" Mes amis , réveillons-nous . Assez d'injustices ! " L'Abbé Pierre

mardi 12 mai 2015

Une logique de guerre mondiale s'annonce ...



Une logique de guerre mondiale est-elle en marche ?


Crise économique, tensions géopolitiques, repli identitaire, EI, Ukraine... toutes les forces sont à l'oeuvre pour conduire à une guerre.


Crise économique, tensions géopolitiques, repli identitaire, EI, Ukraine... Selon Chokrane, toutes les forces sont à l'oeuvre pour conduire à une guerre.


Dans le rapport annuel de 2014, Lord Jacob Rothschild, président de RIT Capital Partners, a exprimé sa vive inquiétude quant à la situation géopolitique et économique. Les risques géopolitiques n'ont jamais été aussi élevés depuis les années 1930. Que faut-il en penser ?


Une crise économique aussi grave qu'en 1929...
Depuis l'éclatement de la bulle des subprimes en 2007 et la faillite de Lehman Brothers en 2008, le monde n'en finit pas de s'empêtrer dans une crise économique aussi grave que celle de 1929. Aujourd'hui, en 2015, malgré les incantations diverses et variées, la demande des ménages est atone et ce qui reste de consommation est soutenu par le crédit. Ceux qui le peuvent préfèrent épargner plutôt que consommer. Il s'ensuit une situation de surcapacité de production dans le monde entier et en parallèle une mécanique déflationniste.

Malgré les injections de liquidités dans les économies de plus d'un millier de milliards de dollars (tout d'abord aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Japon, puis en Europe et bientôt en Chine), l'économie réelle ne parvient pas à se redresser. Les masses de liquidités émises ne sont pas investies dans l'économie réelle. Elles migrent en vase clos d'un marché financier à l'autre, sans aucun impact sur l'emploi, les salaires ou la consommation. Les actifs financiers comme les actions sont surévalués, sans relation avec les performances réelles des entreprises. Quant aux obligations souveraines, certaines présentent des taux négatifs, si bien que des États s'enrichissent simplement en empruntant, alors que la gestion de leurs dépenses laisse à désirer...



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