Dominique Strauss Kahn , le pouvoir et le sexe !
Quel rapport le sexe entretient-il avec le pouvoir ?
Un lien très fort lié à ce que l’on peut appeler une appétence phallique. Certaines personnalités ont un désir de pouvoir qui affecte très directement leur sexualité, ce sont des personnalités phalliques. Ce type de personnalité existe avec des inhibitions sexuelles comme avec une forte sexualité. Elle est due selon Freud à une fixation au stade phallique.
Que se passe-t-il au stade phallique ?
C’est la découverte chez l’enfant de la présence ou de l’absence du pénis. L’enfant, outre le plaisir d’uriner, ressent un plaisir narcissique. Il est fier de son sexe, il met de l’urine où il veut, il est très satisfait du pouvoir que cela lui confère. Un adulte qui veut être le plus grand, le plus brillant, qui veut absolument détenir du pouvoir a sans doute fait une fixation sur ce stade. Le petit garçon qui vient de découvrir son pénis a peur de perdre cet objet de plaisir qui, en plus, le valorise par rapport aux autres.
Comment cela se traduit-il au fil des ans ?On peut voir qu’il y a eu fixation au stade phallique à l’adolescence. Le jeune a un besoin exacerbé d’indépendance, de liberté, une volonté de se débrouiller seul, d’être admiré, de prendre du pouvoir, de gagner de l’argent… Pour l’anecdote, ce genre de personnalité se remarque sur le plan graphologique par de grandes hampes et ambages. À l’âge adulte, cela va se traduire par une quête de pouvoir, la réalisation de projets personnels ambitieux, et d’aventures sexuelles.
Un lien très fort lié à ce que l’on peut appeler une appétence phallique. Certaines personnalités ont un désir de pouvoir qui affecte très directement leur sexualité, ce sont des personnalités phalliques. Ce type de personnalité existe avec des inhibitions sexuelles comme avec une forte sexualité. Elle est due selon Freud à une fixation au stade phallique.
Que se passe-t-il au stade phallique ?
C’est la découverte chez l’enfant de la présence ou de l’absence du pénis. L’enfant, outre le plaisir d’uriner, ressent un plaisir narcissique. Il est fier de son sexe, il met de l’urine où il veut, il est très satisfait du pouvoir que cela lui confère. Un adulte qui veut être le plus grand, le plus brillant, qui veut absolument détenir du pouvoir a sans doute fait une fixation sur ce stade. Le petit garçon qui vient de découvrir son pénis a peur de perdre cet objet de plaisir qui, en plus, le valorise par rapport aux autres.
Comment cela se traduit-il au fil des ans ?On peut voir qu’il y a eu fixation au stade phallique à l’adolescence. Le jeune a un besoin exacerbé d’indépendance, de liberté, une volonté de se débrouiller seul, d’être admiré, de prendre du pouvoir, de gagner de l’argent… Pour l’anecdote, ce genre de personnalité se remarque sur le plan graphologique par de grandes hampes et ambages. À l’âge adulte, cela va se traduire par une quête de pouvoir, la réalisation de projets personnels ambitieux, et d’aventures sexuelles.
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