" Mes amis , réveillons-nous . Assez d'injustices ! " L'Abbé Pierre

dimanche 27 novembre 2011

A méditer ... car aujourd'hui notre société est gravement corrompue !

A méditer ... car aujourd'hui notre société est gravement corrompue !
L’un des plus grands et des plus insupportables privilèges que nous devons aux gouvernements corrompus qui sont à l’origine des malheurs publics est bien celui qui viole d’une façon éhontée et scandaleuse ce principe imprescriptible du droit commun... Qu’elle protège ou qu’elle punisse, la loi est la même pour tous, si ce n’est pas le cas cette loi est une loi scélérate et parfaitement illégitime. Elle porte gravement atteinte au pacte Républicain et aux libertés individuelles. Un magistrat, un fonctionnaire, un homme politique, un technocrate, tous doivent subir la règle du droit commun, et redevenir civilement et pénalement responsables.
Mirabeau pendant les débats qui ont précédé l’adoption de la Déclaration des Droits de l’homme et du Citoyen de 1789, avait fait cette déclaration si prémonitoire qu’elle est toujours d’actualité :"Si la loi de responsabilité ne s’étendait pas sur tous les agents subalternes du despotisme, si elle n’existait pas surtout parmi nous, il n’y aurait pas de nation sur la terre plus faite que nous pour l’esclavage. Il n’y en a pas qui ait été plus insultée, plus oppressée par le despotisme".


Peuple de France , ouvrez les yeux mes amis ...





Nous vous mettons en garde :

Nicolas Sarkozy a renoué avec la rhétorique de candidat et son gimmick favori, la désignation à la vindicte de bouc-émissaires ! 




La grande distribution stigmatisée… et cajolée C’était le fonds de commerce du candidat Sarkozy. Le Président a beau faire, il ne sait pas inventer autre chose. Premier dossier, première cause repérable de la déception post-présidentielle, le pouvoir d’achat. Nicolas Sarkozy a potassé les chiffres et ils sont, selon lui, indiscutables : reprenant l’exemple du porc,qu’il avait déjà démissionné le 26 fevrier 2008 lorsqu'il avait stigmatisé les supermarchés, accusés de vendre de plus en plus cher les tranches de jambon au moment où les producteurs voyaient leurs prix de s'effondrer, il montre à nouveau du doigt les enseignes de la grande distribution. La conclusion est plus surprenante : le Président propose d’abolir les lois Galland et Raffarin. Problème : les géants de la grande distribution exigent justement la même chose afin de pouvoir implanter encore plus de magasins sur tout le territoire…

Les patrons à la fête
Deuxième bouc-émissaire, les entreprises qui refusent d’augmenter les salaires de leurs employés – même quand elles font «des milliards de profits» - et de garder leurs seniors. Cette fois-ci, Sarkozy menace de sanctionner : les branches qui refusent de négocier sur les salaires verront leurs allègements de charges supprimés. Drôle d’idée : si, par exemple, le textile ne parvient pas à un accord salarial, toutes les entreprises du secteur seront sanctionnées, même celles qui, individuellement, se montrent plutôt généreuses d’un point de vue social. Le projet est soit impraticable, soit injuste. Il y a mieux : le Président considère qu’un tiers des profits doit aller aux actionnaires, un tiers aux salariés et un tiers aux investissements. Formidable ! Mais que propose-t-il pour y parvenir ?

Les chômeurs fainéants
Le Président est revenu sur le projet du gouvernement de sanctionner – par la suspension de leurs indemnités – les chômeurs qui refusent deux postes, même un peu moins bien payés ou situés à moins d’une heure de leur lieu d’habitation. Cette mesure facilitera-t-elle le retour à l’équilibre des comptes sociaux ? Ce n’est pas la question puisque Nicolas sarkozy reconnaît que les chômeurs «tricheurs» ou «fainéants» sont «une minorité». Mais c’est une mesure «symbolique». Car comme pour la spéculation, il s’agit d’introduire de la morale dans l’économie. Bon courage….

Haro sur les spéculateurs Le Président a renoué avec la tonalité guainoïenne de son discours, évoquant un «capitalisme qui marche sur la tête, qui a besoin d’être moralisé» et critiquant implicitement le montant de la rémunération de certains dirigeants : «Quand on a des salaires de ce niveau, il faut en tirer les conclusions.» Et (re)pan sur la tête de Daniel Bouton, le Président de la Générale. Il s’en est pris tout particulièrement aux Agences de notation qui «n’ont pas fait leur travail» et «doivent être sanctionnées».
A entendre le président, on a du mal à croire qu’il est vraiment passé dans sa tête du statut de candidat à celui de Président : si la rhétorique est restée intacte, si le discours paraît toujours efficace, les solutions qu’il préconise restent floues. Vivement 2012. Pour nous, mais aussi pour lui !






Que font nos dirigeants Européens en stigmatisant les chinois pour nous faire oublier que ce sont nos dirigeants incompétents et corrompus à l'origine de cette crise et ... pour nous faire avaler la pillule de l'austérité ?

Petite réfléxion qui a toute son importance dans notre société actuelle :
“C’est en fait assez simple d’endoctriner le peuple, que ce soit en démocratie, sous une dictature fasciste, au parlement ou sous une dictature communiste. Il suffit de dire aux gens qu’ils sont sous la menace d’une attaque. Et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui met le pays en danger.” Herman Goering

Que font nos dirigeants Européens en stigmatisant les chinois pour nous faire oublier que ce sont nos dirigeants incompétents et corrompus à l'origine de cette crise et ... pour nous faire avaler la pillule de l'austérité ? d'aprés vous ?


surtout ne pas etre différent ou ne surtout pas le montrer ...

Le bouc émissaire : pour l’avoir certes rarement mais tout de même parfois été !
Petits conseils à mes enfants ...
 

Différent des autresQuoi qu’il se passe dans une école, tous les enfants trouvent que "c’est la faute de Untel" : un manteau est déchiré, on perd le match de football, il y a du bruit dans la classe, c'est toujours Untel qui est désigné coupable.

Pourtant, Untel n'abîme pas les manteaux, joue très bien au football, et ne fait pas de bruit en classe.
Untel est ce qu’on appelle un "bouc émissaire" : tout ce qui va mal est désigné par le groupe comme étant de sa faute.

Pourquoi un individu précis devient-il le "bouc émissaire" ? Souvent parce qu’il est, en quelque chose, différent des autres : - parce qu’il est un excellent élève qui réussit tout, ce que les autres ne supportent pas
- parce qu’il est le seul élève à habiter dans un quartier très pauvre ou très riche
- parce qu’il est très petit, très gros, très sensible ou très myope …
Le "bouc émissaire "est donc celui qu’un groupe accuse de toutes les fautes et de tous les malheurs. Il est désigné coupable et responsable de tout ce qui va mal.


Origine du nom "bouc émissaire" Dans la religion juive, un prêtre posait les mains sur la tête d’un bouc avant de l’envoyer dans le désert. Il considérait ainsi transmettre à l’animal toutes les fautes commises par le peuple. Et le bouc - comme un émissaire - allait bien loin perdre toutes ces fautes qui disparaissaient avec lui.
On n’emploie parfois aussi l’expression "tête de Turc" pour désigner la personne dont tout le monde se moque.
Au 19e siècle, dans les foires, il y avait des engins - appelés dynamomètres - sur lesquels il fallait frapper le plus fort possible. Sur ceux-ci était dessiné un visage avec un turban, soit une coiffure de Turc de l’époque. Dramatique racisme mal placé.


Quelques exemples
Les boucs émissaires ont toujours existé. On les retrouve dans tous les groupes, qu'elle qu'en soit la dimension : familles, écoles, usines, clubs , bureaux, nations, ... partout où quelques personnes sont rassemblées, le phénomène surgit.

Le bouc émissaire d'un groupe peut être
- une seule personne
- un groupe de population
- un ou plusieurs animaux
- un élément naturel
- un concept plus abstrait.

Exemples :
- les Juifs ont été accusés d'avoir amené en France la peste noire au quatorzième siècle, ils furent également accusés de tous les maux de l'Allemagne et du reste du monde entre 1930 et 1945
- il est plus facile d’accuser un entraîneur ou un gardien de but que de trouver pourquoi toute une équipe de football perd
- les immigrés sont souvent des boucs émissaires, comme fausse explication aux problèmes du chômage et de la pauvreté d'un pays
- le plus dramatique pour un père de famille, c'est d'être le bouc émissaire de sa propre famille, désigné par sa femme qui influence les enfants
- pour certains, tous leurs malheurs proviennent de l'Europe, d'internet, du premier ministre, des normes écologiques, de l'éducation judéo-chrétienne, d'un président américain, d'un microbe de grippe, d'un chien, d'un volcan, des Wallons, du TGV, ou des Palestiniens ... la liste non exhaustive n'est limitée que par les capacités de l'imagination humaine
- voyez les multiples exemples autour de vous, il y en a partout !


Un coupable… pour cacher les vraies causes
En fait, trouver un bouc émissaire est une explication facile, beaucoup plus facile que de rechercher les vraies causes des échecs ou des problèmes :
- cela permet de ne pas se remettre en question
- cela supprime les discussions et le désordre puisque tout un groupe est d’accord pour accuser une personne ou un autre groupe
- cela rassure ceux qui sont inquiets, puisqu’on trouve une explication officielle aux difficultés.
- cela crée une alliance qui soude le groupe contre le prétendu coupable, peu importe le racisme et à la violence qui s'en suivent

Mais ... c’est s’empêcher de trouver des solutions aux problèmes puisqu’on en ignore les causes réelles ...
 
 
Comment lutter contre ce phénomène? Comment ne pas en etre victime un jour ?Il est important de lutter contre le phénomène du bouc émissaire, mais c'est quasiment impossible.
On ne devrait jamais accepter de laisser désigner erronément un coupable à tout ce qui ne va pas. Il faut inciter le groupe à comprendre son propre système de fonctionnement, et à chercher en lui les raisons de son malaise.

Mais qui va jouer ce rôle ? Certainement pas ceux qui ont le pouvoir ou qui tiennent les rênes économiques, mais plutôt les philosophes (voire les religieux, s'ils sont corrects et acceptés), car les vérités sont bien souvent dérangeantes et peuvent déstabiliser le pouvoir en place.

Souvent, c'est celui qui désigne les erreurs d'un groupe, qui en devient immédiatement le bouc émissaire. Cela se retourne immédiatement contre celui qui dit la vérité, comme dans la chanson de Guy Béart : "Le poète a dit la vérité, il va être exécuté".
L'atypique, bouc émissaire de prédilection :
Par sa sensibilité et ses capacités, l' atypique  capte facilement la charge maladive, ressent les liens agressifs du groupe, pressent les rejets. Etant donné ses différences, il peut devenir un bouc émissaire rêvé ! Le groupe va le désigner consciemment ou inconsciemment, car il est potentiellement dangereux : il ressent les choses, en connaît trop, il parle trop ... il faut l'éliminer !
Eviter d'être bouc émissaire :
Pour éviter de devenir le coupable désigné d'un système, il faut :
-surtout ne pas etre différent ou ne surtout pas le montrer- montrer qu'on va bien et avoir l'air alerte
- témoigner d'une ouverture d'esprit mais tout en restant dans la norme - ne jamais paraître "farfelu" dans ses dires ni dans son comportement
- être pausé, non agité, sans flux de paroles ni de silence exagéré- et surtout : être "comme tout le monde", ce qui est ... impossible à quelqu'un de construit, loyal, créatif, intelligent et responsable ...
Personnellement, j'ai rarement (quelque fois gravement tout de même dans mon enfance ou encore dernierement gravement dans mon travail) été "bouc émissaire" de grands groupes, parce que dès ma tendre enfance je suis conscient de ce risque pour en avoir fait l’expérience tôt mais aussi parce que la nature m’a donné une force physique et mentale pour en dissuader plus d’un .
Mais les rôles que j'ai dû jouer , les mille stratégies à utiliser pour l'éviter m'ont fait détester les groupes, voire même l'humanité en général.
J'éprouve un ressenti de grand cirque humain, et un profond dégoût pour les manipulations omniprésentes des hommes entre eux et la jalousie , donc forcément la méchanceté , gratuite .

En écrivant cette page je me rends toutefois compte que je n'ai pas été suffisamment perspicace dans certains petits groupes, je suis encore le coupable désigné auprès d'êtres qui me sont proches, et cela me fait immensément souffrir.



Une communauté peut fabriquer des coupables. Sacrifier un vrai coupable n’a qu'une fonction libératrice limitée, car après tout c’est normal. Mais fabriquer un coupable dans le but de lui attribuer l'origine de nos maux active puissamment le moteur de l’expiation qui nous valide dans l'hypothèse que nous sommes portés par le "bien". Hitler l'avait bien compris. Sarkosy aussi !

L'éfficacité du bouc émissaire est aussi tres repérable dans tout régime despotique ou tyrannique . Parce qu’aujourd’hui en France , le sport préféré du Président Sarkosy est de diviser son peuple en jouant sans cesse avec la méthode du bouc émissaire , j’écris pour denoncer la dangeureusité du jeu de ce scélérat !

Plus je lis René Girard et plus je trouve que sa vision colle à notre monde. En très simplifié sa thèse fondamentale est que les groupes humains gèrent leur violence naturelle, inévitable, nécessaire à la survie, par le recours à un objet qui sert d’exutoire: le bouc émissaire.
Cette notion de bouc émissaire est issue de la tradition juive. Le bouc est supposé porter sur lui tous les péchés d’Israël, et sa mise à banc produit un effet d'expiation, ou d’attribution du bien à ceux qui le condamnent.

Quand une foule hostile rejette un membre de sa communauté ou une communauté entière, cela signifie que cette foule s’attribue le bien et projette sur le membre rejeté le mal. En rejetant le «mal», on se place automatiquement du côté du «bien». Le bouc émissaire est quelqu’un à qui une communauté attribue la cause du mal. On rejette sur lui nos erreurs ou nos insuffisances et on lui en fait porter la responsabilité. Il est tellement plus simple, pour se sentir pur, de déclarer les autres impurs. Les juifs ont été collectivement le bouc émissaire des sociétés européennes pendant des siècles.

Le bouc émissaire doit payer, et en général il paie de sa vie, qu'il soit coupable ou innocent. C’est la méthode la plus sûre pour éliminer toute contestation de son rôle de «méchant», et pour éviter d’être soi-même mis en cause dans notre rôle de «gentils» ou de «purs». Peut importe de sacrifier un innocent. Un coupable est d'ailleurs en partie innocent: il n'est coupable que parce que nous avons des failles, mais il est innocent de nos failles. Il n'est de voir que le désir d'aggravation des lois répressives après chaque crime sexuel ou crime commis contre des enfants, et les marches blanches organisées dans ce dernier cas. Blanches comme la pureté que nous voulons nous-mêmes endosser pour colmater nos failles et dire bien haut: "Non, nous nous dédouanons de ce crime", laissant l'entièreté de la noirceur aux criminels. Il n'y a guère que pour certains infanticides maternels que la communauté dédouane la coupable, inventant une maladie de "déni de grossesse". Cette maladie réduit la responsabilité et donc l'horreur du crime, comme si la fonction maternelle devait être préservée qui qu'il advienne de l'opprobre du "mal". Quelqu'un fait le mal (tue) mais ce n'est pas de notre faute. L'auteur du crime ne peut donc servir de bouc émissaire.
Une communauté peut fabriquer des coupables. Sacrifier un vrai coupable n’a qu'une fonction libératrice limitée, car après tout c’est normal. Mais fabriquer un coupable dans le but de lui attribuer l'origine de nos maux active puissamment le moteur de l’expiation qui nous valide dans l'hypothèse que nous sommes portés par le "bien". Hitler l'avait bien compris.
Plutôt que de laisser une société être dévorée par sa violence, violence qui peut se tourner contre elle-même (la criminalité n'étant qu'une des formes de désir frustré qui génère une violence anti-sociale), il est plus économique de diriger la violence vers un objet et de trouver un responsable qui endosse le mauvais rôle et assume la punition.

Une origine de cette violence, selon Girard, est le désir mimétique, c’est-à-dire le fait vouloir ressembler à l'autre ou à défaut de désirer ce que l’autre possède et de s’en approprier pour être semblable à lui. Si votre voisin possède une voiture alors que vous n’avez qu’un scooter, l’envie de la voiture viendra très probablement. La grosseur de la voiture étant ensuite un signe de reconnaissance sociale, de puissance, et donc objet de désir et désir de ressemblance (qui ne préfère pas être puissant et autonome plutôt que faible et dépendant?).

L’envie a un autre nom: l’admiration. Dans l’admiration on attribue à l’autre des qualités d’être que l’on ne se sent pas posséder. Un chef de guerre provoque l’admiration par un fait d’arme plein de bravoure. Un Gandhi provoque aussi l'admiration par son engagement et sa philosophie. Ce faisant il prennent une forme d’ascendant sur ceux qui les admirent. Il sont des modèles à atteindre. Mais on ne peut pas «être» l’autre. L’admiration suppose presque inévitablement une forme d'impuissance personnelle en comparaison du modèle. Elle s’oriente alors vers l’envie de posséder les mêmes biens que lui. Quand c’est impossible l’admiration se transforme en haine, et l’on trouve peu à peu à l’idole des défauts qui en font un être méprisable. On lui attribue aussi nos propres malheurs. Le puissant n’est aimé que quand on peut l’utiliser pour se protéger, pour lui ressembler ou quand il nous gratifie d’un peu de sa puissance. Quand il ne nous gratifie plus assez de ses largesses (argent, considération, amitié) il devient un ennemi.

Le bouc émissaire se recrute principalement parmi les gens que l’on a admirés ou enviés. Notre impuissance à être eux en fait peu à peu des adversaires. Le modèle que l'on admire est forcément un jour un obstacle, à moins de perdre sa qualité de modèle. Mais s’il perd sa qualité de modèle il ne mérite plus notre admiration, et notre moteur de l'envie ne se met pas en route. Quel que soit le besoin que certains peuvent avoir d’être un héros (besoin de reconnaissance, de se prouver sa valeur, de revanche, de coller à un mythe, d'obtenir du pouvoir, etc), ils ont tout pour devenir des boucs émissaires s’ils persistent à alimenter ce besoin. Certains espèrent s'affarnchir du sort peu enviable du bouc et demeurer à jamais objets d'admiration et détenteurs de puissance. Mais être un bouc émissaire et réussir à démonter le mécanisme de victimation n’est pas si facile. Le mythe s’y oppose. Or la victime innocente rejoint le mythe et s'en alimente en même temps qu'elle l'alimente. Le mythe nous dépossède de nous-mêmes. Quel pouvoir avons-nous alors sur notre propre destin? Où est notre liberté dans ce processus? On peut bien sûr éviter de devenir bouc émissaire. Mais d'une part cela se passe malgré nous, et d'autre part si l'on y parvenait, aux prix de quelles contorsions et compromissions faudrait-il le payer?

Toutefois dans notre société actuel , la mimétisation n’est plus forcément la source de « la bouc-émissairisation » puisque l’on assiste au transfert de responsabilité des dirigeants incompétents sur les catégories défavorisées , en clair sur le salarié chomeur , sur le fonctionnaire , ou bien encore sur l’immigré . Et c’est là où le bas blesse : le bouc émissaire qui aurait dû etre naturellement désigné à la crise actuelle (le président Sarkosy corrompu et incompétent) a trouvé une parade : il « se lave les mains » sur les petites gens sans défense déjà bien accablés par la crise ! Il faut le dire : on est à la frontiere de l’indécence , de l’intolérable tant ce président n’a pas de honte ni de foi ni de loi pour accuser et montrer du doigt publiquement (et c’est là la gravité du drame tant il me rappelle les écrits et les paroles de Hithler devant une foule de gens inconscients ) .


Et il semblerait aujourd'hui qu'il se passe les même évenements dans beaucoup d'autres pays d'Europe ...
Nous allons y revenir .

Dans le christianisme, le personnage de Jésus est typique du mécanisme mimétique et victimaire décrit par René Girard. Il devient bouc émissaire mais en survivant à la crucifixion (selon la croyance chrétienne) il défait le mythe, qui ne peut s’accomplir normalement. La victime rejetée devient le guide d’un nouveau comportement, où l’expiation collective grâce au bouc émissaire ne fonctionne plus.

Pourtant notre société produit encore des boucs émissaires. Mais elle développe simultanément, et de manière inverse, un culte de la victime, cela peut-être depuis que Jésus, "l'agneau de Dieu", a fait de la victime sacrificielle un accablement pour le monde et non plus une catharsis ou une possibilité d'expiation et de libération. Ce culte n’est que l’envers du binôme bourreau-victime. La simultanéité des deux productions conduit à une confusion majeure des valeurs, dont notre époque est représentative. On pourrait presque dire que malgré la régression de l'influence de la religion, notre époque est plus chrétienne que jamais.
Les puissants d’aujourd’hui sont toujours admirés, toujours détestés, toujours jalousés. Mais s’ils deviennent victimes ils induisent la production de nouveaux puissants car nulle société ne peut fonctionner sur les traces de la victime. Etre victime ne peut être qu’un statut temporaire, pas une norme générale.

Un autre aspect de ce désir de ressemblance, ce désir mimétique, est qu’il fonctionne forcément avec une différence. La différence entre deux puissants est nécessaire pour que l’un envie ou admire l’autre. Les puissants pouvant être des chefs politiques comme des chefs d’ateliers ou un grand frère: le même mécanisme se reproduit à tous niveaux. Si deux individus ont le même niveau de puissance ou de richesse, le moteur d’évolution de la société se grippe. L’indifférenciation sera tôt ou tard confrontée à une nouvelle violence (à cause d'un nouveau désir car le désir est inhérent à l'humain) dont on ne connaît pas la nature donc les ravages possibles. La différenciation est une condition de développement du vivant (comme la différenciation sexuelle, pas exemple). Elle sert aussi à préserver un ordre social où la violence est canalisée. De la nécessaire différenciation à l'inégalité, le pas est souvent franchi, alors que les deux notions ne sont pourtant pas du même ordre. Mais l'indifférenciation est-elle viable socialement? Une société égalitariste tiendrait-elle la longueur alors que les êtres sont différents en talents, capacités, désirs? Et l'inégalité est-elle obligatoirement cause de domination et d'oppression?

La thèse de Girard semble laisser entendre qu’une société égalitaire produirait tôt ou tard une violence inconnue et par là incontrôlable. Dans l'indifférenciation, la dynamique si puissante du désir et de l’envie, qu’il rattache à la nature humaine, n’aurait plus de cadre pour s’exprimer.
Mais, ayant identifié cette dynamique mimétique comme source de violence injuste (le bouc émissaire), n'est-il pas souhaitable de la désamorcer? Et si oui, comment? Désamorcer cette dynamique suppose une démarche personnelle de soustraction au mécanisme de l’envie, de l’admiration, de la jalousie et du reproche. Commencer donc par refus d'admirer ou d'être admiré.

Une telle démarche est-elle possible individuellement, sans une validation collective du constat d’épuisement du désir mimétique, de l'envie, et de l'inévitable jalousie qui s'en suit (épuisement qui nécessite la présence de l'autre pour être réel et vérifiable)? S’il faut une validation collective, sur quelle base et dans quel cadre peut-elle se faire pour remplacer le rôle des religions, qui avaient cette fonction, mais aujourd’hui devenues obsolètes dans leurs rites et croyances cosmogoniques?

La réflexion sur les thèses de René Girard amène des clés à la fois dans la lecture de la société et dans la lecture de mon propre itinéraire. Ce qui me convient bien car je ne puis imaginer une transformation sociale sans que l'individu soit lui-même objet d'une transformation préalable. Je crois plus à la société formée par les individus regroupés et responsables de ce qui les habite qu'à l'individu formaté par la société et donc irresponsable. L'individu responsable n'est plus ni bourreau ni victime. Un chemin qui bouscule la plupart des rapports humains et des mécanismes relationnels.



samedi 26 novembre 2011

Bouc émissaire ou le processus cicatrisant ; Bouc émissaire ou l'art pour les dictateurs de rejeter leur médiocrité sur les autres ...

Le Bouc Emissaire , mécanisme victimaire à l'origine de toutes les sociétés humaines !

Bouc émissaire ou le processus cicatrisant ; Bouc émissaire ou l'art pour les dictateurs de rejeter leur médiocrité sur les autres !!!

Le bouc émissaire ou (et) la vengeance ,étape nécéssaire pour l'appaisement de la haine quel que soit l'époque ou la société dans laquelle nous vivons :
L'institut judiciaire dans nos sociétés modernes a en partie remplacé la fonction remplie,dans les cultures "primitives" par le rituel sacrificiel.
Ainsi si notre systeme nous parait plus rationnel c'est,en vérité,parce qu'il est plus strictement conforme au principe de vengeance.L'insistance sur le chatiment du coupable n'a pas d'autre sens.Au lieu de travailler à empecher la vengeance,à la moderer,à l'eluder ou à la detourner sur un but secondaire,comme tous les procédés proprement religieux,le systeme judiciaire rationalise la vengeance.Il reussit à la decouper et à la limiter comme il l'entend.Il la manipule sans péril.Il en fait une technique extremement éfficace de guérison et,secondairement,de prevention de la violence.Neanmoins la justice ne peut se detacher entierement du bouc émissaire.En son seing,la réciprocité entre violence et contre-violence exactement calculée est conservée.En outre,la société menacée se ressoude toujours contre les "criminels" : on le voyait autrefois avec une particuliere évidence lors d'éxecutions publiques,qui étaient en meme temps des sortes de fetes populaires sanglantes.
L'éfficacité du bouc émissaire est aussi tres repérable dans tout régime despotique ou tyrannique.
Je suis donc convaincu qu'aucun ordre social quel qu'il soit n'a jamais pu échapper au processus fondateur et "cicatrisant" de transfert unanime de la violence sur une victime aléatoire.

Les petites sociétés tribales,du fait de leur structure fondamentale,n'étaient polarisées que sur un bouc émissaire unique et pour l'essentiel il n'existait qu'une institution,le sacrifice,qui renouvelait sans cesse le processus originel.
Les sociétés modernes,en revanche,se sont tellement stratifiées que le meme mecanisme réunit des groupes humains sans cesse nouveaux contre un ennemi commun !



L'éfficacité du bouc émissaire est aussi tres repérable dans tout régime despotique ou tyrannique.


Président sans foi ni loi ...

Les pharisiens n'étaient pas des meutriers sauvages,mais des gens pleins de zèle pour la Loi.
Ils ne réagissaient pas à des mots peu agréables-disons-le:à des accusations personnelles dures,par des coups de poing.Leur volonté de tuer éclata seulement lorque Jésus se mit au-dessus de la Loi et revendiqua sa pleine unité avec Dieu.
Le prophete de Nazareth n'a pas été tué par quelques scélérats occasionnels . Il y avait contre lui un esprit fondamental qui agit en tout homme ! :
La passion,
la jalousie,
l'égoïsme,
la médiocrité,
la peur,
la soumission,
la cupidité...
 







Président sans foi ni loi ...




A votre avis , que nous font croire le Président Sarkosy et les autres dirigeants européens pour nous faire "avaler la pillule " de l'austérité ?

“C’est en fait assez simple d’endoctriner le peuple, que ce soit en démocratie, sous une dictature fasciste, au parlement ou sous une dictature communiste. Il suffit de dire aux gens qu’ils sont sous la menace d’une attaque. Et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui met le pays en danger.” Herman Goering

A votre avis , que nous font croire le Président Sarkosy et les autres dirigeants européens pour nous faire "avaler la pillule " de l'austérité ?





Trop facile de se laver les mains sur un bouc émissaire plutôt que d'avouer ses responsabilités , Mr le président !

La France crève depuis trente ans d'un excès de lois mais pour aboutir finallement à rien . Dernièrement, sous l'impulsion des entreprises du CAC40 jamais rassasiées qu'il faut sans cesse gaver , un texte destiné à limiter les droits des salariés à la greve et au repos maladie a été mis à l'étude. Ce sera forcément un texte injuste comme seul notre pays en a le secret.

D'une part, il consacre encore et toujours la mainmise du privé sur l’Etat Providence et son dépeçage . D'autre part, il tend à stigmatiser une catégorie de la population, le salarié , pour en faire un bouc émissaire bien commode en ces temps troublés de crise. Plutôt que de se pencher sur les problèmes réels du pays, il est bien plus commode de trouver des responsables facilement haïssables , le salarié chomeur , ou bien encore le fonctionnaire ou encore l’immigré .
Mais la révolution  pour le droit à la dignité arrive à petit pas et se fera contre les privilégiés qui n’ont de cesse d’abuser jamais satisfait !

D'origine religieuse, l'expression bouc émissaire désigne en langage courant la personne qui est désignée par un groupe comme devant endosser un comportement social que ce groupe souhaite évacuer. Cette personne est alors exclue du groupe, au sens propre ou figuré, parfois punie, ou condamnée.La personne choisie ne l'est pas forcément pour avoir partagé ce comportement, elle peut être une victime expiatoire choisie pour d'autres raisons du fonctionnement du groupe.
Le phénomène du bouc émissaire est un phénomène collectif. C’est la réponse inconsciente (René Girard utilise le terme de « méconnaissance ») d’une communauté à la violence endémique que ses propres membres ont générée au travers des rivalités .

Le phénomène du bouc émissaire est la loi du « tous contre un ». Il a pour fonction d’exclure la violence interne à la société (endémique) vers l’extérieur de cette société. Pour que ce phénomène soit effectif, il faut :

- que la mise en œuvre du rituel du bouc émissaire reste cachée,
- que la violence résultante de cet acte n’entraîne pas une escalade de violence, d’où la nécessité d’un « typage » des victimes (elles ne sont pas choisies au hasard). C’est le principe de moindre violence
, en ce sens la figure de l’ouvrier est parfaite puisqu'on peut le transformer aisément en abruti , fainéant , sous-homme , surtout dans un pays ou l'accumulation de richesse sur le dos du peuple est érigée en religion.
- que les individus soient persuadés de la culpabilité du bouc émissaire. Et nos amis journalistes s'emploient parfaitement à relayer des informations erronées en plus colporté par le gouvernement lui-même concernant le chomeur qui n’a rien envi de branler ,
- et (dans une moindre mesure) que les victimes soient persuadées d’être coupables. Et l'attitude du salarié licencié montre bien qu'en France le chomeur se sent coupable.

Le problème de ce mécanisme régulateur de la violence est son caractère temporaire. En effet, la violence endémique générée par la rumeur se fait tôt ou tard ressentir. L’on a recours alors à un nouveau bouc émissaire : c’est alors le tour du fonctionnaire ou de l’arabe d’etre le bouc émissaire du président Sarkosy !

Pour René Girard, le bouc émissaire est le mécanisme collectif permettant à une société de survivre à la violence générée par la rumeur colportée par des membres gouvernants ou influant . Le bouc émissaire désigne aussi l’individu, nécessairement coupable pour ses accusateurs mais innocent du point de vue de la « vérité », par lequel le groupe, en s’unissant uniformément contre lui, va retrouver une paix éphémère.Si l’on adopte cette analyse sociologique, on peut admettre que les français en prenant les "chomeurs ou le fonctionnaire ou l’arabe » comme boucs émissaires, connaitront un répit par rapport aux véritables causes de leur problèmes :
- le fait que certains triment pour nourrir sa famille et prennent des risques tandis que d'autres (les patrons et les actionnaires !) en profitent grassement.
- le fait que tous soient finalement persuadés que le progrès envisageable soit d'exploiter au max le travailleur tout en vivant toujours et encore mieux pour les riches !
... mais tôt ou tard ... Conduiront à un moment ou à un autre à une révolution , une guerre civile ou pire à la montée du fascisme …






Nous en avons assez ...

Nous en avons assez d'un Gouvernement dont la seule crainte est de perdre les élections, qui est prêt à vendre son âme pour ne pas froisser l'électorat adverse et qui fait des concessions au premier groupe de pression venu, de droite ou de gauche !
Nous voulons être gouvernés par des ministres qui ne soient pas les simples otages de leur directeur de cabinet, par un parlement qui légifère dans l'intérêt national et non pas dans l'intérêt de groupuscules influents et occultes.





La liberté et la libération des peuples européens reposent, dans leur essence la plus sublime, sur la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 !

La Sublime Hypothese :
Ce qui est le plus universel s'impose toujours à ce qui l'est moins !
Imaginons que les principes qui donnent à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789, son statut d’inviolabilité grâce aux caractéristiques que lui confèrent les adjectifs de : Naturel, Inaliénable, Sacré et Imprescriptible, soient enfin reconnus, respectés et strictement appliqués...

L’ensemble des Droits contenus dans cette Déclaration deviendrait donc incontournables aux corps et aux individus qui exerceraient une autorité quelle qu’elle soit. Autorité qui ne pourrait être que l’émanation émanant expressément de la Nation, comme le stipule l’Article 3, de cette Déclaration :

Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Une autorité qui tenterait de s’imposer sans avoir la légitimité de l’imprimatur de la souveraineté nationale, ne serait qu’imposture et usurpation . N'est-ce pas Mr Sarkosy ? imposteur et bandit .
Il découle tout naturellement de l’application de ce principe qu’une loi pour être conforme à la Constitution qui se réclame officiellement de cette Déclaration, doit tenir sa légitimité de cette autorité souveraine expressément manifestée, et ici chaque mot prend un sens précis et rigoureux. Une loi venant d’un individu ou d’un groupe d’individus n’ayant pas expressément reçu de la souveraineté nationale l’autorité pour la faire, ne serait qu’une loi scélérate sans aucune légitimité juridique.

De ce qui précède nous pouvons très naturellement déduire, que l’inviolabilité de la DDHC de 1789, ne permet pas à des lois extérieures à la souveraineté nationale d’avoir cours légal au sein de la Nation.

Considérant, comme le reconnaissent l’ensemble des responsables politiques d’aujourd’hui, que près de 75% des lois et règlements qui voient actuellement le jour, proviennent de l’Europe, corps qui n’a absolument pas reçu expressément autorité pour exercer en lieu et place des représentants ayant eux délégation de pouvoir de la souveraineté nationale, c’est lois ne sont donc pas conforme au pacte républicain et constitutionnel dont la clé de voute est la DDHC de 1789.
Si aucune loi sur le territoire national ne peut se permettre de porter atteinte à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, comme lui confèrent ses caractéristiques de : Naturelle, Sacrée, Inaliénable et Imprescriptible, alors aucune loi d’origine européenne ne peut s’appliquer sur le territoire national si elle viole l’inaliénabilité et l’imprescriptibilité de cette Déclaration.

Ici, nous entrons dans une dimension sublime qui a échappée et qui échappe complètement à la conscience dévoyée et corrompue de nos dirigeants : celle qui veut que l’inviolabilité de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, condamne l’Europe à concevoir des lois qui soient compatibles avec cette Déclaration inaliénable par aucun corps ni aucun individu, puisque même la souveraineté nationale ne pourrait en disposer autrement.

Du microcosme au Macrocosme.

Les lois européennes qui sont entérinées par une représentation nationale, comme une obligation qui s’imposerait, y compris au détriment de l’inviolabilité de la DDHC de 1789, n’est qu’une imposture découlant et de l’ignorance, et de l’irresponsabilité de ces représentants nationaux manifestant ainsi leur terrible incompétence. Ces représentants n’exercent plus une autorité qui émane expressément de la souveraineté nationale, mais d’une souveraineté étrangère à la Nation et en contradiction avec ses principes.
Pour qu’une loi européenne puisse être entérinée par la représentation nationale française, elle doit donc être compatible avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789. Il découle naturellement du respect absolu de ce principe, que cette Déclaration devient ipso facto, et sans qu’il puisse en être changer une virgule, la Déclaration des Droits de l’Homme de l’Europe entière !

Nous retrouvons là, le caractère universel de cette sublime Déclaration, qui n’a aucun équivalent dans l’histoire. Ses propriétés que lui confèrent les adjectifs de : Naturel, Sacré, Inaliénable et Imprescriptible, de chacun de ces droits, font l’intemporalité et l’universalité de ses principes.
Il serait temps que nos médiocres dirigeants, qui se gargarisent de l’Europe et de ses pseudos vertus, prennent conscience de la chance qu’ils ont de disposer de la plus puissante ontologie politique civilisatrice et qu’ils ont autant le DEVOIR que la RESPONSABILITÉ de promouvoir sur le plan européen, bien avant des constitutions de pacotilles, illisibles et inapplicables, car sans aucune âme humaniste et sans vertu libératrice.

La liberté et la libération des peuples européens reposent, dans leur essence la plus sublime, sur la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.

Seule l'amplitude de cette vision de l'histoire de l'humanité fait les responsables politique clairvoyants.
 





Attention danger ... indignez-vous !

Méfiez-vous des grandes loges maçonniques que l’on sait si proches du pouvoir : ils sont " un état dans l'Etat " qui corromptent petit à petit nos valeurs démocratiques avec ... les avocats et certains juges !

A propos des avocats impunis et corrompus …
A propos des avocats qui mettent en danger sans état d’ame notre démocratie et ses fondements …

Montesquieu disait : celui qui fait exécuter les lois doit y être soumis .
Or dans la réalité , nos avocats sont non seulement « intouchables » mais corrompus et se foutent completement de la déontologie des lois et des libertés : ils salissent en toute impunité le pauvre citoyen .
En effet , suite à un certain corporatisme, les avocats indélicats sont très rarement attaqués en responsabilité par leurs confrères. D’une part, en cas de manquement professionnel nécessitant une réparation importante, l’assurance en Responsabilité Civile et Professionnelle indemnisant le justiciable répercute ce dédommagement sur l’ensemble des cotisations des professionnels, c’est une des raisons du corporatisme. L’avocat refusant de faire cette déclaration, il ne reste plus qu’au justiciable de prendre son bâton de pèlerin pour trouver un avocat qui engagera cette action devant le TGI. D’autre part, il ne faut pas porter atteinte à l’honneur de ce corps, cela démontre bien une justice de classe. Bien corroboré par les bâtonniers habilités à sanctionner leurs confrères et qui classent sans suites les plaintes des justiciables.
Aucun de ceux qui font exécuter les lois ne sont juridiquement et personnellement responsables de cette exécution.
Surtout lorsque cette singerie de justice ne respecte même pas ses propres règles ...




La Franc-Maçonnerie : Un réseau tentaculaire d’influence qui gangrene notre société et nos institutions !

La Franc-Maçonnerie : Un réseau tentaculaire d’influence qui gangrene notre société et nos institutions !


  • C'est grave : FRANC-MACONNERIE ET MINISTERE DE L'INTERIEUR
Depuis les dix dernières années, une très grande quantité de fonctionnaires du ministère de l'Intérieur, comme des fonctionnaires des renseignements généraux, entrent en Franc-Maçonnerie. Les directions des grandes obédiences ressemblent d'ailleurs à une véritable centrale de renseignements, et le frère qui apportera des informations gravira les différents grades plus rapidement. Informations sur les affaires en cours, particulièrement celles où sont impliquées d'autres Frères, informations sur la partie adverse, informations sur des victimes potentielles, etc. Du reste, la "formation" spécifique à la Franc-Maçonnerie apporte inconsciemment cette culture du "renseignement". Il n'est donc pas surprenant que la Franc-Maçonnerie compte parmi ses hauts dignitaires, voire ses anciens Grand Maîtres, des fonctionnaires des RG ou de la DST. Cela est incompatible avec la véritable Franc-Maçonnerie, et montre bien l'hypocrisie des Obédiences à faire croire qu'elles ne s'immiscent pas dans les affaires profanes. D'autant que les plus hauts des responsables du ministère de l'Intérieur n'hésitent pas à mettre leur nez dans des affaires politico-financières sensibles. Cela est extrêmement grave, et les Franc-Maçons devront mener une profonde réflexion sur la double appartenance Franc-Maçonnerie / Ministère de l'Intérieur.


  • FRANC-MACONNERIE ET POLITIQUE
C'est peut-être le coeur du sujet. Environ 450 parlementaires (députés et sénateurs) seraient franc-maçons. Beaucoup sont au coeur du système. Pour le compte de très hautes autorités politiques, le plus souvent profanes. C'est peut-être pour cela que les "affaires" qui pourraient impliquer des politiques ont beaucoup de mal à transpirer. D'où la défiance des Français envers leurs politiques, qui reste profonde : 61% des Français jugent les élus et les dirigeants politiques plutôt corrompus, et cela passe à 75% chez les jeunes.


  • FRANC-MACONNERIE ET MEDIAS
Les médias sont le plus souvent circonspects sur certaines affaires. Vous avez peut-être été surpris d'avoir transmis votre dossier et que rien ne transpire. Normal. Aux directions d'un grand nombre de journaux d'investigations, nous retrouvons des Frères à des postes clés. Là encore, nous avons pu constater que les médias fonctionnent comme centrale de "renseignements" au profit des autorités, et ce, souvent à l'insu de leurs journalistes. Quant aux affaires politico-sensibles, les dossiers sont soigneusement "orientés". Il est manifeste que les médias sont trop souvent pour protéger les intérêts politico-affairistes.  


  • FRANC-MACONNERIE ET SCIENTOLOGIE
Suite à une de nos enquêtes, il est intéressant également de souligner que le plus souvent la scientologie "apparaît" dans les dossiers touchant à l'immobilier. Certes rarement de manière opérative, mais les victimes l'ont croisée un jour dans leur environnement proche : elle est là qui guette... Quel est le rôle de la scientologie dans ces spoliations, nous ne l'avons pas encore déterminé.
Des dossiers qui disparaissent curieusement ? Mi-octobre 1998, le Frère Bornstein, expert en psychiatrie et responsable à l'Eglise de la Scientologie, a été radié suite à la disparition d'un tome et demi sur la Scientologie au Palais de Justice de Paris. Combien de Scientologues ont infiltré la Franc-Maçonnerie ?



  • FRANC-MACONNERIE ET TRIBUNAUX DE COMMERCE
Les tribunaux de commerce représentent le coeur du système des Franc-Maçons affairistes. La commission d'enquête parlementaire sur les Tribunaux de Commerce a effectué un travail très important visant à mettre à plat les dysfonctionnements dans les tribunaux de commerce. Les juges consulaires, montrés du doigt, ont menacé de démissionner en bloc. Elisabeth GUIGOU, Garde des Sceaux, a souhaité faire une réforme des Tribunaux de Commerce. Cette réforme a failli ne pas être votée par les parlementaires, alors qu'elle est souhaitée par environ 80% des Français ! Résultat pour les victimes de ces Tribunaux de Commerce : aujourd'hui, le système se durcit, la "guerre" devient encore plus virulente, et les justiciables n'ont pas l'impression que les choses changeront avant longtemps !
C'est à tel point que l'on ne peut que se demander si véritablement la commission d'enquête parlementaire ne visait pas à faire "retomber la pression", puisque la vindicte des victimes des tribunaux de commerces commençait à devenir menaçante. Les justiciables ont pu penser "enfin, nous sommes écoutés".
Manifestement, c'est tout l'inverse qui s'est produit depuis la commission d'enquête parlementaire. Car le "système" semble continuer et s'amplifier...





Nos démocraties sont en danger : La Franc-Maçonnerie , un Etat dans l’Etat !

Nos démocraties sont en danger :
La Franc-Maçonnerie , un Etat dans l’Etat !
LA FRANC-MACONNERIE ET LA JUSTICE :
"Le juge, organe de la loi silencieuse, le juge impassible et froid comme elle, pour les intérêts sur lesquels il doit se prononcer, fera-t-il, sans crime, de la balance de Thémis un vil trébuchet de Plutus ? L'intention du plaideur qui donne est au moins sujette à discussion, et peut s'interpréter de mille manières; mais le juge qui reçoit est sans excuse aux yeux de la loi. Si le premier doit acheter mille choses en plaidant, le second n'a rien à vendre en jugeant; il est donc le vrai coupable, le seul punissable, l'autre est tout au plus répréhensible." (Beaumarchais, Mémoires contre Goëzman)
Combien de Procureurs, Substituts, Préfets, Sous-préfets sont-ils Franc-maçons ? Là se trouve le véritable problème dévoilé par Eric de Montgolfier. Car lorsque des juges sont devoyés, les justiciables dénoncent ces faits au Procureur de la République... Mais quand ces Procureurs sont eux-mêmes affairistes, cela donne classement sans suite, non lieu, désignation d'un juge aux ordres pour enterrer un dossier, etc. Combien de patrimoines ont-ils pu être ainsi spoliés par ce copinage affairiste franc-maçon ? Incroyable, lorsqu'on sait que la très grande majorité des Frères et Soeurs sont pourtant parfaitement intègres !
Mais que l'on ne s'y trompe pas : depuis la révélation de certaines affaires qui touchent les obédiences, ces problèmes d'affairisme dépassent très largement le cadre de la Franc-maçonnerie, et ce sont désormais des profanes très proches de la Franc-Maçonnerie qui mettent en oeuvre les dispositifs affairistes.
Certains dysfonctionnements affairistes des Tribunaux de Commerce ont été mis en exergue par un rapport d'enquête parlementaire. Mais ce n'est que l'arbre qui cache la forêt. C'est toute la justice qui est touchée. Jusqu'aux Conseils de l'Ordre des Avocats jusqu'à certains Bâtonniers. La situation que dénonce le Procureur de Nice se reproduit systématiquement dans presque toute la France. La situation s'aggrave de jour en jour !
 
 
  • LES MAGOUILLES DES ORDRES DES AVOCATS !



  • Certains Parquets, mais aussi Bâtonniers et hauts dignitaires des Ordres des Avocats sont directement impliqués dans des affaires politico-financières au coeur desquelles nous retrouvons la Franc-Maçonnerie. Et n'hésitent pas à faire pression sur des Avocats intègres qui voudraient défendre les victimes de ces affaires, pour "planter" leur client. Certes ces Avocats intègres protestent, mais face à une menace de radiation avec de fausses pièces, de fausses dénonciations calomnieuses, que peuvent-ils faire ? Céder.
    Un dossier accablant sur les magouilles de l'Ordre des Avocats de Paris afin de montrer comment des Procureurs, Bâtonniers, membres de l'Ordre pratiquent menaces, pressions, faux et usages, trafics d'influence, radiation d'Avocats sur la base de documents inexistants, etc., à l'encontre d'Avocats intègres dans des affaires politico-affairistes sensibles de l'Etat.

  • UNE SITUATION GENERALISEE



  • De nombreux témoignages nous indiquent que la situation que dénonce le Procureur de Montgolfier à Nice est la même à Paris et dans de très nombreuses autres régions de France. Par exemple, tous les dossiers politico-financiers gênants concernant la Franc-Maçonnerie disparaissent dans presque toutes les régions. Les parquets devront assumer leurs responsabilités face à cette situation qui ne leur est pas toujours étrangère.
    Cette situation est peut-être même pire dans les DOM-TOM (Réunion, Guadeloupe, etc) et ce n'est peut-être pas un hasard si les Loges des DOM-TOM sont d'ailleurs directement rattachées aux Loges Parisiennes.
    TOUS les services de l'Etat sont touchés par cette gangrène de copinage affairiste. Le Nouvel Observateur le démontre clairement dans son dossier :
    Journal Le nouvel Observateur : " franc-Maçons : le choc des affaires "


    rappelons-nous une citation de ...

    Montesquieu disait : « Dans une monarchie bien réglée, les sujets sont comme des poissons dans un grand filet, ils se croient libres et pourtant ils sont pris ».
    et vous comprendrez finallement peut etre qu'il est temps de vous indigner !









  • NICE : LA SITUATION DENONCEE PAR LE PROCUREUR DE MONTGOLFIER






  • Pour comprendre les dérives graves et presque irréversibles que la Franc-Maçonnerie peut opérer dans une région, citons Nice, où pour une fois, un Procureur de la République courageux a posé le problème !


    Presque tous les dossiers , y compris ceux avec de faibles spoliations (quelques MF), démontrent des pratiques affairistes au profit de politiques locaux, mais par dessus tout au profit de politiques au plus haut niveau de l'Etat. Il semble donc ni plus ni moins s'agir d'un vaste réseau mis en place pour le financement des partis politiques, avec un commissionnement à chaque niveau intermédiaire.
    Mais la notion de "clan" semble aujourd'hui remise en cause : aujourd'hui, ces hauts dignitaires de la politique semblent "lâcher" les rouages inférieurs rattrapés par la justice. Certes les rouages de copinage fonctionnent encore bien. Mais de plus en plus de rouages intermédiaires commencent à parler, à révéler les commanditaires de leurs systèmes, et il n'est pas impensable que d'ici une dizaine d'années, les plus hauts dignitaires des partis politiques ne soient pas rattrapés par la justice après avoir été dénoncés par leurs "amis". La loi du silence commence à tomber.
    Certes l'ancien Garde des Sceaux Elisabeth GUIGOU, comparativement à ses prédécesseurs, a réellement fait progresser un certain nombre de choses. Mais ce ministre était elle-même tenue par ses "amis" politiques, son mari est du reste membre du Grand Orient de France, et son directeur de Cabinet franc-maçon. De surcroît, Elisabeth GUIGOU est venue au Grand Orient faire une conférence sur "justice : service public"... Il est manifeste que notre ministre de la Justice était "tenue", et qu'elle ne pouvait pas mettre en place une réelle transformation de la justice qu'elle a pourtant sûrement espéré pouvoir réaliser. Je reste péssimiste et je n’y crois vraiment pas !
    Attention : Concernant les associations nationales de justiciables,  certains responsables de ces associations, ont également été corrompus et donc certaines associations sont infiltrées  au profit de ces affairistes ! 
     
    . Enfin : Rappelons aux justiciables qu'ils doivent en permanence être vigilants si leur dossier est sensible : beaucoup d'avocats, franc-maçons et renseignements généraux sont là pour leur nuire. La plupart du temps, ces gens leur sont "mis dans les pattes". Si les justiciables français veulent vraiment s'en sortir, ils ne peuvent malheureusement compter que sur eux-mêmes . Les associations de justiciables (qui pour beaucoup sont en fait là pour avoir accès aux dossiers) ne devraient avoir que pour seule mission d'organiser des manifestations de protestation et de propositions face aux dysfonctionnements de la justice française. Les justiciables doivent en permanence se méfier, si leur affaire est sensible, des renseignements généraux (souvent franc-maçons) qui font la plupart des besognes au profit des affairistes.

    Mais en 1789 ...