Même si je ne suis pas forcement d'accord avec tous les messages de N.Arthaud , il en est un que je soutiens ...
Un message politique si vrai ...
" Mes amis , réveillons-nous . Assez d'injustices ! " L'Abbé Pierre
dimanche 13 mai 2012
Un petit article fort intéréssant que j'ai trouvé dans un journal lorsque cet ennemi du peuple , le Président Sarkosy , était encore au pouvoir ...
Quand un Président et ses ministres ont tout tenté pour reduire au silence un droit des plus naturels et légals : le droit de grêve !
Afin que nul n'oublie jamais ce que certains élus du peuple en 2007 ont été capables de commettre , l'intolerable , contre le monde du travail , contre le peuple !
Quand un Président et ses ministres ont tout tenté pour reduire au silence un droit des plus naturels et légals : le droit de grêve !
Afin que nul n'oublie jamais ce que certains élus du peuple en 2007 ont été capables de commettre , l'intolerable , contre le monde du travail , contre le peuple !
A propos d'un flic ripoux célébre !
Parce que je me battrai contre ces flics "ripoux",avocats,magistrats,hommes politiques corrompus ...
Petite reflexion à propos de l'affaire lyonnaise du N°2 de la Police Judiciaire corrompu et en prison aujourd'hui :
Michel Neyret est-il le Fabrice Burgaud de la PJ de Lyon ? L'affaire qui touche la police judiciaire de Lyon présente des similitudes avec le scandale d'Outreau. Pour Maître Metaxas, le problème est systémique et dépasse les seules personnes mises en cause. L'affaire de Lyon et Grenoble révèle une négligence collective (cf. Article de Louise Fessard exposant un cas pratique du système grenoblois). Il ne faut donc pas se focaliser aux personnes gardées à vue. Celles feignant la surprise sont également responsables. Il faudrait, cette fois, ne pas se contenter de stigmatiser une personne, mais rechercher toutes les responsabilités afin que cette affaire ait une incidence effective et positive sur les comportements de ceux qui ont en charge le fonctionnement des institutions.
Le simple bon sens conduit à trouver anormal qu'un commissaire de police fasse pratiquement toute sa carrière au même endroit pendant plus de 20 ans. La réglementation le confirme. L'article 6 du statut particulier des commissaires de police (décret N°2005-939) prévoit que la durée d'affectation sur un même poste est limitée à quatre ans. Comment se fait-il alors que Michel Neyret soit resté si longtemps sur place ?
Est pareillement irrégulier le fait qu'un policier vive avec une personne tenant un hôtel ? Ce sont deux professions incompatibles.
Combien de directeurs de la PJ se sont succédés à Lyon sans rien voir, ni savoir, pendant 20 ans ? A commencer par le directeur central actuel de la PJ. Il existe une note de service prévoyant la contrôle et la validation des enquêtes. Le directeur actuel n'a rien remarqué. Ce qui est révélé aujourd'hui est tellement énorme que cela en est incroyablement étonnant. Le ministre paraît également fautif.
Les mêmes observations sont valables à propos de certains magistrats.
Le procureur général à Lyon était avant procureur général à Grenoble, après avoir été avocat général à Lyon, le tout pendant 20 ans. De tels déroulement de carrière, où se retrouvent trop souvent et trop longtemps sur place les mêmes personnes ne sont pas exceptionnels. Le procureur général de Lyon a rejoint au CSM quatre magistrats de Lyon ou Grenoble, sur un total de douze membres élus (soit 40%). Ces deux villes sont sureprésentées.
Un esprit critique s'étonnera de l'étonnement de ceux qui, ayant côtoyé aussi longtemps des personnes, s'empressent de s'exonérer elles-mêmes de toutes implications en affirmant n'avoir jamais rien vu.
Le code de procédure pénale place la police judiciaire sous le contrôle et l'autorité du ministère public. Il est dès lors très étonnant qu'un procureur général puisse être surpris à ce point au bout de 20 ans par quelqu'un qu'il avait la charge de contrôler.
La dissipation de drogue dans les scellés pose aussi une question quant à leur dépôt au greffe du tribunal. Ne sont-ils pas contrôlés ou gardés ? Est-ce bien sérieux de la part d'un parquet qu'une procédure policière vise une saisine de "x" tonne mais n'en déposerait que "x-a%", ou qu'il manque des scellés ? C'est d'autant plus troublant que le palais de justice à Grenoble s'est fait récemment remarquer pour sa négligence en la matière.
Comment dans un tel cas accepter en France qu'un ministre de l'éducation reproche à un instituteur un défaut de surveillance quand celui de la justice ne reproche pas à son ministère public que la police se corrompe ?
Soit le parquet général de Lyon sait que le N°2 de la p.j. Lyon est honnête et il l'affirme, sans évoquer contradictoirement de possibles sanctions ; soit il connaît la vérité et le ministre de la justice doit lui demander une explication sur un aussi long silence, une telle caution implicite.
En l'occurence, le ministre de la justice est aussi de Lyon et le ministère public a classé une affaire sans suite dans laquelle il était visé au moment de sa nomination au poste de Garde des Sceaux. Le fait qu'il ne s'inquiète pas de ce qui se passe rend la chose encore plus inquiétante.
Le pays de Guignol risque de donner l'idée que Lyon et Grenoble puissent être un creuset de comportements critiquables. De quel "milieu" faut-il alors parler dans ces conditions ?
L'affaire de la PJ de Lyon montre que l'institution policière et judiciaire tisse des réseaux que l'Etat laisse prospérer, plutôt que de les doter des moyens adaptés et suffisants pour garantir au justiciable l'accès à un tribunal impartial.
Une justice où tout le monde se connaît et se côtoie depuis 20 ans est de nature à créer le doute dans l'opinion – notamment au plan local – sur l'impartialité des institutions et prêter à toutes les hypothèses. Cette évidence n'a pas éveillé, en 20 ans, l'intérêt des autorités qui feignent aujourd'hui d'être surprises.
Il est donc erroné de se focaliser sur quelques individus seulement, comme cela fut le cas dans l'affaire d'Outreau, quand de nombreuses responsabilités ont par ailleurs failli et que les autorités se réfugient dans la stigmatisation pour éluder le fond du débat : un défaut d'organsiation dans les déroulement des carrières des responsables de la police et de la justice et la formation de chapelles locales.
C'est tromper l'opinion que de limiter l'affaire à une conséquence de ce phénomène et ne pas en chercher les véritables motifs.
L'affaire de la PJ de Lyon pose donc des questions bien au-delà de la police et de quelques garde-à-vue. Elle demande un débat qui, selon ce que pense David Metaxas, dépasse le fait divers et nécessite une véritable volonté à restaurer l'Etat de droit.
Et quant au fameux avocat David Metaxas , on sait aujourd'hui dans quel bourbier il est mélé lui aussi ...
Wait and see...Hollande (comme nous tous , nous le peuple) va faire le menage car il lui est insupportable de voir de telles magouilles au sein de la police et du monde des avocats ...
Petite reflexion à propos de l'affaire lyonnaise du N°2 de la Police Judiciaire corrompu et en prison aujourd'hui :
Michel Neyret est-il le Fabrice Burgaud de la PJ de Lyon ? L'affaire qui touche la police judiciaire de Lyon présente des similitudes avec le scandale d'Outreau. Pour Maître Metaxas, le problème est systémique et dépasse les seules personnes mises en cause. L'affaire de Lyon et Grenoble révèle une négligence collective (cf. Article de Louise Fessard exposant un cas pratique du système grenoblois). Il ne faut donc pas se focaliser aux personnes gardées à vue. Celles feignant la surprise sont également responsables. Il faudrait, cette fois, ne pas se contenter de stigmatiser une personne, mais rechercher toutes les responsabilités afin que cette affaire ait une incidence effective et positive sur les comportements de ceux qui ont en charge le fonctionnement des institutions.
Le simple bon sens conduit à trouver anormal qu'un commissaire de police fasse pratiquement toute sa carrière au même endroit pendant plus de 20 ans. La réglementation le confirme. L'article 6 du statut particulier des commissaires de police (décret N°2005-939) prévoit que la durée d'affectation sur un même poste est limitée à quatre ans. Comment se fait-il alors que Michel Neyret soit resté si longtemps sur place ?
Est pareillement irrégulier le fait qu'un policier vive avec une personne tenant un hôtel ? Ce sont deux professions incompatibles.
Combien de directeurs de la PJ se sont succédés à Lyon sans rien voir, ni savoir, pendant 20 ans ? A commencer par le directeur central actuel de la PJ. Il existe une note de service prévoyant la contrôle et la validation des enquêtes. Le directeur actuel n'a rien remarqué. Ce qui est révélé aujourd'hui est tellement énorme que cela en est incroyablement étonnant. Le ministre paraît également fautif.
Les mêmes observations sont valables à propos de certains magistrats.
Le procureur général à Lyon était avant procureur général à Grenoble, après avoir été avocat général à Lyon, le tout pendant 20 ans. De tels déroulement de carrière, où se retrouvent trop souvent et trop longtemps sur place les mêmes personnes ne sont pas exceptionnels. Le procureur général de Lyon a rejoint au CSM quatre magistrats de Lyon ou Grenoble, sur un total de douze membres élus (soit 40%). Ces deux villes sont sureprésentées.
Un esprit critique s'étonnera de l'étonnement de ceux qui, ayant côtoyé aussi longtemps des personnes, s'empressent de s'exonérer elles-mêmes de toutes implications en affirmant n'avoir jamais rien vu.
Le code de procédure pénale place la police judiciaire sous le contrôle et l'autorité du ministère public. Il est dès lors très étonnant qu'un procureur général puisse être surpris à ce point au bout de 20 ans par quelqu'un qu'il avait la charge de contrôler.
La dissipation de drogue dans les scellés pose aussi une question quant à leur dépôt au greffe du tribunal. Ne sont-ils pas contrôlés ou gardés ? Est-ce bien sérieux de la part d'un parquet qu'une procédure policière vise une saisine de "x" tonne mais n'en déposerait que "x-a%", ou qu'il manque des scellés ? C'est d'autant plus troublant que le palais de justice à Grenoble s'est fait récemment remarquer pour sa négligence en la matière.
Comment dans un tel cas accepter en France qu'un ministre de l'éducation reproche à un instituteur un défaut de surveillance quand celui de la justice ne reproche pas à son ministère public que la police se corrompe ?
Soit le parquet général de Lyon sait que le N°2 de la p.j. Lyon est honnête et il l'affirme, sans évoquer contradictoirement de possibles sanctions ; soit il connaît la vérité et le ministre de la justice doit lui demander une explication sur un aussi long silence, une telle caution implicite.
En l'occurence, le ministre de la justice est aussi de Lyon et le ministère public a classé une affaire sans suite dans laquelle il était visé au moment de sa nomination au poste de Garde des Sceaux. Le fait qu'il ne s'inquiète pas de ce qui se passe rend la chose encore plus inquiétante.
Le pays de Guignol risque de donner l'idée que Lyon et Grenoble puissent être un creuset de comportements critiquables. De quel "milieu" faut-il alors parler dans ces conditions ?
L'affaire de la PJ de Lyon montre que l'institution policière et judiciaire tisse des réseaux que l'Etat laisse prospérer, plutôt que de les doter des moyens adaptés et suffisants pour garantir au justiciable l'accès à un tribunal impartial.
Une justice où tout le monde se connaît et se côtoie depuis 20 ans est de nature à créer le doute dans l'opinion – notamment au plan local – sur l'impartialité des institutions et prêter à toutes les hypothèses. Cette évidence n'a pas éveillé, en 20 ans, l'intérêt des autorités qui feignent aujourd'hui d'être surprises.
Il est donc erroné de se focaliser sur quelques individus seulement, comme cela fut le cas dans l'affaire d'Outreau, quand de nombreuses responsabilités ont par ailleurs failli et que les autorités se réfugient dans la stigmatisation pour éluder le fond du débat : un défaut d'organsiation dans les déroulement des carrières des responsables de la police et de la justice et la formation de chapelles locales.
C'est tromper l'opinion que de limiter l'affaire à une conséquence de ce phénomène et ne pas en chercher les véritables motifs.
L'affaire de la PJ de Lyon pose donc des questions bien au-delà de la police et de quelques garde-à-vue. Elle demande un débat qui, selon ce que pense David Metaxas, dépasse le fait divers et nécessite une véritable volonté à restaurer l'Etat de droit.
Et quant au fameux avocat David Metaxas , on sait aujourd'hui dans quel bourbier il est mélé lui aussi ...
Wait and see...Hollande (comme nous tous , nous le peuple) va faire le menage car il lui est insupportable de voir de telles magouilles au sein de la police et du monde des avocats ...
mercredi 15 février 2012
Oh mon Dieu , que les peuples d'Europe ouvrent les yeux et se mobilisent pour soutenir le peuple Grec que nos financiers et politiciens sont en train d'affamer !
Ouvrez les yeux !
L’association CCFD Terre Solidaire a mis en lumière, lors d’une conférence le 1er juillet 2011 à l’Assemblée nationale, la façon dont la Zambie serait aujourd’hui dépossédée du fruit de l’extraction de ses ressources minieres , après que le FMI eut obligé le pays à en privatiser l’exploitation. Un dossier dans lequel on retrouverait le groupe Glencore, connu en France pour avoir racheté puis liquidé la société Metaleurop dans des conditions non respectueuses de la réglementation sociale et environnementale. A l’époque, le gouvernement français avait dénoncé ces " patrons voyous " .
Intéressante convergence. Or, cette société a pignon sur rue en Suisse, dans le canton de Zoug où l’impôt sur le capital des holdings est quasiment nul, réduit à 0,02% du capital, explique l’ONG. Qu’ils passent par l’Afrique ou l’Europe, les circuits se superposent.
A votre avis , qu'est ce que le FMI , les agences de notation , les financiers , le couple Sarkosy-Merkel sont ils en train de faire avec la Grece ?Peuple Grec , nous sommes avec vous ! Luttez encore et encore pour votre dignité .
mardi 3 janvier 2012
Peuple , Réveillez-vous , levez-vous , ... Indignez-vous avant qu'il ne soit trop tard .
"Si aucun remède n'est apporté aux différentes formes d'injustice, les effets négatifs qui s'en suivront au plan social, politique et économique seront de nature à engendrer un climat d'hostilité croissante et même de violence, jusqu'à miner les bases mêmes des institutions démocratiques, celles qui sont également considérées comme les plus solides et les plus sûres"
Le Pape Benoit XVI
Et c'est justement ça qui donne envie de le pousser dans le vide !
À quoi bon aller voter ? 47 % des Français ne souhaitent ni la victoire de Hollande, ni celle de Sarkozy. Pourtant, l'un de ces deux hommes sera sans doute élu.
Ceux qui ne veulent ni de Hollande, ni de Sarkozy, sont majoritaires mais ils ne soutiennent pas tous le même candidat… Toujours la même histoire. Au premier tour, on choisit son préféré. Au second tour, on élimine celui qu'on ne peut pas blairer.
De ce point de vue, ce qui est inquiétant pour Sarkozy, c'est que deux tiers des Français ont une mauvaise opinion de lui. Selon le baromètre de popularité du JDD, la courbe d’impopularité du Président se maintient au-dessus de 64 % depuis bientôt deux ans.Ça fait un bon paquet d'électeurs qui, à défaut de se féliciter de la victoire de Hollande, pourraient se réjouir de la défaite de Sarkozy. Une élection est un spectacle où c'est le public qui écrit la fin de l'histoire. Or l'élection de Nicolas Sarkozy, c'est du déjà-vu. S'il est réélu en 2012, on sait déjà comment ça va se passer.
D'abord, la brève apparition Place de la Concorde. Sur scène, il y aura forcément un bisou échangé avec Carla, façon couple princier. Et après, pour faire quand même un peu républicain, La Marseillaise chantée par Stone & Charden. Ensuite, un dîner chez Maxim's avec tous les copains (sauf bien sûr ceux qui auront été incarcérés dans le cadre de l'enquête sur le dossier Karachi). Après, ce sera comme d'hab' : quelques jours de repos sur un yacht, et hop ! On est reparti pour cinq ans.
Tandis que si Nicolas Sarkozy est battu, ça devient une autre histoire. Vu qu'il n'a pas souvent connu la défaite, on se demande comment il réagira. Est-ce qu'il dira " Au revoir " comme Giscard qui avait tourné le dos aux Français en laissant une chaise vide ?
Quand il quittera l'Elysée, est-ce qu'une foule un peu hargneuse viendra le siffler en brandissant des pancartes " Casse-toi pauv' con ! " ? Est-ce qu'il résistera à la tentation de leur répondre ? Est-ce qu'il laissera une phrase historique à la Balladur lorsqu'il avait glapi : " Je vous demande de vous arrêter ! "
Et s'il est battu au premier tour ? Vous croyez qu'il annoncera illico son retrait de la vie politique comme Jospin ? Et après, qu'est-ce qu'il fera ? Est-ce qu'il partira s'installer aux Etats-Unis recommencer une nouvelle vie ? Est-ce qu'il profitera de la dolce vita dans les bras de Carla ?
C'est pas très reluisant comme motivation, mais quand un puissant dégringole de l'estrade, ça réjouit souvent le bon peuple. Plus le gars tombe de haut, plus on frissonne à l'idée de la gamelle qu'il va se prendre. Et c'est justement ça qui donne envie de le pousser dans le vide.
Alors allons nombreux voter pour le degager !
Sarkosy , Président voyou , dégage !
lundi 2 janvier 2012
Il faut faire du ménage dans ces Politiciens et Hommes de Loi corrompus !
Origine de l’imposture :
Puisqu'il faut un début à tout...
Commençons par identifier la source des perversions de la justice humaine.
Puisqu'il faut un début à tout...
Commençons par identifier la source des perversions de la justice humaine.
Pour faire les lois, il faut sélectionner les personnes qui seront habilitées à les faire. Ceux qui contrôlent la sélection de ces personnes, et après cette sélection, qui maintiennent leur contrôle, sont à même de contrôler le corps social. Le principe devient encore plus efficace si dans le même temps, à l’encontre même des règles les plus inviolables et sacrés, ceux qui assurent ce contrôle parviennent à s’exonérer des règlements qu’ils édictent...
Un peu comme pour un jeu de société ou le mode d’emploi s’imposerait à tous les joueurs, sauf à celui qui l’a conçu et qui participerait malgré tout au jeu ...
L’imposture commence là, mais elle ne fait que commencer...
Le Troisième Oeil et l'infini chapitre :
Un peu comme pour un jeu de société ou le mode d’emploi s’imposerait à tous les joueurs, sauf à celui qui l’a conçu et qui participerait malgré tout au jeu ...
L’imposture commence là, mais elle ne fait que commencer...
Le Troisième Oeil et l'infini chapitre :
DE LA SOCIETE EN GENERAL.
Nous venons de voir comment un jeune citoyen ou citoyenne, avant d’arriver à l’âge adulte, était déjà solidement conditionné, formaté, enchaîné, corseté, camisolé, par l’ensemble de traditions familiales, culturelles, télévisuelles ; par une Éducation Nationale aux ordres de l’eggrégore Nation et de son gouvernement, et par la puissante influence et domination de l’eggrégore Religion. Avant même qu’il ait l’usage de son libre arbitre, l’horizon de sa normalité lui a été strictement balisé, verrouillé, comme une solide prison du : " comme tout le monde ", la bien nommée, et qui aura pour gardiens et surveillants tous ceux qui l’entourent, et qui ne supporteraient pas la moindre tentative d’évasion, ce qui aurait pour grave conséquence, par comparaison, de leur faire prendre conscience d’un insupportable statut de prisonnier. La médiocrité n’est supportable que si elle est universellement partagée par le public !
Il va donc pouvoir prendre son " envol ", pas de souci pour lui, la trajectoire est maintenant parfaitement connue, l’infirmité provoquée de ses ailes, ne lui permettront pas d’autre destination que celle qui consiste à s’écraser brutalement en bas de son nid, pour aller vers sa nouvelle destinée, mais à pinces!
Dès lors, il pourra accéder à ce qui constitue la plénitude de sa citoyenneté, le " vote ". Expression de sa liberté et de sa souveraineté de citoyen (ne), appartenant à une même collectivité de destin, issue de l’héritage de la Révolution.
Ah ! le sacro-saint vote, celui qui transforme avec une habilité sournoise et diabolique, une victime, en complice d’un système auquel elle n’a pourtant aucun moyen de participer, et qui n’a qu’un seul objectif : l’exploiter corps et âme. Le vote, symbole de sa pseudo-liberté, - qui n’est qu’un carcan supplémentaire de servitudes, qui lui a été vendu au nom d’un " devoir " de citoyen comme une accablante responsabilité individuelle sacrée -, ce citoyen viendra spontanément apporter à l’eggrégore Nation et son gouvernement, l’énergie de ses émotions passionnelles, dévotion sans cesse renouvelées en sa faveur, celle du service public, comme un fidèle venant faire son offrande régulière au Temple d’un dieu féroce, farouche et susceptible en diable.
Ce brave mouton qui, sous prétexte qu’il peut aller brouter au gré de ses fantaisies, une herbe que lui offre si généreusement son berger (enfin le croit-il) s’imagine être libre et indépendant, autonome dans sa volonté, ses souhaits et désirs au ras des pâquerettes. Certes les chiens (fonctionnaires zélés et serviles du service public et de son maître dominateur), qui viennent mordiller ses mollets régulièrement, l’agacent toujours un peu, mais paraît-il qu’ils sont là aussi, ces chiens, pour protéger, ses collègues et lui-même, du loup ! Alors, il accepte volontiers le prix de sa soi-disant sécurité et de la dépendance à ce service public qu’elle implique.
Mais que penserait ce brave mouton si brutalement il découvrait, que ce berger, assisté de ses chiens, n’avait d’autre but, que de le voir empalé sur un tourne broche, pour le faire délicieusement rôtir ? Que penserait-il ce mouton, s’il découvrait que toute la prévenance, la bienveillance et la sollicitude du berger, n’avait pas d’autres objets que celle qu’il porte à sa propre nourriture et qui lui assure sa subsistance à lui et à ses chiens ? Qu’adviendrait-il de ce sentiment de liberté, qui ne repose que sur des illusions oiseuses et trompeuses, et des préjugés de mouton ? Quelle serait la réaction de ce mouton, s’il prenait subitement conscience de sa réalité objective qui est celle de n’être qu’un aliment pour prédateur ? Y aurait-il brutale mutation d’un brave mouton en brebis galeuse ou pire encore en mouton enragé ?
Mais ne rêvons pas ! le berger veille, alors votez, votez pour qui vous voulez, le blanc, le noir, la gauche, la droite, le roi, la République, quel que soit votre vote, la principale conséquence sera toujours, que vous nourrirez l’eggrégore Nation, son gouvernement et son service public par vos passions et émotions, positives ou négatives, et grâce auxquelles il assure sa santé, sa vigueur et sa longévité. Pour le résultat, il n’ y a aucun souci à se faire, comme pour l’envol à la sortie du nid, il contrôle parfaitement le système, de toute façon vous élirez une majorité de…. Politiciens , Homme de Loi ! ses fidèles chiens de berger qui obéissent aux ordres. Ces mêmes fonctionnaires qui continueront à concocter des lois, textes et règlements leur assurant la parfaite main mise sur la Souveraineté Populaire, qu’ils ont depuis belle lurette détournée à leur unique profit baptisé : intérêt public, afin que l’eggrégore Nation et son gouvernement puissent continuer à étouffer dans une étreinte mortelle, ou à tout le moins paralysante, l’eggrégore libérateur de la Déclaration des Droits de l’Homme.
Il ne faut pas que le mouton se pose des questions existentielles, du genre : pourquoi des chiens au service du berger ? Ou plus concrètement : pourquoi existe-t-il une catégorie de citoyens que l’on distingue en tant que " Politiciens et Homme de Loi ", comme dans l’ancien Régime on séparait les aristocrates des gueux ?
- Ces politiciens et Homme de Loi , sont-ils une protection contre la corruption de la technostructure ? Évidemment non, puisqu’ils concourent à cette corruption !
- Elfi : Qu’entends-tu par corruption de la technostructure ?
- Mon Elfi, j’entends qu’une technostructure est parfaitement corrompue, lorsqu’elle ne s’applique pas les propres lois qu’elle édicte, et qu’elle fait tout pour en exonérer les membres qui la composent, c’est là, l’essence même de la corruption !
- Mais reprenons, nos politiciens et Homme de Loi ont-ils à supporter une responsabilité, morale, juridique, supérieure aux autres ? la réponse est non nettement moins, allant jusqu’à une totale irresponsabilité garantie par statut.
Nous venons de voir comment un jeune citoyen ou citoyenne, avant d’arriver à l’âge adulte, était déjà solidement conditionné, formaté, enchaîné, corseté, camisolé, par l’ensemble de traditions familiales, culturelles, télévisuelles ; par une Éducation Nationale aux ordres de l’eggrégore Nation et de son gouvernement, et par la puissante influence et domination de l’eggrégore Religion. Avant même qu’il ait l’usage de son libre arbitre, l’horizon de sa normalité lui a été strictement balisé, verrouillé, comme une solide prison du : " comme tout le monde ", la bien nommée, et qui aura pour gardiens et surveillants tous ceux qui l’entourent, et qui ne supporteraient pas la moindre tentative d’évasion, ce qui aurait pour grave conséquence, par comparaison, de leur faire prendre conscience d’un insupportable statut de prisonnier. La médiocrité n’est supportable que si elle est universellement partagée par le public !
Il va donc pouvoir prendre son " envol ", pas de souci pour lui, la trajectoire est maintenant parfaitement connue, l’infirmité provoquée de ses ailes, ne lui permettront pas d’autre destination que celle qui consiste à s’écraser brutalement en bas de son nid, pour aller vers sa nouvelle destinée, mais à pinces!
Dès lors, il pourra accéder à ce qui constitue la plénitude de sa citoyenneté, le " vote ". Expression de sa liberté et de sa souveraineté de citoyen (ne), appartenant à une même collectivité de destin, issue de l’héritage de la Révolution.
Ah ! le sacro-saint vote, celui qui transforme avec une habilité sournoise et diabolique, une victime, en complice d’un système auquel elle n’a pourtant aucun moyen de participer, et qui n’a qu’un seul objectif : l’exploiter corps et âme. Le vote, symbole de sa pseudo-liberté, - qui n’est qu’un carcan supplémentaire de servitudes, qui lui a été vendu au nom d’un " devoir " de citoyen comme une accablante responsabilité individuelle sacrée -, ce citoyen viendra spontanément apporter à l’eggrégore Nation et son gouvernement, l’énergie de ses émotions passionnelles, dévotion sans cesse renouvelées en sa faveur, celle du service public, comme un fidèle venant faire son offrande régulière au Temple d’un dieu féroce, farouche et susceptible en diable.
Ce brave mouton qui, sous prétexte qu’il peut aller brouter au gré de ses fantaisies, une herbe que lui offre si généreusement son berger (enfin le croit-il) s’imagine être libre et indépendant, autonome dans sa volonté, ses souhaits et désirs au ras des pâquerettes. Certes les chiens (fonctionnaires zélés et serviles du service public et de son maître dominateur), qui viennent mordiller ses mollets régulièrement, l’agacent toujours un peu, mais paraît-il qu’ils sont là aussi, ces chiens, pour protéger, ses collègues et lui-même, du loup ! Alors, il accepte volontiers le prix de sa soi-disant sécurité et de la dépendance à ce service public qu’elle implique.
Mais que penserait ce brave mouton si brutalement il découvrait, que ce berger, assisté de ses chiens, n’avait d’autre but, que de le voir empalé sur un tourne broche, pour le faire délicieusement rôtir ? Que penserait-il ce mouton, s’il découvrait que toute la prévenance, la bienveillance et la sollicitude du berger, n’avait pas d’autres objets que celle qu’il porte à sa propre nourriture et qui lui assure sa subsistance à lui et à ses chiens ? Qu’adviendrait-il de ce sentiment de liberté, qui ne repose que sur des illusions oiseuses et trompeuses, et des préjugés de mouton ? Quelle serait la réaction de ce mouton, s’il prenait subitement conscience de sa réalité objective qui est celle de n’être qu’un aliment pour prédateur ? Y aurait-il brutale mutation d’un brave mouton en brebis galeuse ou pire encore en mouton enragé ?
Mais ne rêvons pas ! le berger veille, alors votez, votez pour qui vous voulez, le blanc, le noir, la gauche, la droite, le roi, la République, quel que soit votre vote, la principale conséquence sera toujours, que vous nourrirez l’eggrégore Nation, son gouvernement et son service public par vos passions et émotions, positives ou négatives, et grâce auxquelles il assure sa santé, sa vigueur et sa longévité. Pour le résultat, il n’ y a aucun souci à se faire, comme pour l’envol à la sortie du nid, il contrôle parfaitement le système, de toute façon vous élirez une majorité de…. Politiciens , Homme de Loi ! ses fidèles chiens de berger qui obéissent aux ordres. Ces mêmes fonctionnaires qui continueront à concocter des lois, textes et règlements leur assurant la parfaite main mise sur la Souveraineté Populaire, qu’ils ont depuis belle lurette détournée à leur unique profit baptisé : intérêt public, afin que l’eggrégore Nation et son gouvernement puissent continuer à étouffer dans une étreinte mortelle, ou à tout le moins paralysante, l’eggrégore libérateur de la Déclaration des Droits de l’Homme.
Il ne faut pas que le mouton se pose des questions existentielles, du genre : pourquoi des chiens au service du berger ? Ou plus concrètement : pourquoi existe-t-il une catégorie de citoyens que l’on distingue en tant que " Politiciens et Homme de Loi ", comme dans l’ancien Régime on séparait les aristocrates des gueux ?
- Ces politiciens et Homme de Loi , sont-ils une protection contre la corruption de la technostructure ? Évidemment non, puisqu’ils concourent à cette corruption !
- Elfi : Qu’entends-tu par corruption de la technostructure ?
- Mon Elfi, j’entends qu’une technostructure est parfaitement corrompue, lorsqu’elle ne s’applique pas les propres lois qu’elle édicte, et qu’elle fait tout pour en exonérer les membres qui la composent, c’est là, l’essence même de la corruption !
- Mais reprenons, nos politiciens et Homme de Loi ont-ils à supporter une responsabilité, morale, juridique, supérieure aux autres ? la réponse est non nettement moins, allant jusqu’à une totale irresponsabilité garantie par statut.
Inscription à :
Articles (Atom)