PSA Peugeot Citroën , entreprise du CAC40 qui se gave …
Et … PSA Peugeot Citroën va supprimer des milliers d'emplois en Europe …
Et l’annonce ouvertement sans complexe ni état d’âme …
PSA Peugeot Citroën a annoncé mercredi en comité de groupe européen la suppression de 800 postes d'intérimaires en France d'ici fin 2011 dans le cadre d'une série de mesures sur l'emploi en Europe afin d'économiser 800 millions d'euros en 2012, a annoncé à l'AFP une source syndicale. (c) Afp
Le constructeur automobile PSA Peugeot Citroën, mis en difficulté sur le marché européen, va supprimer plusieurs milliers de postes en Europe, au moment même où il annonce de nouveaux investissements au Brésil.
Au total, ce sont près de 6.800 postes de travail (salariés plus sous-traitants) qui pourraient être supprimés.
Le groupe a annoncé lors d'un comité de groupe européen exceptionnel la suppression de 800 postes d'intérimaires en France d'ici fin 2011, selon une source syndicale. A cela s'ajoutent 1.000 postes en production en 2012 en Europe sous la forme de plans de départs volontaires, 2.500 postes dans les activités hors production (commerce, marketing, informatique, recherche et développement etc) et 2.500 supplémentaires, toujours hors production mais qui dépendent de prestataires externes.
PSA emploie en tout environ 167.000 salariés sur le continent, dont 100.000 en France.
Le groupe réfléchit également à une restructuration de son activité scooters, qui compte deux usines en France et une en Chine.
Ces pertes d'emplois annoncées sont la conséquence d'un plan d'économie supplémentaire de 800 millions d'euros pour le groupe en 2012, dont 400 sur les frais fixes.
L'annonce a été qualifiée de "douche froide" par le syndicat CFTC, tandis que la CGT parle d'"une véritable saignée contre l'emploi".
Le président du directoire de PSA, Philippe Varin, devait s'entretenir à la mi-journée avec le ministre français de l'Industrie Eric Besson, bien que l'Etat français ne soit pas actionnaire du groupe.
PSA veut réaliser de nouvelles réductions de coûts pour faire face à la dégradation de la situation sur le marché européen, où il réalise environ 60% de ses ventes.
Il souffre de la guerre des prix à laquelle se livrent les constructeurs en France et de l'effondrement des marchés italien et espagnol. A cela est venu s'ajouter en septembre des difficultés d'approvisionnement en vis par son fournisseur Agrati, qui lui ont coûté 45.000 véhicules.
Des usines ont déjà été mises au chômage partiel et les contrats de 300 intérimaires à Aulnay (Seine-Saint-Denis) ne seront pas renouvelés.
Tout ceci a pesé sur le chiffre d'affaires de sa branche automobile au troisième trimestre, qui a reculé de 1,6% à 9,3 milliards d'euros au troisième trimestre.
Le premier constructeur automobile français et deuxième européen a revu en baisse dans la foulée ses prévisions annuelles. Il table à présent sur un résultat opérationnel courant pour sa branche automobile "proche de l'équilibre, alors qu'avant nous l'estimions nettement positif", a annoncé son directeur financier Frédéric Saint-Geours.
M. Varin avait donné le ton dès septembre en annonçant qu'avec la tourmente sur les marchés financiers et la crise dans la zone euro, il faudrait se préparer à des temps plus difficiles. Et des inquiétudes pèsent depuis plusieurs mois sur les sites d'Aulnay, de Sevelnord (Nord) et de Madrid après la révélation d'une note de travail interne remettant en cause leur avenir, document déclaré caduque par la direction. Cette annonce avait provoqué un tollé en France.
Ceci n'empêche pas M. Varin de répéter régulièrement que PSA a un problème de compétitivité sur le segment B, c'est-à-dire les Peugeot 207 ou les Citroën C3, cette dernière étant fabriquée à Aulnay jusqu'en 2014, ainsi que sur le site de Poissy.
Dans le même temps, PSA continue en revanche à se renforcer hors d'Europe, où il compte réaliser la moitié de ses ventes en 2015. Il a annoncé mercredi de nouveaux investissements pour doubler sa capacité de production au Brésil.
Réaction du peuple et de certains clients :
La qualité se paie...
Les allemands le démontrent en vendant de la qualité chère et cela marche. D'ailleurs on est scotché de voir autant de BMW et Mercedès circulant en France.
Alors je dis que si nos industriels veulent continuer sur cette lancée et aller fabriquer leurs voitures dans les pays pauvres, donc avec un sérieux doute sur la qualité, alors ils sont responsables tout comme leurs actionnaires de l'état de notre économie et de notre marché du travail.
Je roule en Citroën, et bien ce sera ma dernière.
Alors je dis que si nos industriels veulent continuer sur cette lancée et aller fabriquer leurs voitures dans les pays pauvres, donc avec un sérieux doute sur la qualité, alors ils sont responsables tout comme leurs actionnaires de l'état de notre économie et de notre marché du travail.
Je roule en Citroën, et bien ce sera ma dernière.
De Choupette30 - Le 26/10/2011 à 17h42
Une bande d'escrocs..!
Après que l'état Français les ai aidé,ils licencient à tour de bras...!
MERCI...!!.Ils font vraiement ce qu'ils veulent...!
Si Mr Sarkosy avait de la dignité,il empêcherait de tels agissements.
Ils ont pris le fric,partagé les bénéfices et maintenant ils se débarrasse du personnel ..
Le mot:PATRON VOYOU...!
Si Mr Sarkosy avait de la dignité,il empêcherait de tels agissements.
Ils ont pris le fric,partagé les bénéfices et maintenant ils se débarrasse du personnel ..
Le mot:PATRON VOYOU...!
De jmi82 - Le 26/10/2011 à 17h38
Boycottons cette entreprise du CAC40 qui n'a aucune morale ni sentiment pour les familles qu'ils jettent à la rue pour rien que du profit , plus de profit !
Arrettons d'acheter à ces entreprises du CAC40 inhumaines et destructrices des valeurs sociales et morales !



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