" Mes amis , réveillons-nous . Assez d'injustices ! " L'Abbé Pierre

dimanche 19 juin 2011

Vladimir Poutine,si vous me lisez un jour,je vous en prie,faites quelque chose de grand en mémoire de ces heros sans nom...ils le méritent !

" J'ai vu des hommes déplacer des blocs radioactifs de graphite à mains nues . Une telle chose est possible que dans un pays où la vie d'un homme ne vaut pas grand chose ."
                                                                       Igor Kostine

De plus il faut savoir que le régime politique les a laissés tomber.Personne n'a jamais appelé Vania,Petia,ou Volodia,pour savoir comment ils allaient,s'ils n'avaient pas besoin de quelque chose.Pis encore,on leur a supprimé leurs allocations et leurs avantages.On a peut etre cru que les "robots humains",comme les chats,avaient 7 vies...Descendus du toit de tchernobyl,ils se sont discretement évaporés,avec leurs bons regards et leurs rires.Quand les heros n'ont pas de noms,on les traite comme s'ils n'existaient pas.Et ils disparaissent.

Vladimir Poutine,si vous me lisez un jour,je vous en prie,faites quelque chose de grand en mémoire de ces heros sans nom...ils le méritent : Qu'ils quittent ce monde en paix et remerciés pour leur bravoure , pour ce qu'ils ont fait au péril de leurs vies pour l'Humanité et pas seulement pour le peuple russe .


Le nucléaire est devenu la chasse gardée des militaires et des "nucléocrates" , peu enclins à la transparence !

Oh Peuple , ouvre les yeux je t'en supplie :

Le nucléaire est devenu la chasse gardée des militaires et des "nucléocrates" , peu enclins à la transparence !
Et là est le danger !!!



samedi 18 juin 2011

Certains devraient etre poursuivis pour propos dangeureux et dramatiques dans l'exercice de leur fonction publique ...

Derniere abérration en date de notre cher Président Sarkosy :

" Qu'il s'agisse de risque sismique , de tsunami ou de catastrophe naturelle , le scénario japonais est impossible en France "          N.Sarkosy

Ce président Français , Sarkosy , est si présomptueux qu'il en est même dangeureux !


Car il faut se souvenir de quelques autres paroles aussi inconscientes qu'elles ont eu des conséquences dramatiques aprés ...

" Nos centrales nucléaires ne présentent aucun risque.On pourrait les construire même sur la place Rouge à Moscou . Elles sont plus sûres que nos samovars . "
Anatoli Alexandrov , academicien russe , avant l'accident de Tchernobyl

" Le térritoire Français , en raison de son éloignement , a été totalement épargné par les retombées de radionucléides consécutives à l'accident de la centrale de tchernobyl ."
François Guillaume , ministre français de l'agriculture en 1986

Certains individus comme ces deux derniers devraient etre pendus pour crime contre l'Humanité car ils ont mis en péril la vie de millions de gens !
Sarkosy tout comme Lauvergeon devraient etre poursuivis pour propos dangeureux et dramatiques dans l'exercice de leur fonction publique ...

la sécurité nucléaire civile ne peut pas etre laissé aux seuls responsables politiques,ingénieurs assurant la surveillance ou groupes industriels privés !

" Nous sommes arrivés à la conclusion que tout ce qui concerne la sécurité nucléaire civile ne peut pas etre laissé aux seuls responsables politiques,ingénieurs assurant la surveillance ou groupes industriels privés "

                                              Georges Charpak ,
                            Prix Nobel de Physique





vendredi 17 juin 2011

Le gouvernement est en train de brader discretement notre patrimoine : il faut réagir avant qu'il ne soit trop tard !

Le gouvernement Sarko est en train de brader discretement notre patrimoine :
Aujourd'hui c'est le tour de la SNCF !
Demain quelle entreprise nationale et ... fleuron,fierté nationale ... va-t-il mettre en vente ?

Et le peuple Français ne réalise pas la gravité de la situation (cas du nucléaire au main des privés!) ! Oh peuple,ouvre les yeux...nous ne pouvons continuer à le laisser dilapider notre patrimoine culturel : Sarkosy ne defend plus les intèrêts du peuple mais est à la solde de l'Union Européenne et du FMI !






S’il n’y a pas eu de question, il ne peut y avoir de connaissance scientifique...

« La science dans son besoin d’achèvement comme dans son principe s’oppose absolument à l’opinion. S’il lui arrive, sur un point particulier de légitimer l’opinion, c’est pour d’autres raisons que celles qui fondent l’opinion ; de sorte que l’opinion a, en droit, toujours tort. L’opinion pense mal ; elle ne pense pas : elle traduit des besoins en connaissances. En désignant les objets par leur utilité, elle s’interdit de les connaître. On ne peut rien fonder sur l’opinion; il faut d’abord la détruire. Elle est le premier obstacle à surmonter. Il ne suffirait pas, par exemple de la rectifier sur des points particuliers, en maintenant, comme une sorte de morale provisoire. L’esprit scientifique nous interdit d’avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement. Avant tout il faut savoir poser des problèmes et quoiqu’on dise, dans la vie scientifique, les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est véritablement ce sens du problème qui donne la marque du véritable esprit scientifique. Pour un esprit scientifique, toute connaissance est une réponse à une question. S’il n’y a pas eu de question, il ne peut y avoir de connaissance scientifique. Rien ne va de soi. Rien n’est donné. Tout est construit. »

Gaston BACHELARD, La formation de l’esprit scientifique, 1938


L'opinion , qui nous mene si souvent à des prises de décision subjective et irréaliste ...

Dans nos démocraties l’opinion semble jouer un rôle décisif. Quelqu’en soit le sujet, les sondages d’opinion se succèdent comme s’ils étaient déterminants dans chaque décision politique. Il est donc important de réfléchir sur le fondement de nos opinions.

L ‘opinion ne peut fonder aucune certitude ou connaissance vraie
L’esprit scienctitifique consiste d’abord à construire des problèmes
« L’opinion a, en droit, toujours tort. L’opinion pense mal ; elle ne pense pas. Elle traduit des besoins en connaissances. En désignant les objets par leur utilité, elle s’interdit de les connaître. »(G.BACHELARD)

On peut définir très généralement l’opinion comme une « une représentation collective » (E. DURKHEIM), comme « un jugement collectif porté sur un fait ou sur une croyance par une société donnée » ( A. LALANDE) L’opinion a donc une dimension sociale ou collective qui fonde son autorité et qui fait qu’elle s’impose à l’individu.

Si l’on reprend la définition de DURKHEIM, l’opinion peut être définie comme un jugement collectif. C’est cette dimension sociale et collective qui s’impose à l’individu et qui légitime à ses yeux ses opinions. Elle a une dimension subjective. L’opinion relève donc davantage de la croyance que de la connaissance. la croyance est un sentiment subjective de certitude qui ne repose pas nécessairement sur une preuve ou une connaissance scientifique. Or penser ce n’est pas simplement avoir des opinions, ou avoir des certitudes. penser c’est réfléchir, c’est soumettre ses opinions à l’examen critique de la raison. Lorsque Gaston Bachelard écrit « l’opinion pense mal ; elle ne pense pas ». Il veut dire que deux dangers menacent le savoir. le premier consiste à croire que toute opinion particulière et subjective a une portée universelle, ce qui conduit don détenteur a vouloir l’imposer en refusant le débat. Le deuxième consiste à renoncer à rechercher la vérité. dans les deux cas l’opinion est donc un obstacle à la science qui ne peut pas se développer ».
Remarque
 « S’il n’y a pas eu de question, il ne peut y avoir de connaissance scientifique. Rien ne va de soi. Rien n’est donné. Tout est construit. »

Donc l’opinion ne doit pas être rejetée, mais elle doit être utilisée avec discernement et s’appuyer sur des connaissances objectives. L’homme est un être libre qui doit décider de ses actions, dans certains domaines comme la politique ou la morale il n’existe pas de connaissances objectives. Avoir des opinions est donc nécessaire, car elles interviennent dans tous les choix et les décisions que nous devront prendre pour agir dans le monde. Ce qui importe c’est de comprendre ce qui fonde nos opinions.


jeudi 16 juin 2011

Sauvegardons les traditions et préservons les souvenirs d'un symbole d'espoir...et cela même si il est révolu.

Que cela plaise ou pas et bien que l'Union soviétique ait disparu, l’embleme de la faucille et du marteau garde sa puissante signification. Déclaré suranné par certains, il évoque toujours l'espoir de jours meilleurs pour des millions de femmes et d'hommes à travers le monde. La faucille et le marteau, deux outils qui entremêlés symbolisent le communisme et le pouvoir du peuple même si le monde du travail aujourd’hui est profondemment transformé .

Mais d'où vient cet emblème?
Qui l'a suggéré, qui l’a créé, qui l’a dessiné ?
De quand date t- il ?

Que la faucille et le marteau soient un héritage de la révolution russe, rien n'est plus évident. C'est pendant l'hiver de 1918 que le Conseil des commissaires du peuple se préoccupa de faire établir un emblème pour le sceau du gouvernement et le pays alors que diverses représentations spontanées avaient déjà vu le jour. La tâche fut confiée à un artiste, Alexandre Léo. Celui-ci élabora un premier projet représentant une faucille, un marteau, un glaive entrecroisés devant un bouclier d'acier, le tout entouré d'une couronne d'épis. Le Conseil des commissaires du peuple en discuta à partir du 20 avril. Lénine se prononça pour la suppression du glaive : qu'avait à faire celui-ci sur le sceau d'un état qui se voulait pacifique ?  Restèrent donc la faucille et le marteau qui furent d'ailleurs reprises en mai et juin 1918 dans bien d'autres projets . Retenons déjà la signification pacifiste de ce choix. La faucille et le marteau furent conservées dans les armes de la RFSFR prévues par la première constitution de celle-ci en juillet 1918, puis dans les armes de l'URSS en 1922.
Dès 1918-19 d'ailleurs, en Russie, la faucille et le marteau, emblèmes très vite populaires, se croisent ou voisinent, comme ce fut le cas pour les emblèmes républicains à l'époque de la Révolution française, sur toutes sortes d'objets, plats, médailles, timbres etc., tandis que des artistes les reprennent dans leurs compositions, comme le peintre Jean Pougny, qui né en Finlande, travaillait alors en Russie.
Que représentent dans l'imaginaire alors le marteau et la faucille? Le marteau, c'est le travail industriel assurément, mais c'est aussi l'ouvrier, plus généralement l'homme caractérisé par sa vigueur corporelle, car ce marteau peut être aussi une " masse ", lourde à porter. Outil polyvalent utilisé dans de très nombreux métiers et même dans les travaux domestiques - qui n'a pas aujourd'hui un marteau chez soi ? —, il apparaît assez bien adapté à la représentation du travail industriel ou artisanal, surtout si l'on tient compte du fait que les représentations symboliques des réalités matérielles sont souvent marquées par un certain archaïsme.
Quant à la faucille, c'est loin d'être seulement un symbole du travail agricole. Bien que le mot faucille en russe (" serp ") soit masculin, la faucille c'est l'outil de la femme à la campagne alors que les hommes utilisent plutôt la faux. La faucille, c'est donc aussi la femme, ce que suggèrent peut-être implicitement ses formes arrondies.
Une affiche du 1er Mai 1920 en Russie illustre cette interprétation. On y voit, s'avançant fièrement vers l'avenir, côte à côte, un ouvrier portant une lourde masse, un paysan pourvu d'une faux, une paysanne portant une faucille. La meilleure illustration de cette dualité faucille - marteau se trouve dans le monument du pavillon soviétique à l'Exposition universelle de Paris en 1937, qui fut justement célèbre: un ouvrier et une kolkhozienne tendent vers le ciel, entrecroisés, le premier un marteau, la seconde une faucille. La signification apparaît claire : la société soviétique réconcilie le travail agricole et le travail industriel sur fond de paix comme elle unit plus étroitement l'homme et la femme.
Il était normal qu'en France, où la pratique des symboles politiques était familière (avec le bonnet phrygien, par exemple), l'attirance pour le symbole nouveau fut vive. Dans la tradition républicaine et socialiste française, bien des éléments préparaient son adoption. La franc-maçonnerie avait déjà popularisé la représentation emblématique des outils du travail (le niveau, le fil à plomb).
Le marteau était, à travers le personnage du " forgeron ", familier aux écoliers français qui avaient appris à l'école l'Outil de Clovis :
" Le père; un forgeron musclé comme un athlète/a deux outils de fer l'enclume et le marteau " ;ou mieux encore : la Légende du forgeron : " Un forgeron forgeait une poutre de fer (. ..) Il chantait le travail qui rend dure la main / Mais qui donne un seul cœur à tout le genre humain ".
Que de fois l'image de la " forge " avait été utilisée pour illustrer l'avenir en préparation, le rougeoiement du foyer s'identifiant au soleil levant ! Quant à la faucille, bien que cet outil ait été présenté, et parfois en plusieurs exemplaires, dans toutes les exploitations paysannes et même bien au-delà, qu'il ait été largement utilisé par les femmes dans une France encore majoritairement rurale, c'est peut-être un symbole usité, sans doute parce qu'en terme de représentation féminine, l'image de Marianne avait ici occupé le terrain.
Un dessin de Steinlen, Souvenir de la Commune de Paris, met au premier plan, dans une foule ouvrière symbole du peuple, un ouvrier muni d'une masse, un paysan avec une faux, mais la femme du peuple qui conduit le cortège est ici - nous dirons : naturellement — une Marianne à bonnet phrygien . Rien ne s'opposait en tout cas, dans le domaine des représentations symboliques, à l'adoption en France de la faucille et du marteau.
Le prestige de la révolution d'Octobre aidant, la symbolique empruntée à la révolution soviétique s'acclimate sans peine dans le terreau culturel français. Il n'est donc pas étonnant que les timbres du nouveau Parti communiste fassent place en France dès 1922 à la faucille et au marteau (remplaçant la République rouge encore présente en 1921). Ce n'est qu'un peu plus tard avec la bolchévisation que le symbole est associé en 1924 au titre de l'Humanité, comme c'est encore le cas de nos jours.
Sans doute, avant cette date, la faucille et le marteau trouvent occasionnellement leur place dans le journal : le 11 octobre 1923, par exemple, un dessin de Grandjouan montre une Marianne assise et pensive à côté d'un porte - feuille d'actions, d'un sabre, d'une faucille et d'un marteau, avec cette légende :
" La révolution ou la guerre, la faucille et le marteau du travail ou le sabre, il faut choisir ma petite ! "
Le 4 octobre 1924, le pas décisif est accompli. L'emblème- très proche alors que celui de la RSFSR — prend place à la droite du titre de l'Humanité. On tâtonne ensuite pour lui trouver une place définitive d'abord entre le L et le H (24 octobre 1924), puis derrière le M (16 mars 1926), et en même temps on le simplifie et or l'épure pour ne mettre en valeur fina-lement que les deux instruments de travail.
Beaucoup plus récemment enfin, c'est sous le titre du journal qu'ont pris place ceux-ci.
Ce symbole représente-t-il correctement ce qu'est devenu la Russie et plus généralement la cause qu'elle incarne dans une société profondément transformée?
L'imagerie symbolique, il faut le rappeler, n'a pas une fonction de représentation directe. La meilleure preuve n'en est-elle pas que la République s'identifie en France à une femme alors que les femmes ont eu le droit de vote très tard et que jamais une femme n'a accédé à la fonction suprême de l'Etat?
Mais il n'est pas moins vrai qu'un emblème a une certaine importance, puisque tant à travers sa perception consciente que par ce qu'il évoque dans l'inconscient, celui-ci doit aider à mobiliser les individus en faveur de la réalité qu'il évoque.
La question de l'origine du symbole fait-elle problème après l'échec de l'expérience soviétique? La disparition de l'URSS, la tendance, en Russie, à revenir aux emblèmes de l'Ancien Régime (aigles et autres préda-teurs, tout à l'opposé de nos modestes instruments).
Reste enfin l'argument plus fort, selon, lequel l'emblème actuel, en privilégiant le travail manuel, en ignorant le travail intellectuel qui a pris une place de plus en plus grande dans tous les secteurs de l'activité économique, donnerait une image trop archaïque d'un parti qui se veut moderne.
Peut-on trouver mieux ?
D'autres s'y sont essayé : l'ex-RDA, par exemple, avait repris, parmi ses symboles, le marteau, mais lui avait associé le compas. La diversité des formes du travail aujourd'hui fait qu'il est difficile sans doute de les résumer dans des outils quels qu'ils soient, surtout si l'on pense que ces outils doivent en outre se prêter à une représentation qui parle à la raison comme au cœur.
Ne fermons pas en tout cas la porte à l'imagination, aux efforts de renouvellement créateur. Mais ce que l'on peut espérer en revanche, c'est que, si un nouvel emblème était souhaité par les adhérents du parti, les significations primitives et émancipatrices de la faucille et du marteau soient conservées et mises en lumière, c'est-à-dire le pacifisme, l'union dans l'égalité, de la femme et de l'homme, la coopération des différentes formes du travail pour une société meilleure.


















Réagissons en 2012 !


Marrant , non ! et si vrai !



le PDG du nucléaire nous "nargue" , nous , le peuple Français !

Anne Lauvergeon , le PDG du nucléaire nous "nargue" en osant dire
"qu'il n'y aura pas d'hiver nucléaire...".
Le peuple et l'avis du peuple,quelque part elle nous le dit clairement au travers de ses paroles,elle s'en fout !
Nous devons réagir et lui montrer que le pouvoir de dire oui ou non au nucléaire n'appartient qu'à et seulement au peuple !



Mme la PDG du nucleaire , vous avez oublié que ...


Rejoignez le mouvement http://www.sortirdunucleaire.org/ !

Nous devons réagir !


Allons, enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie,
L'étendard sanglant est levé,
Entendez-vous dans les/nos campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos/nos bras
Égorger vos/nos fils et vos/nos compagnes !
Refrain :
Aux armes, citoyens
Formez vos bataillons
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !
Aux armes, citoyens
Formez vos bataillons
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !


Que veut cette horde d'esclaves,
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ?
Français, pour nous, ah ! quel outrage !
Quels transports il doit exciter !
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage !


Quoi ! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers !
Quoi ! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers !
Grand Dieu ! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées !



Tremblez, tyrans et vous perfides
L'opprobre de tous les partis,
Tremblez ! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix !
Tout est soldat pour vous combattre,
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre !



Français, en guerriers magnanimes,
Portez ou retenez vos coups !
Épargnez ces tristes victimes,
À regret s'armant contre nous.
Mais ces despotes sanguinaires,
Mais ces complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !



Amour sacré de la Patrie,
Conduis, soutiens nos bras vengeurs
Liberté, Liberté chérie,
Combats avec tes défenseurs !
Sous nos drapeaux que la victoire
Accoure à tes mâles accents,
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !




Refrain (dit couplet des enfants) :

Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus,
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre

(couplet pour les enfants 2eme)

Enfants, que l'Honneur, la Patrie
Fassent l'objet de tous nos vœux !
Ayons toujours l'âme nourrie
Des feux qu'ils inspirent tous deux.
Soyons unis ! Tout est possible ;
Nos vils ennemis tomberont,
Alors les Français cesseront
De chanter ce refrain terrible :
Aux armes, citoyens ! Etc.

Secourons José Beauvais : il avait raison,il a raison.Les industriels jouent en toute impunité avec la santé publique !

A nouveau encore un cas d'empoisonnement du public à cause des manipulations génétiques et industrielles (la viande hachée commercialisé par Lidl en France) apres le cas des "concombres" en Allemagne !
Et on est en train de juger voire de vouloir emprisonner José Beauvais et quelques agriculteurs pour avoir par le passé arraché des pieds de maïs transgénique !
Secourons José Beauvais : il avait raison,il a raison.Nous devons arretter les industriels qui ne cessent de transgresser les lois et l'équilibre de la Nature avec un danger futur : le risque de mettre en péril la santé publique !



                La société Monsanto , encore elle , coupable !

Lenine , pourquoi nous-as-tu oublié ?


Lenine , pourquoi nous-as-tu oublié ?

Releve-toi à nouveau ,peuple français , pour te liberer ...

Oh peuple Français,
as-tu oublié les paroles de cette chanson qui t'a permis
de te liberer du joug des rois et princes .
Oh peuple français,
releve-toi à nouveau pour à nouveau te liberer
des financiers internationaux et nationaux qui nous gouvernent !

La Marseillaise

Allons, enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie,
L'étendard sanglant est levé,
Entendez-vous dans les/nos campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos/nos bras
Égorger vos/nos fils et vos/nos compagnes !
Refrain :
Aux armes, citoyens
Formez vos bataillons
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !
Aux armes, citoyens
Formez vos bataillons
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !


Que veut cette horde d'esclaves,
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ?
Français, pour nous, ah ! quel outrage !
Quels transports il doit exciter !
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage !


Quoi ! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers !
Quoi ! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers !
Grand Dieu ! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées !



Tremblez, tyrans et vous perfides
L'opprobre de tous les partis,
Tremblez ! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix !
Tout est soldat pour vous combattre,
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre !



Français, en guerriers magnanimes,
Portez ou retenez vos coups !
Épargnez ces tristes victimes,
À regret s'armant contre nous.
Mais ces despotes sanguinaires,
Mais ces complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !



Amour sacré de la Patrie,
Conduis, soutiens nos bras vengeurs
Liberté, Liberté chérie,
Combats avec tes défenseurs !
Sous nos drapeaux que la victoire
Accoure à tes mâles accents,
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !




Refrain (dit couplet des enfants) :

Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus,
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre

(couplet pour les enfants 2eme)

Enfants, que l'Honneur, la Patrie
Fassent l'objet de tous nos vœux !
Ayons toujours l'âme nourrie
Des feux qu'ils inspirent tous deux.
Soyons unis ! Tout est possible ;
Nos vils ennemis tomberont,
Alors les Français cesseront
De chanter ce refrain terrible :
Aux armes, citoyens ! Etc.



Dire que nous avons pour beaucoup voté en 2007 pour lui !



Attention danger : il est capable de mettre le feu aux banlieues !
Il faut l'arrêter !

La renaissance de l'Afrique , si seulement le rêve pouvait devenir REALITE ...

Le Monument de la Renaissance africaine est une imposante structure haute de 52 mètres en bronze et cuivre à Ouakam, une commune d’arrondissement de Dakar, sur l'une des deux collines volcaniques coniques qui surplombent la capitale sénégalaise, les Mamelles, la plus haute portant déjà le phare des Mamelles. La statue aurait été conçue par le sculpteur d'origine hongroise Virgil Magherusan. La conception du monument a été confiée à l'architecte sénégalais Pierre Goudiaby Atepa, déjà l'auteur – notamment – de la Porte du Troisieme millénaire qui surplombe la route de la Corniche. L'œuvre a été dessinée par le président Wade qui en détient le droit d’auteur de 35 %, mais l'œuvre avait été initiée par le célèbre artiste sénégalais Ousmane Sow qui s'est depuis retiré du projet suite a une mésentente avec Abdoulaye Wade. Selon le ministre sénégalais de la Culture et de la Francophonie, Serigne Mamadou Bousso Lèye, la durée de vie du monument sera de 1 200 ans. L'inauguration du monument initialement prévue le 12 decembre 2009 a été reportée au 4 avril 2010 afin de « correspondre au 50e anniversaire de l'indépendance de nombreux Etats Africains », selon un communiqué officiel. Le 4 avril est en effet le jour de la fête nationale au Sénégal. Le monument a été inaugurée par le président Wade en présence d'une vingtaine de chefs d'État africains et du numéro 2 du régime nord-coréen.


Le monument représente un couple et son enfant, dressés vers le ciel résolument tournée vers le nord-ouest. Il fait partie des grands projets du président Abdoulaye Wade qui le veut « dignité du continent ». Il s'agit de montrer au travers d'une famille dressée vers le ciel, l'homme portant son enfant sur son biceps et tenant sa femme par la taille, « une Afrique sortant des entrailles de la terre, quittant l'obscurantisme pour aller vers la lumière ».



Si seulement le rêve pouvait devenir réalité ;c’est tout ce que l’on peut souhaiter de mieux à une Afrique qui se meurt petit à petit à cause de l’exploitation de leurs richesses naturelles et la corruption entretenue de leurs gouvernants par les pays industrialisés sans foi ni loi…





Observez et surtout réalisez ...

Impréssionant comme notre cher président Sarkosy se sent bien dans ses baskets ...
Observez,réalisez...

pour légitimer leur pouvoir...



Notre cher Président Sarkosy aime la police...
comme beaucoup de gouvernant actuellement au pouvoir




                                 pour légitimer leur pouvoir...

Bloody Sunday , un jour dans toute l'Europe si cela continue ainsi...

Le Bloody Sunday de 1972 ,
Un témoin civil,une mère de famille de 6 enfants,raconte :
« Une manifestation pacifique.
Des incidents ont lieu.
Bénins, des gamins jettent des pierres sur les barrages britanniques au cri de "Brits out" (les Angliches dehors).
Le major britannique en charge de l'opération tente de contrôler la situation, en se limitant aux canons à eau et lacrymogènes.
Mais bientôt les paras vont agir de leur propre chef, et tirer à balles réelles.
On relèvera treize morts au soir de ce dimanche... »




Petit rappel historique : le « bloody Sunday » c’est la journée du 30 Janvier 1972 et les événements dramatiques qui ont leu ce jour là à Derry en Irlande du Nord. Ce jour là, la NICRA (Northern Ireland civil Rights Association), une association catholique de défense des droits civiques oraganisait une manifestation de protestation contre une mesure prise peu de temps avant et qui autorisait l’arrestation et l’incarcération sans jugement. La manifestation a mal tourné et a été réprimée par l’Armée britannique, quatorze civils furent tués.

Comprendre comment la situation a pu dégénérer :
Je vais éssayé de vous depeindre une image assez objective des faits, sans prendre délibérément et surtout injustement parti pour l’un ou pour l’autre des camps. Même si les soldats de l’Armée britannique avaient été reconnus innocents par leur gouvernement au départ, la réalité historique semble être qu’il ne s’agissait pas de légitime défense ni d’un massacre délibéré mais plutôt d’un drame où tout a dérapé.

Derry un comté de cette Irlande du Nord, berceau d'un long conflit entre républicains et unionistes. Nous sommes à la veille du dimanche 30 janvier 1972. Ivan Cooper s'occupe des derniers préparatifs pour la manifestation du lendemain. Ian Cooper est député, ou plutôt membre du parlement suivant le vocable local, et leader du mouvement des droits civiques, bien que protestant.
Il entend rétablir dans l'Ulster un état de droit, par des manifestations non-violentes, inspirées de Gandhi et Luther King. Il a un rêve, un futur où protestants et catholiques pourront s'aimer librement.
Et prépare pour le dimanche 30 janvier une marche pacifique vers l'hôtel de ville de Londonderry.
L'objectif de cette marche pacifiste est d'obtenir les droits civiques, l'égalité entre les catholiques et les protestants dans ce bout de Grande-Bretagne au nord de l'île d'Irlande. Il cherche absolument à éviter toute violence avec les forces de l'ordre, calmant les membres de l'IRA, tentant même de négocier avec les autorités unionistes pour garantir le calme, en changeant entre autres le trajet de la marche. Face à lui, ou plutôt en parallèle, les préparatifs des forces de l'ordre principalement des parachutistes. Un général est même venu sur place pour faire passer le message de fermeté voulu par Londres : il faut prendre le maximum de « perturbateurs », les plus violents selon leurs dires. Le général Ford ne l'entend pas ainsi.Las des provocations des activistes proches de l'IRA, il veut profiter de cette manifestation pour en arrêter les leaders.Il a interdit tout rassemblement, et entend faire respecter son oukase en déployant les parachutistes.Parachutistes chauffés à blanc, ayant déjà perdus quelques uns des leurs suite aux tirs de l'IRA, et bien décidés à venger leurs morts...
Cooper ne peut annuler la manifestation.Il perdrait la face, et accepterait les brimades britanniques.Il renforce son service d'ordre, demande à l'IRA de rester à l'écart et change son itinéraire afin de minimiser le risque d'affrontement.
On peut alors deviner l'issue de cette journée tellement les points de vues sont opposés et inconciliables. Et malheureusement, l'irréparable va arriver quand le cortège change de parcours, comme prévu pour éviter le contact avec l'armée. C'est alors que les jeunes les plus « remontés » refusent de changer de direction et choisissent d'aller au contact des barrages. Dans le même temps, les parachutistes se montrent sur leurs positions. Le cocktail est explosif : la tension monte encore d'un cran. Et en contradiction avec les ordres du quartier général, les parachutistes chargent la manifestation, répliquant aux jets de pierre par des tirs d'armes.
C'est alors que tout dérape réellement. Les balles fusent dans tous les sens : les victimes civiles tombent indifféremment, jeunes, vieux, hommes, femmes. On a vraiment le sentiment que les paras ont le goût du sang, plus du tout conscients de leurs actes : les rafales partent alors qu'aucun coup de feu n'est tiré dans les rangs des manifestants. Les soldats les plus « sensés » se laissent entraîner par le groupe. Le bilan sera tragique et sanglant : 13 morts et 14 blessés par balle, tous dans les rangs des civils. Même après le cessez-le-feu, la manipulation continue avec des officiers annonçant seulement un ou deux morts, et surtout envoyant leurs hommes à la recherche, en vain, d'armes dans les rangs civils, armes qui auraient alors pu justifier la fusillade. La manipulation ira même jusqu'à cacher des explosifs sur le cadavre d'un jeune pour justifier une intervention « anti-terroriste ». D'ailleurs, l'enquête qui suivra mettra hors de cause les forces de l'ordre ; certains militaires seront même décorés par la reine ! En revanche, ce jour-là, le mouvement des droits civiques était mort tandis que l'IRA voyait ses rangs grossir et le conflit se radicalisait pour de nombreuses années, basculant dans une véritable guerre civile… Cette journée resterait gravée dans les mémoires comme le « Bloody Sunday ».

Ce jour de 1972 vit donc l'armée britannique tirer sur une foule irlandaise désarmée. Le souvenir du massacre reste dans les mémoires irlandaises, et l'IRA s'est nourrie des rancoeurs ainsi créées.

L’évènement est fort :
Certes, au premier abord, il pourrait paraître un peu lointain et annodin : une douzaine de morts il y a une trentaine d'années . Pourquoi s'y intéresser spécialement ?
A cause évidemment des circonstances de leur mort, des civils tués par balles dans une démocratie à deux heures de vol de Paris !
Et voir ainsi une armée européenne se livrer à des exactions que l'on croyait réservées au fin fond de l'Afrique ne peut manquer de toucher.
Et que cela peut tout aussi bien arrivé à nouveau aujourd’hui chez nous en France,en Grece,au Portugal,…quand on constate le zele de nos gouvernants et politiciens :ils embauchent à tout va dans la police,leur achetent des équipements et véhicules dernier cri,les forment (et les déforment) à la technique des combats de rue …comme si ils savaient qu’un jour cela finira mal en Europe,en France,en Grece,… à force d’appauvrir les peuples.
Quand les gens en auront marre de se serrer la ceinture…
Quand le peuple n’aura plus de quoi se nourrir et nourrir leur famille…




































Alors le pire sera à craindre…
un nouveau Sunday Bloody Sunday dans toute l’Europe cette fois.