" Mes amis , réveillons-nous . Assez d'injustices ! " L'Abbé Pierre

samedi 27 juin 2015

Vous ne devez pas en etre informé ! Ami(e)s Européens, le discours d'Alexis Tsipras à son peuple que vous cachent vos gouvernements !




 

 
 


Dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 juin, le Premier ministre grec Alexis Tsipras s’est adréssé à son peuple :

" Depuis 6 mois, le gouvernement hellénique se bat dans des conditions d’asphyxie financière inouïes pour mettre en œuvre le mandat que vous lui avez confié à l’issue des élections du 25 janvier.

Un mandat qui nous enjoint de négocier avec nos partenaires pour mettre fin à l’austérité et faire en sorte que notre pays renoue avec la prospérité et la justice sociale.

Un mandat qui nous enjoint de parvenir à un accord viable, respectueux de la démocratie comme des règles de l'Union, et qui permettra à la Grèce de sortir définitivement de la crise.

Tout au long de cette période de négociations, on nous a demandé d’appliquer les mémorandums qu'avaient signés les gouvernements précédents, mémorandums que le peuple grec a pourtant catégoriquement rejetés lors des dernières élections.

Mais nous n’avons pas un seul instant envisagé de céder.

De trahir ― autrement dit ― votre confiance.

Après cinq mois de dures négociations, nos partenaires ont malheureusement abouti, lors de l’Eurogroupe d’avant-hier, à une proposition en forme d’ultimatum, un ultimatum adressé à la démocratie grecque et au peuple hellénique.

Un ultimatum qui contrevient aux principes fondateurs et aux valeurs fondamentales de l’Europe, de la construction européenne.

La proposition faite au gouvernement fait peser sur le peuple grec de nouvelles charges, intolérables, mine la société, sape tout espoir de reprise économique en perpétuant l’incertitude et en aggravant encore les inégalités.

La proposition des Institutions comprend des mesures conduisant à une dérégulation accrue du marché du travail, des coupes dans les pensions de retraite, de nouvelles réductions de salaires dans le secteur public ainsi qu’une augmentation de la TVA sur les aliments, l’hôtellerie et le tourisme ; les Institutions préconisent dans le même temps la suppression des exemptions fiscales pour la Grèce insulaire.

Ces propositions, qui portent directement atteinte aux acquis sociaux européens et aux droits fondamentaux ― droit au travail, à l’égalité et à la dignité ―, prouvent que certains de nos partenaires, que certaines de ces Institutions ne souhaitent pas parvenir à un accord viable, également profitable à toutes les parties, mais ont pour objectif d'humilier tout un peuple.

Ces propositions démontrent l’insistance mise ― en particulier par le Fonds Monétaire International ― sur une politique d’austérité extrême et punitive.

Les puissances aujourd’hui à la tête de l’Europe doivent dès lors, et plus que jamais, se hisser à la hauteur des circonstances et prendre des initiatives qui mettront fin à la crise de la dette publique grecque, une crise qui affecte d’autres pays européens et menace le futur même de l’intégration européenne.

Grecques et Grecs,

Nous sommes aujourd’hui porteurs d’une responsabilité historique à l’égard des luttes menées et des sacrifices consentis par le peuple grec pour la protection de la démocratie et de notre souveraineté nationale ; c’est notre responsabilité envers l’avenir de notre pays.

Cette responsabilité nous oblige à répondre à cet ultimatum en nous appuyant sur la volonté souveraine du peuple grec.

Au Conseil des Ministres qui vient de se tenir, j’ai solennellement proposé l’organisation d’un référendum afin que le peuple grec puisse se prononcer souverainement.

Cette proposition a été adoptée à l’unanimité.

Demain, l’Assemblée nationale se réunira en séance plénière extraordinaire afin d’entériner la proposition du Conseil des ministres en vue de la tenue, ce dimanche 5 juillet, d’un référendum à la faveur duquel les citoyens seront appelés à dire s’ils acceptent ou refusent la proposition faite par les Institutions.

J’ai déjà informé de ma décision le Président de la République hellénique mais aussi, par téléphone, le Président de la République française, la Chancelière de la République d’Allemagne et le président de la Banque Centrale Européenne ; demain, j’adresserai un courrier officiel aux dirigeants de l’Union Européenne et aux Institutions pour leur demander de prolonger le programme de quelques jours en sorte que le peuple grec puisse se prononcer librement, hors de toute pression et de tout chantage, conformément à la Constitution de notre pays et à la tradition démocratique européenne.

Grecques, Grecs,

Face à cette mise en demeure dont le but est de nous faire accepter une austérité extrême et humiliante, sans fin, sans perspective de redressement social et économique, je vous invite à vous prononcer souverainement, fièrement, comme l’histoire grecque vous y enjoint.

Répondons à l’autoritarisme et à l’austérité extrême par la démocratie, avec sérénité et détermination.

Que la Grèce, ce lieu qui a vu naître la démocratie, adresse une réponse démocratique retentissante à la communauté européenne, à la communauté internationale.

Je m’engage à respecter le résultat de votre choix démocratique, quel qu’il soit.

Je suis absolument sûr que votre décision fera honneur à l’histoire de notre patrie et sera un message de dignité adressé au monde.

En ces heures cruciales, nous devons tous nous rappeler que l’Europe est la maison commune de ses peuples. Que l’Europe ne se répartit pas entre des " propriétaires " et des " invités ".

La Grèce est et demeurera une partie indissociable de l’Europe et l’Europe une partie indissociable de la Grèce.

Mais une Europe sans démocratie sera une Europe sans identité et sans boussole.

Je vous appelle tous et toutes, dans un même élan national, dans l’unité et la sérénité, à prendre les décisions que nous méritons.

Pour nous, pour les générations suivantes, pour l’histoire des Grecs.

Pour la souveraineté et la dignité de notre peuple. "
 
 



Admirable lettre d’Alexis Tsipras à son peuple : Un modèle de dignité, d'engagement, de combativité et de démocratie.






pas besoin de commentaire ...


Alexis Tsipras pour la postérité ! Moi, hier j'étais Charly, je suis aujourd'hui Grec et fier de l'etre !



Admirable lettre d’Alexis Tsipras à son peuple : Un modèle de dignité, de combativité et de démocratie.

Dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 juin, le Premier ministre grec Alexis Tsipras s’est adréssé à son peuple :

" Depuis 6 mois, le gouvernement hellénique se bat dans des conditions d’asphyxie financière inouïes pour mettre en œuvre le mandat que vous lui avez confié à l’issue des élections du 25 janvier.

Un mandat qui nous enjoint de négocier avec nos partenaires pour mettre fin à l’austérité et faire en sorte que notre pays renoue avec la prospérité et la justice sociale.

Un mandat qui nous enjoint de parvenir à un accord viable, respectueux de la démocratie comme des règles de l'Union, et qui permettra à la Grèce de sortir définitivement de la crise.

Tout au long de cette période de négociations, on nous a demandé d’appliquer les mémorandums qu'avaient signés les gouvernements précédents, mémorandums que le peuple grec a pourtant catégoriquement rejetés lors des dernières élections.

Mais nous n’avons pas un seul instant envisagé de céder.
De trahir ― autrement dit ― votre confiance.
Après cinq mois de dures négociations, nos partenaires ont malheureusement abouti, lors de l’Eurogroupe d’avant-hier, à une proposition en forme d’ultimatum, un ultimatum adressé à la démocratie grecque et au peuple hellénique.

Un ultimatum qui contrevient aux principes fondateurs et aux valeurs fondamentales de l’Europe, de la construction européenne.

La proposition faite au gouvernement fait peser sur le peuple grec de nouvelles charges, intolérables, mine la société, sape tout espoir de reprise économique en perpétuant l’incertitude et en aggravant encore les inégalités.

La proposition des Institutions comprend des mesures conduisant à une dérégulation accrue du marché du travail, des coupes dans les pensions de retraite, de nouvelles réductions de salaires dans le secteur public ainsi qu’une augmentation de la TVA sur les aliments, l’hôtellerie et le tourisme ; les Institutions préconisent dans le même temps la suppression des exemptions fiscales pour la Grèce insulaire.

Ces propositions, qui portent directement atteinte aux acquis sociaux européens et aux droits fondamentaux ― droit au travail, à l’égalité et à la dignité ―, prouvent que certains de nos partenaires, que certaines de ces Institutions ne souhaitent pas parvenir à un accord viable, également profitable à toutes les parties, mais ont pour objectif d'humilier tout un peuple.

Ces propositions démontrent l’insistance mise ― en particulier par le Fonds Monétaire International ― sur une politique d’austérité extrême et punitive.

Les puissances aujourd’hui à la tête de l’Europe doivent dès lors, et plus que jamais, se hisser à la hauteur des circonstances et prendre des initiatives qui mettront fin à la crise de la dette publique grecque, une crise qui affecte d’autres pays européens et menace le futur même de l’intégration européenne.

Grecques et Grecs,

Nous sommes aujourd’hui porteurs d’une responsabilité historique à l’égard des luttes menées et des sacrifices consentis par le peuple grec pour la protection de la démocratie et de notre souveraineté nationale ; c’est notre responsabilité envers l’avenir de notre pays.

Cette responsabilité nous oblige à répondre à cet ultimatum en nous appuyant sur la volonté souveraine du peuple grec.

Au Conseil des Ministres qui vient de se tenir, j’ai solennellement proposé l’organisation d’un référendum afin que le peuple grec puisse se prononcer souverainement.

Cette proposition a été adoptée à l’unanimité.

Demain, l’Assemblée nationale se réunira en séance plénière extraordinaire afin d’entériner la proposition du Conseil des ministres en vue de la tenue, ce dimanche 5 juillet, d’un référendum à la faveur duquel les citoyens seront appelés à dire s’ils acceptent ou refusent la proposition faite par les Institutions.

J’ai déjà informé de ma décision le Président de la République hellénique mais aussi, par téléphone, le Président de la République française, la Chancelière de la République d’Allemagne et le président de la Banque Centrale Européenne ; demain, j’adresserai un courrier officiel aux dirigeants de l’Union Européenne et aux Institutions pour leur demander de prolonger le programme de quelques jours en sorte que le peuple grec puisse se prononcer librement, hors de toute pression et de tout chantage, conformément à la Constitution de notre pays et à la tradition démocratique européenne.

Grecques, Grecs,

Face à cette mise en demeure dont le but est de nous faire accepter une austérité extrême et humiliante, sans fin, sans perspective de redressement social et économique, je vous invite à vous prononcer souverainement, fièrement, comme l’histoire grecque vous y enjoint.

Répondons à l’autoritarisme et à l’austérité extrême par la démocratie, avec sérénité et détermination.

Que la Grèce, ce lieu qui a vu naître la démocratie, adresse une réponse démocratique retentissante à la communauté européenne, à la communauté internationale.

Je m’engage à respecter le résultat de votre choix démocratique, quel qu’il soit.

Je suis absolument sûr que votre décision fera honneur à l’histoire de notre patrie et sera un message de dignité adressé au monde.

En ces heures cruciales, nous devons tous nous rappeler que l’Europe est la maison commune de ses peuples. Que l’Europe ne se répartit pas entre des " propriétaires " et des " invités ".

La Grèce est et demeurera une partie indissociable de l’Europe et l’Europe une partie indissociable de la Grèce.

Mais une Europe sans démocratie sera une Europe sans identité et sans boussole.

Je vous appelle tous et toutes, dans un même élan national, dans l’unité et la sérénité, à prendre les décisions que nous méritons.

Pour nous, pour les générations suivantes, pour l’histoire des Grecs.

Pour la souveraineté et la dignité de notre peuple. "
 

Admirable lettre du 26/06/2015 d’Alexis Tsipras à son peuple : Un modèle de dignité, de combativité et de démocratie !


 
Admirable lettre d’Alexis Tsipras à son peuple : Un modèle de dignité, de combativité et de démocratie.

 
Dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 juin, le Premier ministre grec Alexis Tsipras s’est adréssé à son peuple :
" Depuis 6 mois, le gouvernement hellénique se bat dans des conditions d’asphyxie financière inouïes pour mettre en œuvre le mandat que vous lui avez confié à l’issue des élections du 25 janvier.
Un mandat qui nous enjoint de négocier avec nos partenaires pour mettre fin à l’austérité et faire en sorte que notre pays renoue avec la prospérité et la justice sociale.
Un mandat qui nous enjoint de parvenir à un accord viable, respectueux de la démocratie comme des règles de l'Union, et qui permettra à la Grèce de sortir définitivement de la crise.
Tout au long de cette période de négociations, on nous a demandé d’appliquer les mémorandums qu'avaient signés les gouvernements précédents, mémorandums que le peuple grec a pourtant catégoriquement rejetés lors des dernières élections.
Mais nous n’avons pas un seul instant envisagé de céder.
De trahir ― autrement dit ― votre confiance.
Après cinq mois de dures négociations, nos partenaires ont malheureusement abouti, lors de l’Eurogroupe d’avant-hier, à une proposition en forme d’ultimatum, un ultimatum adressé à la démocratie grecque et au peuple hellénique.
Un ultimatum qui contrevient aux principes fondateurs et aux valeurs fondamentales de l’Europe, de la construction européenne.
La proposition faite au gouvernement fait peser sur le peuple grec de nouvelles charges, intolérables, mine la société, sape tout espoir de reprise économique en perpétuant l’incertitude et en aggravant encore les inégalités.
La proposition des Institutions comprend des mesures conduisant à une dérégulation accrue du marché du travail, des coupes dans les pensions de retraite, de nouvelles réductions de salaires dans le secteur public ainsi qu’une augmentation de la TVA sur les aliments, l’hôtellerie et le tourisme ; les Institutions préconisent dans le même temps la suppression des exemptions fiscales pour la Grèce insulaire.
Ces propositions, qui portent directement atteinte aux acquis sociaux européens et aux droits fondamentaux ― droit au travail, à l’égalité et à la dignité ―, prouvent que certains de nos partenaires, que certaines de ces Institutions ne souhaitent pas parvenir à un accord viable, également profitable à toutes les parties, mais ont pour objectif d'humilier tout un peuple.
Ces propositions démontrent l’insistance mise ― en particulier par le Fonds Monétaire International ― sur une politique d’austérité extrême et punitive.
Les puissances aujourd’hui à la tête de l’Europe doivent dès lors, et plus que jamais, se hisser à la hauteur des circonstances et prendre des initiatives qui mettront fin à la crise de la dette publique grecque, une crise qui affecte d’autres pays européens et menace le futur même de l’intégration européenne.
Grecques et Grecs,
Nous sommes aujourd’hui porteurs d’une responsabilité historique à l’égard des luttes menées et des sacrifices consentis par le peuple grec pour la protection de la démocratie et de notre souveraineté nationale ; c’est notre responsabilité envers l’avenir de notre pays.
Cette responsabilité nous oblige à répondre à cet ultimatum en nous appuyant sur la volonté souveraine du peuple grec.
Au Conseil des Ministres qui vient de se tenir, j’ai solennellement proposé l’organisation d’un référendum afin que le peuple grec puisse se prononcer souverainement.
Cette proposition a été adoptée à l’unanimité.
Demain, l’Assemblée nationale se réunira en séance plénière extraordinaire afin d’entériner la proposition du Conseil des ministres en vue de la tenue, ce dimanche 5 juillet, d’un référendum à la faveur duquel les citoyens seront appelés à dire s’ils acceptent ou refusent la proposition faite par les Institutions.
J’ai déjà informé de ma décision le Président de la République hellénique mais aussi, par téléphone, le Président de la République française, la Chancelière de la République d’Allemagne et le président de la Banque Centrale Européenne ; demain, j’adresserai un courrier officiel aux dirigeants de l’Union Européenne et aux Institutions pour leur demander de prolonger le programme de quelques jours en sorte que le peuple grec puisse se prononcer librement, hors de toute pression et de tout chantage, conformément à la Constitution de notre pays et à la tradition démocratique européenne.
Grecques, Grecs,
Face à cette mise en demeure dont le but est de nous faire accepter une austérité extrême et humiliante, sans fin, sans perspective de redressement social et économique, je vous invite à vous prononcer souverainement, fièrement, comme l’histoire grecque vous y enjoint.
Répondons à l’autoritarisme et à l’austérité extrême par la démocratie, avec sérénité et détermination.
Que la Grèce, ce lieu qui a vu naître la démocratie, adresse une réponse démocratique retentissante à la communauté européenne, à la communauté internationale.
Je m’engage à respecter le résultat de votre choix démocratique, quel qu’il soit.
Je suis absolument sûr que votre décision fera honneur à l’histoire de notre patrie et sera un message de dignité adressé au monde.
En ces heures cruciales, nous devons tous nous rappeler que l’Europe est la maison commune de ses peuples. Que l’Europe ne se répartit pas entre des " propriétaires " et des " invités ".
La Grèce est et demeurera une partie indissociable de l’Europe et l’Europe une partie indissociable de la Grèce.
Mais une Europe sans démocratie sera une Europe sans identité et sans boussole.
Je vous appelle tous et toutes, dans un même élan national, dans l’unité et la sérénité, à prendre les décisions que nous méritons.
Pour nous, pour les générations suivantes, pour l’histoire des Grecs.
Pour la souveraineté et la dignité de notre peuple. "
 
 
 
 
 
 
 
 

Je suis tres ému ... JE SUIS GREC !


 
 
Je suis tres ému ... JE SUIS GREC !
Magnifique analogie, difficile de faire mieux, merci pour ces mots. Discours historique. Respect ! Quelle belle leçon de "Politique". C'est toute la noblesse de l'héritage et du merveilleux patrimoine Grec. La date du 5 juillet 2015 sera plus jamais, une date historique! Merci Monsieur TSIPRAS. Honneur aux Grecs. Ce petit pays, grand par sa démocratie est en train de démontrer la vrai l'unique démocratie en Europe! VIVE LA GRECE!


Tous les peuples européens devraient soutenir le peuple grec; Tsipras est digne du mandat que les grecs lui ont confié, ce qui n'est pas le cas de Hollande, vite passé dans le camp des austéritaires, dès son élection ! Quoi que l'on pense, on attend d'un homme d'ètat qu'il respecte ses engagements! il n'y a plus de démocratie en Europe qui est dirigée par une oligarchie financière qui se fout des peuples. Réjouissons nous qu'il y ai encore des hommes comme Tsipras.



Vive la résistance Grecque.

Ce que fait la " Troïka" à la Grèce est monstrueux et j'espère que les grecs voteront massivement contre ce que demande entre autre le FMI cette organisation mafieuse qu'il faudrait dissoudre ( dans l'acide de préférence) !

Grecs ! Dites NON !

"Répondons à l'autoritarisme et à l'austérité extrême par la démocratie, avec sérénité et détermination."

Ce beau texte est une leçon donnée à tous ces élus des peuples qui, loin de les servir, les asservissent.

Solidarité avec le peuple grec. Bravo à Alexis Tsipras.



Merci, Monsieur Tsipras. Pour la Grèce, pour l'Europe, pour le monde aussi. Vous êtes un grand homme, entrez dans l'Histoire de la démocratie en en corrigeant une dérive mortelle. Digne et clairvoyant, négociateur mais pas traître, vous incarnez aujourd'hui le sursaut tant attendu par les tous les démocrates. Si l'Europe survit, elle vous devra beaucoup. Si elle sombre sous les coups de sape allemands et français, vous aurez au moins tout tenté pour la sauver. Que la politique est belle quand on vous regarde agir.

Respectueusement.



Alexis TSIPRAS et SYRIZA portent la question de la dette sur le champ démocratique et demande désormais le soutien officiel du Peuple Grec dans la Résistance à l'autoritarisme, l'intransigeance, l'absurdité du traitement de la "crise grecque" par des institutions entièrement dévouées d'une part à la cause des intérêts particuliers des possédants fraudeurs grecs, d'autre part, à la cause des institutions européennes elles même, dont les intitiatives hors de tout mandat démocratique, ont conduit la TROIKA à favoriser la fraude et l'évasion des capitaux, à creuser la dette, à organiser l'immunité des grandes firmes allemandes et françaises qui, elles même, participèrent et profitèrent du détournement des lois fiscales grecques, notamment celles concernant la TVA.

Avoir le soutien officiel du peuple, c'est pour TSIPRAS préparer l'ensemble de la GRECE, continentale et insulaire (c'est une des réalités que nous oublions souvent), à toutes les éventualités, et déclarer clairement que si GREXIT il y avait, il serait entièrement dû à l'unique volonté des "Institutions", de la chancelière et du Président de la République Française, sans aucun mandat populaire.

Alexis TSIPRAS fort des réactions populaire dans l'ensemble de la GRECE sait pouvoir compter sur la détermination d'un peuple grec excédé des pantomime technocratiques et droitières des dirigeants de la droite européenne, des sociaux démocrates complices, de l'extrême droite, dont le discours ne coïncide pas avec les actes notamment les votes émis, et qui en fait un allié objectif des libéraux partout en UE, en canalisant les colères légitimes des peuples.

Enfin, le vote du DIMANCHE 5 JUILLET, servira de base à la négociation qui débutera quelques heures après l'accord passé le 30 juin, pour tenir une énième échéance le 20 JUILLET, si la dette n'est pas enfin restructurée et rééchelonnée. De sorte que depuis 5 mois, le gouvernement grec aura passé du fait de l'absurdité des positions du FMI et de LAGARDE, de MERKEL, DE HOLLANDE, de JUNKER, de TUSK, de SCHULTZ... plus de temps autour du tapis verts à palabrer sur des mesures hors sol qu'à répondre à l'urgence grecque.

Le 5 JUILLET les yeux européens, ceux qu'on empêche de s'exprimer sur les politiques menées, seront tournés vers ATHENES.

Au chantage de quelques dirigeants européens, à la tête d'Etat, mais aussi d'institutions dont les mandats ont été négociés au mépris des expressions démocratiques, TSIPRAS propose une expression libre et démocratique sur l'appartenance à l'UE, sur l'identité européenne de la GRECE, sur la priorité donnée aux besoins populaires, sur les profits et les privilèges que l'UE acquis frauduleusement.

Tout notre soutien va à TSIPRAS, au gouvernement et la Vouly grecque, au Peuple qui lui renouvellera le mandat donné le 25 JANVIER.

Le meilleur moyen d'aider les grecques c'est de descendre dans la rue contre les politiques d'austérité de nos gouvernements européens respectifs qui renvoit les peuples dans la misère sociale et la lutte de tous contre tous, et cela pendant qu'ils participent aux banquets des puissants. C'est la démocratie qui est en danger aujourd'hui, en danger parce que nous avons oublié les repères indispensables au vivre ensemble, la solidarité, l'égalité et la fraternité, la liberté est à ce prix. Il faut reprendre la lutte pour notre émancipation individuelle Et collective. Emancipation individuelle qui n'a, bien évidemment rien à voir avec ce que nous propose l'idéologie capitaliste à travers les discours sur l'entrepreneuneuriat et le mérite individuel, la concurrance et toute la bouillie intellectuelle de ses dernières décénie.

Rappelons que pour les Grecs, le NON est le symbole de la résistance populaire du pays au fascisme, puisque c’est cette réponse opposée à Mussolini le 28 octobre 1940, qui constitue le thème central de l’une des deux fêtes nationales.

" Je vous invite à vous prononcer souverainement, fièrement, comme l’histoire grecque vous y enjoint. Répondons à l’autoritarisme et à l’austérité extrême par la démocratie, avec sérénité et détermination. Que la Grèce, ce lieu qui a vu naître la démocratie, adresse une réponse démocratique retentissante à la communauté européenne, à la communauté internationale." Tsipras, vendredi 26 juin 2015.

L'ensemble des ministres s'est prononcé pour le NON, dont Panos Kammenos, ministre de la défense et leader des Grecs Indépendants, qui était parti rejoindre Tsipras et l'équipe grecque à Bruxelles et en est revenu indigné.

De son côté, le KKE a appelé à voter NON, sans succomber à la tentation de l'abstention.

Prochaine étape en cas de victoire du NON, fort possible : annulation unilatérale de la dette illégale, illégitime, odieuse et insoutenable, puis tribunaux où tous les éléments rassemblés par la Commission Parlementaire pour la Vérité sur la Dette Publique seront exploités.

Samedi matin, les réactions des "partenaires-créanciers" européens se faisaient encore attendre.

Les bureaux du FMI avaient annoncé jeudi soir qu’un retard du remboursement de 1,6 milliard d’Euros au FMI mardi 30 juin, date butoir, " ne signifierait rien d’autre qu’un retard de paiement " et non une faillite, démentant l’annonce faite précédemment par Mme Lagarde à la sortie de l'Eurosommet.

Un sondage d'opinion publié par ENIKOS, site d'information de centre-droit, annonçait ce matin que 65% des Grecs n'ont pas peur du GREXIT.

Bravo Monsieur TSIPRAS . J'aimerais croire que dans la même situation , nos gouvernants seraient capables de tenir un tel discours ..j'en doute et ce n'est pas le manque apparent de soutien à la Gréce par notre Président si décevant qui me feront penser le contraire .

C'est à se tordre de rage , l'Europe est en passe de mourir , l'Europe est peut-être déja morte pour être remplacée par un bataillon de comptables sans vision .

Bravo Monsieur TSIPRAS et honte aux financiers qui maintenant méprisent ouvertement la Démocratie .

Merci, Monsieur Tsipras. Pour la Grèce, pour l'Europe, pour le monde aussi. Vous êtes un grand homme, entrez dans l'Histoire de la démocratie en en corrigeant une dérive mortelle. Digne et clairvoyant, négociateur mais pas traître, vous incarnez aujourd'hui le sursaut tant attendu par les tous les démocrates. Si l'Europe survit, elle vous devra beaucoup. Si elle sombre sous les coups de sape allemands et français, vous aurez au moins tout tenté pour la sauver. Que la politique est belle quand on vous regarde agir.



Alexis tsipras,un exemple d'homme politique qui assume ses responsabilités et le mandat qui lui a été confié. Un superbe exemple.

Que les pantins, imposteurs, escrocs qui nous gouvernent en prennent de la graine ! il y a le feu à la maison !


Et la nullité et l'antidémocratie du minable Dijsselbloem :


" L'annonce par le premier ministre grec Alexis Tsipras d'un prochain référendum sur les demandes des créanciers est "une triste décision pour la Grèce et "ferme la porte à la poursuite des discussions", a déclaré minablement samedi le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, peu avant la reprise de l'Eurogroupe ce samedi.



 

 

Quelle belle leçon de "Politique", de courage, d'engagement pour son peuple de la part d'Alesxis Tsipras !



Dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 juin, le Premier ministre grec Alexis Tsipras a annoncé, dans une adresse au peuple retransmise par la chaîne de télévision publique (ERT), la tenue d'un référendum sur les propositions faites à la Grèce par les "Institutions" (FMI, BCE, Commission européenne) dans le cadre des négociations sur la dette.


Alexis TSIPRAS à son peuple le 26/06/2015 :
 
" Depuis 6 mois, le gouvernement hellénique se bat dans des conditions d’asphyxie financière inouïes pour mettre en œuvre le mandat que vous lui avez confié à l’issue des élections du 25 janvier.

Un mandat qui nous enjoint de négocier avec nos partenaires pour mettre fin à l’austérité et faire en sorte que notre pays renoue avec la prospérité et la justice sociale.

Un mandat qui nous enjoint de parvenir à un accord viable, respectueux de la démocratie comme des règles de l'Union, et qui permettra à la Grèce de sortir définitivement de la crise.

Tout au long de cette période de négociations, on nous a demandé d’appliquer les mémorandums qu'avaient signés les gouvernements précédents, mémorandums que le peuple grec a pourtant catégoriquement rejetés lors des dernières élections.

Mais nous n’avons pas un seul instant envisagé de céder.
 
De trahir ― autrement dit ― votre confiance.



Après cinq mois de dures négociations, nos partenaires ont malheureusement abouti, lors de l’Eurogroupe d’avant-hier, à une proposition en forme d’ultimatum, un ultimatum adressé à la démocratie grecque et au peuple hellénique.

Un ultimatum qui contrevient aux principes fondateurs et aux valeurs fondamentales de l’Europe, de la construction européenne.

La proposition faite au gouvernement fait peser sur le peuple grec de nouvelles charges, intolérables, mine la société, sape tout espoir de reprise économique en perpétuant l’incertitude et en aggravant encore les inégalités.

La proposition des Institutions comprend des mesures conduisant à une dérégulation accrue du marché du travail, des coupes dans les pensions de retraite, de nouvelles réductions de salaires dans le secteur public ainsi qu’une augmentation de la TVA sur les aliments, l’hôtellerie et le tourisme ; les Institutions préconisent dans le même temps la suppression des exemptions fiscales pour la Grèce insulaire.

Ces propositions, qui portent directement atteinte aux acquis sociaux européens et aux droits fondamentaux ― droit au travail, à l’égalité et à la dignité ―, prouvent que certains de nos partenaires, que certaines de ces Institutions ne souhaitent pas parvenir à un accord viable, également profitable à toutes les parties, mais ont pour objectif d'humilier tout un peuple.

Ces propositions démontrent l’insistance mise ― en particulier par le Fonds Monétaire International ― sur une politique d’austérité extrême et punitive.

Les puissances aujourd’hui à la tête de l’Europe doivent dès lors, et plus que jamais, se hisser à la hauteur des circonstances et prendre des initiatives qui mettront fin à la crise de la dette publique grecque, une crise qui affecte d’autres pays européens et menace le futur même de l’intégration européenne.

Grecques et Grecs,

Nous sommes aujourd’hui porteurs d’une responsabilité historique à l’égard des luttes menées et des sacrifices consentis par le peuple grec pour la protection de la démocratie et de notre souveraineté nationale ; c’est notre responsabilité envers l’avenir de notre pays.

Cette responsabilité nous oblige à répondre à cet ultimatum en nous appuyant sur la volonté souveraine du peuple grec.

Au Conseil des Ministres qui vient de se tenir, j’ai solennellement proposé l’organisation d’un référendum afin que le peuple grec puisse se prononcer souverainement.

Cette proposition a été adoptée à l’unanimité.

Demain, l’Assemblée nationale se réunira en séance plénière extraordinaire afin d’entériner la proposition du Conseil des ministres en vue de la tenue, ce dimanche 5 juillet, d’un référendum à la faveur duquel les citoyens seront appelés à dire s’ils acceptent ou refusent la proposition faite par les Institutions.

J’ai déjà informé de ma décision le Président de la République hellénique mais aussi, par téléphone, le Président de la République française, la Chancelière de la République d’Allemagne et le président de la Banque Centrale Européenne ; demain, j’adresserai un courrier officiel aux dirigeants de l’Union Européenne et aux Institutions pour leur demander de prolonger le programme de quelques jours en sorte que le peuple grec puisse se prononcer librement, hors de toute pression et de tout chantage, conformément à la Constitution de notre pays et à la tradition démocratique européenne.

Grecques, Grecs,

Face à cette mise en demeure dont le but est de nous faire accepter une austérité extrême et humiliante, sans fin, sans perspective de redressement social et économique, je vous invite à vous prononcer souverainement, fièrement, comme l’histoire grecque vous y enjoint.

Répondons à l’autoritarisme et à l’austérité extrême par la démocratie, avec sérénité et détermination.

Que la Grèce, ce lieu qui a vu naître la démocratie, adresse une réponse démocratique retentissante à la communauté européenne, à la communauté internationale.

Je m’engage à respecter le résultat de votre choix démocratique, quel qu’il soit.

Je suis absolument sûr que votre décision fera honneur à l’histoire de notre patrie et sera un message de dignité adressé au monde.

En ces heures cruciales, nous devons tous nous rappeler que l’Europe est la maison commune de ses peuples. Que l’Europe ne se répartit pas entre des " propriétaires " et des " invités ".

La Grèce est et demeurera une partie indissociable de l’Europe et l’Europe une partie indissociable de la Grèce.

Mais une Europe sans démocratie sera une Europe sans identité et sans boussole.

Je vous appelle tous et toutes, dans un même élan national, dans l’unité et la sérénité, à prendre les décisions que nous méritons.

Pour nous, pour les générations suivantes, pour l’histoire des Grecs.

Pour la souveraineté et la dignité de notre peuple. "
 



 

Je suis tres ému par ce discours :
Magnifique analogie, difficile de faire mieux, merci pour ces mots. Discours historique. Respect ! Quelle belle leçon de "Politique". C'est toute la noblesse de l'héritage et du merveilleux patrimoine Grec. La date du 5 juillet 2015 sera plus jamais, une date historique! Merci Monsieur TSIPRAS. Honneur aux Grecs. Ce petit pays, grand par sa démocratie est en train de démontrer la vrai l'unique démocratie en Europe! VIVE LA GRECE!

Tous les peuples européens devraient soutenir le peuple grec; Tsipras est digne du mandat que les grecs lui ont confié, ce qui n'est pas le cas de Hollande, vite passé dans le camp des austéritaires, dès son élection ! Quoi que l'on pense, on attend d'un homme d'ètat qu'il respecte ses engagements! il n'y a plus de démocratie en Europe qui est dirigée par une oligarchie financière qui se fout des peuples. Réjouissons nous qu'il y ai encore des hommes comme Tsipras.



Vive la résistance Grecque.

Ce que fait la " Troïka" à la Grèce est monstrueux et j'espère que les grecs voteront massivement contre ce que demande entre autre le FMI cette organisation mafieuse qu'il faudrait dissoudre ( dans l'acide de préférence) !

Grecs ! Dites NON !

"Répondons à l'autoritarisme et à l'austérité extrême par la démocratie, avec sérénité et détermination."

Ce beau texte est une leçon donnée à tous ces élus des peuples qui, loin de les servir, les asservissent.

Solidarité avec le peuple grec. Bravo à Alexis Tsipras.



Merci, Monsieur Tsipras. Pour la Grèce, pour l'Europe, pour le monde aussi. Vous êtes un grand homme, entrez dans l'Histoire de la démocratie en en corrigeant une dérive mortelle. Digne et clairvoyant, négociateur mais pas traître, vous incarnez aujourd'hui le sursaut tant attendu par les tous les démocrates. Si l'Europe survit, elle vous devra beaucoup. Si elle sombre sous les coups de sape allemands et français, vous aurez au moins tout tenté pour la sauver. Que la politique est belle quand on vous regarde agir.

Respectueusement.



Alexis TSIPRAS et SYRIZA portent la question de la dette sur le champ démocratique et demande désormais le soutien officiel du Peuple Grec dans la Résistance à l'autoritarisme, l'intransigeance, l'absurdité du traitement de la "crise grecque" par des institutions entièrement dévouées d'une part à la cause des intérêts particuliers des possédants fraudeurs grecs, d'autre part, à la cause des institutions européennes elles même, dont les intitiatives hors de tout mandat démocratique, ont conduit la TROIKA à favoriser la fraude et l'évasion des capitaux, à creuser la dette, à organiser l'immunité des grandes firmes allemandes et françaises qui, elles même, participèrent et profitèrent du détournement des lois fiscales grecques, notamment celles concernant la TVA.

Avoir le soutien officiel du peuple, c'est pour TSIPRAS préparer l'ensemble de la GRECE, continentale et insulaire (c'est une des réalités que nous oublions souvent), à toutes les éventualités, et déclarer clairement que si GREXIT il y avait, il serait entièrement dû à l'unique volonté des "Institutions", de la chancelière et du Président de la République Française, sans aucun mandat populaire.

Alexis TSIPRAS fort des réactions populaire dans l'ensemble de la GRECE sait pouvoir compter sur la détermination d'un peuple grec excédé des pantomime technocratiques et droitières des dirigeants de la droite européenne, des sociaux démocrates complices, de l'extrême droite, dont le discours ne coïncide pas avec les actes notamment les votes émis, et qui en fait un allié objectif des libéraux partout en UE, en canalisant les colères légitimes des peuples.

Enfin, le vote du DIMANCHE 5 JUILLET, servira de base à la négociation qui débutera quelques heures après l'accord passé le 30 juin, pour tenir une énième échéance le 20 JUILLET, si la dette n'est pas enfin restructurée et rééchelonnée. De sorte que depuis 5 mois, le gouvernement grec aura passé du fait de l'absurdité des positions du FMI et de LAGARDE, de MERKEL, DE HOLLANDE, de JUNKER, de TUSK, de SCHULTZ... plus de temps autour du tapis verts à palabrer sur des mesures hors sol qu'à répondre à l'urgence grecque.

Le 5 JUILLET les yeux européens, ceux qu'on empêche de s'exprimer sur les politiques menées, seront tournés vers ATHENES.

Au chantage de quelques dirigeants européens, à la tête d'Etat, mais aussi d'institutions dont les mandats ont été négociés au mépris des expressions démocratiques, TSIPRAS propose une expression libre et démocratique sur l'appartenance à l'UE, sur l'identité européenne de la GRECE, sur la priorité donnée aux besoins populaires, sur les profits et les privilèges que l'UE acquis frauduleusement.

Tout notre soutien va à TSIPRAS, au gouvernement et la Vouly grecque, au Peuple qui lui renouvellera le mandat donné le 25 JANVIER.

Le meilleur moyen d'aider les grecques c'est de descendre dans la rue contre les politiques d'austérité de nos gouvernements européens respectifs qui renvoit les peuples dans la misère sociale et la lutte de tous contre tous, et cela pendant qu'ils participent aux banquets des puissants. C'est la démocratie qui est en danger aujourd'hui, en danger parce que nous avons oublié les repères indispensables au vivre ensemble, la solidarité, l'égalité et la fraternité, la liberté est à ce prix. Il faut reprendre la lutte pour notre émancipation individuelle Et collective. Emancipation individuelle qui n'a, bien évidemment rien à voir avec ce que nous propose l'idéologie capitaliste à travers les discours sur l'entrepreneuneuriat et le mérite individuel, la concurrance et toute la bouillie intellectuelle de ses dernières décénie.

Rappelons que pour les Grecs, le NON est le symbole de la résistance populaire du pays au fascisme, puisque c’est cette réponse opposée à Mussolini le 28 octobre 1940, qui constitue le thème central de l’une des deux fêtes nationales.

" Je vous invite à vous prononcer souverainement, fièrement, comme l’histoire grecque vous y enjoint. Répondons à l’autoritarisme et à l’austérité extrême par la démocratie, avec sérénité et détermination. Que la Grèce, ce lieu qui a vu naître la démocratie, adresse une réponse démocratique retentissante à la communauté européenne, à la communauté internationale." Tsipras, vendredi 26 juin 2015.

L'ensemble des ministres s'est prononcé pour le NON, dont Panos Kammenos, ministre de la défense et leader des Grecs Indépendants, qui était parti rejoindre Tsipras et l'équipe grecque à Bruxelles et en est revenu indigné.

De son côté, le KKE a appelé à voter NON, sans succomber à la tentation de l'abstention.

Prochaine étape en cas de victoire du NON, fort possible : annulation unilatérale de la dette illégale, illégitime, odieuse et insoutenable, puis tribunaux où tous les éléments rassemblés par la Commission Parlementaire pour la Vérité sur la Dette Publique seront exploités.

Samedi matin, les réactions des "partenaires-créanciers" européens se faisaient encore attendre.

Les bureaux du FMI avaient annoncé jeudi soir qu’un retard du remboursement de 1,6 milliard d’Euros au FMI mardi 30 juin, date butoir, " ne signifierait rien d’autre qu’un retard de paiement " et non une faillite, démentant l’annonce faite précédemment par Mme Lagarde à la sortie de l'Eurosommet.

Un sondage d'opinion publié par ENIKOS, site d'information de centre-droit, annonçait ce matin que 65% des Grecs n'ont pas peur du GREXIT.

Bravo Monsieur TSIPRAS . J'aimerais croire que dans la même situation , nos gouvernants seraient capables de tenir un tel discours ..j'en doute et ce n'est pas le manque apparent de soutien à la Gréce par notre Président si décevant qui me feront penser le contraire .

C'est à se tordre de rage , l'Europe est en passe de mourir , l'Europe est peut-être déja morte pour être remplacée par un bataillon de comptables sans vision .

Bravo Monsieur TSIPRAS et honte aux financiers qui maintenant méprisent ouvertement la Démocratie .

Merci, Monsieur Tsipras. Pour la Grèce, pour l'Europe, pour le monde aussi. Vous êtes un grand homme, entrez dans l'Histoire de la démocratie en en corrigeant une dérive mortelle. Digne et clairvoyant, négociateur mais pas traître, vous incarnez aujourd'hui le sursaut tant attendu par les tous les démocrates. Si l'Europe survit, elle vous devra beaucoup. Si elle sombre sous les coups de sape allemands et français, vous aurez au moins tout tenté pour la sauver. Que la politique est belle quand on vous regarde agir.



Alexis tsipras,un exemple d'homme politique qui assume ses responsabilités et le mandat qui lui a été confié. Un superbe exemple.

Que les pantins, imposteurs, escrocs qui nous gouvernent en prennent de la graine ! il y a le feu à la maison !


Et la nullité et l'antidémocratie du minable Dijsselbloem :


" L'annonce par le premier ministre grec Alexis Tsipras d'un prochain référendum sur les demandes des créanciers est "une triste décision pour la Grèce et "ferme la porte à la poursuite des discussions", a déclaré minablement samedi le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, peu avant la reprise de l'Eurogroupe ce samedi.



 

 

The best or the worst !


We hope for the best and we're prepared for the worst !
 

100 ans d’histoire et de construction du droit des salariés sont en jeu avec la loi Macron !



Droit du travail ou travail sans droit ?

En modifiant l’article 2064 du Code civil et la loi du 8 février 1995, (article 83) qui renvoie toute relation de travail au code du travail, la loi Macron ouvre la possibilité de contrats civils, commerciaux, de gré à gré qui pourront échapper aux conventions, aux inspections, aux contrôles et aux prud’hommes.
Lisez le quotidien L'Opinion qui, comme Attali, prône la fin du salariat. Écoutez tous ceux qui disent que le Code du travail est obèse : l’offensive générale réactionnaire est lancée, c’est cent ans d’histoire et de construction du droit des salariés qui sont en jeu. Droit du travail ou travail sans droit ?

 

Attention danger, le gouvernement Français ouvre les vannes de l'insécurité sociale !




Attention danger, le gouvernement Français ouvre les vannes de l'insécurité sociale !



Attention danger, le gouvernement Français ouvre les vannes de l'insécurité sociale !



C'était assez net dans ma tête. Cela s'est passé lors du vote en première lecture de la loi Renseignement (ou loi Surveillance) : je me suis dit à ce moment précis que j'avais atteint le bout de la sidération. Que plus rien ne pourrait ni m'étonner ni me mettre en colère de la part de ce gouvernement. J'avais décidé d'arrêter de dresser la liste des engagements non tenus et des concessions faites à ceux contre lesquels nous nous sommes mobilisés pendant 10 ans.


Force est de constater que je les avais sous-estimés. La sidération n'était pas terminée.
La semaine passée, le gouvernement a purement et simplement décidé d'en finir avec le CDI. Sans aucun débat, sans aucune concertation, sans le moindre commencement du début d'un semblant de dialogue social. En un coup de 49-3, c'était réglé. François Hollande et Manuel Valls ont décidé d'accéder à une vieille revendication du Medef et ont plafonné les indemnités prud'hommales en cas de licenciement abusif d'une ou d'un salarié. Ils ont donc créé pour les cheffes et chefs d'entreprise le droit de licencier sans raison. Un droit payant, certes, mais un droit quand même. Et le tarif n'étant pas élevé, donc pas dissuasif, cela revient de fait à permettre la fin d'un CDI sans raison. Un contrat à durée indéterminé qui peut s'arrêter sans raison valable, ce n'est plus un contrat à durée indéterminée.




Avec cette disposition, le gouvernement ouvre les vannes de l'insécurité sociale.


Dans un pays où 5 millions de personnes sont au chômage, il est assez aisé de comprendre que le rapport de force n'est pas favorable aux salarié-es. Renforcer la possibilité pour les cheffes et chefs d'entreprise de licencier, c'est accroître ce déséquilibre. Et c'est fragiliser des millions d'emplois, des millions de familles, des millions de vies.

Le gouvernement prend le risque de faire évoluer très rapidement les rapports sociaux dans l'entreprise, rapports déjà passablement dégradés. Les documents et enquêtes se succèdent sur les dégats du stress au travail, de la mise sous pression hallucinante des salarié-es et de la perte de sens du travail. Notre société, nos entreprises, nos modes de management abiment à petit feu des milliers de salarié-es chaque jour.

L'Assemblée Nationale a enteriné une regression sociale hallucinante, sans aucun mandat des électeurs et électrices. Mais comment les députées et députés ont-ils pu laisser passer ce déni de démocratie ? Comment est-ce possible que sur les centaines de député-es socialistes, un seul décide de claquer la porte ? Comment, en 3 ans à peine, le renoncement a-t-il pu transformer à ce point des militantes et militants de gauche sincères, qui voulaient tourner la page et reprendre la marche du progrès ?

Heureusement, il existe des poches de résistances ! Le point d'exclamation, c'est pour se convaincre qu'on peut rester optimiste même s'il n'existe rationnellement presque que des raisons de déprimer …



Les méfaits de ce gouvernement : je pense qu'ils sont même capables d'aller beaucoup plus loin dans la destruction, et que, de plus, ils sont de plus en plus pressés : vite, faire tout le sale boulot pour lequel ils sont stipendiés avant que l'équipe concurrente arrive au "pouvoir" (traduisez : service).Le principal étant de toucher les prébendes que leurs valent leur service. (Mais il va bientôt être interdit d'enquêter. C'est ainsi que ces grands démocrates que sont les "Socialistes" (lire : salopards solfériniens et ravis de la créche militants) vont rejoindre les Républicains dans le Panthéon du Mensonge et de la Trahison. Ils y retrouveront leurs ancêtres. Inutile de les citer, ils sont si nombreux.)

Ces gens-là ne vivent que dans et pour l'overclass !



 

 
 



mercredi 24 juin 2015

le congres americain à l'origine de la nouvelle guerre froide ! Maintenant les gens ne se rendent pas compte qu'on risque d'aller vers la guerre !



Un ex-diplomate français accuse Washington d'être à l'origine de la crise ukrainienne !



Ambassadeur de France à Moscou jusqu'en 2013, Jean de Gliniasty estime que les Européens auraient dû "donner" Sébastopol à la Crimée et juge que la Crimée a "toujours été russe".

Envoyé spécial à Saint-Pétersbourg

Jean de Gliniasty est en colère, très en colère. Rencontré en marge du forum de Saint-Pétersbourg, l'ex-ambassadeur de France à Moscou, qui ne cache pas ses vues pro-russes, s'emporte contre les "erreurs" de la diplomatie européenne et française à l'égard du dossier ukrainien. "C'est cinq ans de travail qui ont été ruinés", regrette celui qui représenta les intérêts de la France à Moscou de mai 2009 à octobre 2013, quittant la capitale russe au moment des grandes manifestations ukrainiennes de Maïdan qui débouchèrent sur un changement de régime, puis sur l'annexion de la Crimée et la guerre dans le Donbass.

Durant ces cinq années, il s'est fait l'avocat infatigable des chefs d'entreprises françaises en Russie, qui l'appréciaient en retour, quitte à minimiser les conséquences du tour de vis imposé par Vladimir Poutine à la société civile après son retour au Kremlin en 2012. Des vue qui lui ont été reprochées parfois au quai d'Orsay. "Ce n'était pas compliqué", dit-il: "il fallait notamment donner Sébastopol à la Russie et garantir le statut de la langue russe en Crimée". Et l'avis de Kiev dans tout cela? "Mais la Crimée n'a jamais appartenu à l'Ukraine, elle a toujours été russe", s'emporte Jean de Gliniasty, négligeant le fait que la péninsule a été offerte en cadeau par Nikita Khrouchtchev à l'Ukraine en 1954.



Selon l'ex-diplomate, ce retour officiel de Sébastopol dans le giron russe aurait pu s'accomplir au plus tard à la fin du bail de location de la flotte russe de la mer Noire - stationnée dans le port de Crimée - bail qui devait théoriquement arriver à échéance en 2042. Ces projets qui auraient pu s'échafauder au moment où Moscou commençait à s'opposer à la signature d'un accord d'association de l'Union européenne avec l'Ukraine, ont été contrariés par l'ignorance de l'histoire, côté européen, et surtout par les actions des Américains, analyse Jean de Gliniasty. "On s'est mis dans la main des Américains", regrette le diplomate qui voit la main de Washington dans la rupture épisodique des cessez-le-feu, constatée dans le Donbass. Ce fut notamment le cas il y a deux semaines, l'Union européenne décidant dans la foulée de prolonger les sanctions contre la Russie jusqu'au mois de janvier 2016.

Selon l'ex ambassadeur, qui dénonce ces mesures de représailles, l'Ukraine resterait donc l'un des terrains de jeu favori de la diplomatie américaine, permettant de bloquer dans l'ancien espace soviétique, toute velléité d'impérialisme russe: c'est la fameuse doctrine Brzezinski qui inspirerait depuis trente ans la diplomatie américaine, y compris celle d'Obama, selon Jean de Gliniasty. En terrain familier, ce dernier a retrouvé François Fillon à Saint-Pétersbourg, qui fut premier ministre au même moment et qui, reçu par Vladimir Poutine à Saint-Pétersbourg, défend lui aussi les mêmes visions. "Maintenant les gens ne se rendent pas compte qu'on risque d'aller vers la guerre. C'est une catastrophe", assène l'ex-diplomate qui depuis son départ du quai d'Orsay, a entamé une retraite active, celle de consultant.



"On s'est mis dans la main des Américains"

Jean de Gliniasty, ancien ambassadeur français en Russie
 
 


L’heure est venue de demander à tous les peuples européens si " oui " ou " non " ils désirent souverainement disposer d’eux-mêmes et de leur avenir !



Le gouvernement britannique l’a fait : les citoyens du Royaume-Uni seront consultés d’ici la fin 2017 (peut-être même dès 2016) sur le maintien ou non de leur pays dans l’Union européenne. D’ici ce référendum, le Royaume-Uni apparaît en position de force pour exiger des améliorations réelles.

La mise en œuvre de cette promesse de campagne du Premier ministre Cameron rejoint en tout point mes convictions pour l’organisation d’un référendum similaire en France.

Très loin des caricatures de l’UMPS et de certains médias, qui rejettent cette proposition par dogmatisme européiste et par mépris du peuple, le Royaume-Uni donne l’exemple et fait preuve d’une remarquable sérénité dans la préparation de ce référendum historique.

Je demande instamment au gouvernement Français de proposer une consultation similaire aux Français, synonyme de rétablissement de la Démocratie, suivant le calendrier défini par nos voisins d’outre-Manche. L’heure est venue de demander à tous les peuples européens si " oui " ou " non " ils désirent souverainement disposer d’eux-mêmes et de leur avenir.
Les premiers commentaires à ce sujet du ministre Fabius sont navrants et témoignent d’un véritable refus de la démocratie au nom de l’Union Européenne.

Si le gouvernement se refuse à consulter les Français par référendum, alors nous le peuple ferons en sorte que cette question soit au cœur de la prochaine campagne présidentielle ...

Le mal du siecle à l'origine des maux de nos democraties en péril ...

Déja en 1914/1918 puis en 1939/1945 on connaissait
le mal qui rongeait nos démocraties, nos institutions, nos valeurs humaines et sociales ...
 
 

 
 
 
 
Mu sans doute par une curiosité malsaine j'ai regardé sur France 2 le programme de la collection "Secrets d'histoire", qui était consacré à Louis XVI, "l'inconnu de Versailles". Et je dois bien avouer que je suis resté stupéfait d'assister à une évocation aussi fausse que partiale des grands moments de la Révolution française.

En opposition avec le portrait flatteur d'un roi simple et gentil, cultivé et bon père de famille l'émission nous a montré une populace braillarde et furieuse, ivre de sang et d'horreurs, dans des séquences rapides et mal montées, probablement empruntées au film qu'avait tourné Robert Enrico à l'occasion du Bicentenaire.

Le tout ponctué d'intervenants historiens chargés de dire des banalités afin de justifier la présence in fine de Robert Badinter (pourquoi a-t-il accepté de participer à cette entreprise de démolition de la Révolution ?) qui, piègé par sa réputation, n'est intervenu que pour déplorer la mise à mort du roi sous la guillotine.

Comment le service public de la télévision française peut-il cautionner, à une heure de grande écoute, la diffusion d'un pamphlet monarchiste qui s'attaque aux fondamentaux de la souveraineté du peuple et au socle politique de la République ?

Comment peut-on ainsi rayer d'un trait de plume toute l'historiographie de la Révolution, qui a fait l'objet d'analyses contradictoires, savantes et passionnées ?

Faire de la fuite à Varennes une partie de campagne de la famille royale est plutôt risible !...C'est raconter l'histoire par le petit bout de la lorgnette...

Mais comment ose-t-on prétendre sérieusement que "l'armoire de fer" des Tuileries ne recelait aucun document prouvant la haute trahison de Louis XVI ?

Tout cela est simplement odieux et montre à quel point les pouvoirs publics méprisent la population pour autoriser ainsi le mensonge historique afin que perdure la bienpensance des "honnêtes gens".

Pauvre Capet ! Salauds de sans-culottes !

NB/ 3 814 000 téléspectateurs ont regardé l'émission, soit 15,4% de l'audience nationale



Je pense qu'au rythme où vont les choses, il prétendront que le patronat dirige le pays de droit divin et rétabliront les privilèges quand le peuple aura oublié qu'ils furent abolis. J'imagine que c'est l'oeuvre de Stephane Berne ( l'histoire en berne ), le benêt obséquieux en pâmoison devant les têtes couronnées. Il me semble que cela fait un moment que Robespierre n'a plus la cote et que certains voudraient que nous nous repentions de la mort de cette pauvre Marie Antoinette. la révolution doit devenir une honte afin que plus un français ne se réclame de ces héros qui inscrivirent la liberté, l'égalité et la fraternité dans nos consciences. Fini le rêve, et courbez l'échine devant la grandeur de vos maitres pauvres sujets de la finance divine et immuable. Ne rêvez surtout plus d'égalité, cette chimère qui tue jusqu'aux enfants de Louis XVI.

C'est un certain mépris pour la roture qui s'affiche et s'étale sur les écrans, une révision de l'histoire où le tiers état sera toujours le vilain. L'insupportable révision de l'histoire !



A propos de cette < pauvre Marie-Antoinette> me revient en memoire une decouverte,dans les valises diplomatiques de je ne sais plus quel pays europeen.

Les missives oubliees de cette reine.

Des lettres de la main de cette pauvre Marie-Antoinette,adressees a tous les rois europeens,leur demandant d'intervenir avec les armees respectives de chaque pays,afin d'en finir avec la populace revolutionnaire.

A chacun,pour participation a cette guerre contre la France,elle depecait une partie de la France,en donnant des petits bouts de territoires ,des bouts du nord pour la Prusse,etc.

De plus elle reclamait aux differentes royautes des executions de nos sans culottes,en grand nombre.

C'etait de la haine a l'etat pur.

Ce qui avait fait dire a un historien ayant lu ces courriers,heureusement que jamais elles ne sont tombees dans les mains des revolutionnaires.

Par contre je m'interroge sur le fait que cette decouverte n'ait pas fait grand bruit,etonnant.



Pourtant, cette Révolution de 1789, n'est-elle pas le triomphe de la bourgeoisie, s'aidant du peuple, pour s'accaparer les privilèges de la noblesse et du clergé ? il importe donc de rejouer aujourd’hui cette révolution pour mettre un terme à cette mascarade grotesque entretenu par de sournois et cyniques conspirateurs que sont les quelques privilégiés rassemblés en coorporation (la francmaçonnerie, le mal du siecle !) …