Encore faut-il que la presse reste un organe d'information et pas un relai de propagande des intérêts des uns ou des autres. La presse française ne fait pas exception à l'état du pays, elle est toute aussi atteinte dans ses fondements pour s'être convertie au lobbyisme qui est LA plaie de notre époque.
Depuis 2005 et le référendum sur la constitution européenne, le divorce entre une bonne partie de l'opinion et elle est avéré. Pourtant il existe bien des interprétations des évènements du monde mais une seule est représentée majoritairement comme aux plus beaux temps de la Pravda sous Brejnev pour masquer et disqualifier une critique pourtant ô combien nécessaire. Les juges de la pensée unique, inquisiteurs moraux tel des Jean Michel Apathie, Patrick Cohen, Pujadas et les autres dont les seuls sourires narquois suffisent à mépriser toute divergence avec leurs évidentes absolues pseudo vérités.
Quand l'information devient la fabrique du consentement, on peut aussi se demander qui éteint la presse.
La presse, devenue relai de propagande atteinte dans ses fondements pour s'être convertie au lobbyisme qui est LA plaie de notre époque.
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