniel Vaillant (député-maire à Paris), franc-maçon

_ Bertrand Delanoë (maire de Paris), homosexuel et franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

_ Harlem Désir (Premier Secrétaire du Parti Socialiste), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)

Ceci est une liste non exhaustive