A propos des insoumis aux USA ,
car vous remarquerez que les médias en France n'en parlent pas !
Est-ce que notre cher Président Sarkosy a peur que cela nous donne des idées ?
États-Unis : les mobilisations contre le monde de la finance touchent plus de 800 villes, un chef républicain les traitent de « voyous »
États-Unis : expansion des manifestations populaires, 847 villes touchées
Les protestations populaires, aux Etats-Unis, partis initialement de « Wall Street » à New York, ont gagné, déjà, 847 villes de ce pays. Selon le rapport de samedi de Press TV, citant le rapport de vendredi du site «Occupons ensemble», 847 villes américaines sont le théâtre de rassemblements en soutien au mouvement de « Wall Street », qui se poursuit depuis 4 semaines à New York. Les manifestants protestent contre la corruption, le chômage, la pauvreté et l’injustice sociale aux Etats-Unis. Ils considèrent les activités de « Wall Street » et l’influence des grandes entreprises économiques sur les politiques de la Maison Blanche comme étant à l’origine de l’expansion de la crise économique aux Etats-Unis. Alors que le taux de chômage élevé et le déficit budgétaire américains pèsent de tout leur poids sur le dos du peuple, les relations entre les compagnies privées et les législateurs américains ont provoqué la colère des Américains.
Les «anti-Wall Street» qualifiés de «voyous» par un chef républicain américain
Un haut responsable du parti républicain américain a estimé vendredi que les manifestants anti-Wall Street étaient des «voyous», alors que le mouvement prend de l’ampleur à travers les États-Unis.
«Je suis de plus en plus inquiet du nombre croissant de voyous qui occupent Wall Street et les autres villes à travers le pays», a estimé le numéro deux républicain de la Chambre des représentants Eric Cantor.
«Que vous le croyiez ou non, certaines personnes dans cette ville s’appliquent à monter les Américains les uns contre les autres», a-t-il affirmé lors d’une rencontre à Washington avec des chrétiens évangéliques.
Ces manifestations qui ont commencé mi-septembre dans le quartier de Wall Street à New York, pour dénoncer le monde de la finance, «révèlent un mécontentement plus vaste quant au fonctionnement du système financier», a estimé pour sa part Barack Obama.
«Nous avons traversé la crise financière la plus grave depuis la Grande dépression (des années 1930), avec d’énormes dégâts collatéraux dans tout le pays, dans l’économie réelle, et on voit pourtant toujours certains irresponsables combattre les efforts engagés pour mettre fin aux abus qui nous ont amené là», avait dénoncé M. Obama lors d’une conférence de presse jeudi à la Maison-Blanche.
La contestation s’est étendue depuis plusieurs jours à d’autres grandes villes américaines, dont la capitale Washington.
Commentaire :
On commence doucement avec des termes comme « voyous », « irresponsables » et ensuite on ira vers des termes plus engagés comme « casseurs », « délinquants », « fauteurs de trouble » et la suite logique « criminels » et enfin « terroristes ». Ça se voit d’ici. Sinon, à quoi serviraient les camps de la FEMA?
Indignés « Unis pour un changement mondial » : un Nouvel Ordre Mondial ce sera, dit Mikhaïl Gorbachev
Indignés « Unis pour un changement mondial »
Plus de neuf cents villes dans quatre-vingt-deux pays ont connu des manifestations
et des rassemblements contre la précarité et le pouvoir de la finance.
Des milliers d’Indignés se sont mobilisés samedi à travers le monde contre la précarité et le pouvoir de la finance. Avec un mot d’ordre clair : « Unis pour un changement mondial ». Enclenché en Espagne le 15 mai, le mouvement fait tache d’huile semant, selon ses initiateurs, les graines d’une « révolution démocratique », qui doit mettre fin à une situation intolérable. Selon le réseau 15october.net, qui recense les appels à manifester, des rassemblements étaient prévus dans 951 villes à travers 82 pays. Ils ont été plus ou moins forts.
En France, ceux qui se surnomment « les 99 % » et ne tolèrent plus la « cupidité » des 1 % les plus favorisés, se sont fait entendre à Paris, où ils étaient plus d’un millier devant l’Hôtel de Ville, et dans une trentaine de villes de province. La mobilisation a été plus significative au Portugal, où environ 40 000 personnes ont défilé – une moitié à Lisbonne, l’autre à Porto –, deux jours après l’annonce par le gouvernement de nouvelles mesures d’austérité. Dans la capitale, le cortège a encerclé le palais Sao Bento, qui abrite l’Assemblée nationale, aux cris de : « Cette dette n’est pas la nôtre » ou « FMI, dehors ». Le mécontentement s’est exprimé aussi en Italie en proie à un chômage élevé, à la paralysie politique et à un plan d’austérité de 60 milliards d’euros qui a entraîné une hausse des impôts et du coût des soins médicaux. Rome a vu défiler plusieurs dizaines de milliers de manifestants. À Bruxelles, 7 000 Indignés se sont rassemblées avec pour slogan sur les banderoles : « Peuples, soulevez-vous ». Devant la Bourse, les manifestants se sont livré à des jets de chaussures en règle. Sur la place Syntagma, à Athènes, point central des manifestations qui se succèdent depuis des mois contre la cure d’austérité sans précédent que connaît la Grèce, 4 000 Indignés s’étaient de nouveau donné rendez-vous. En Allemagne, les défilés ont rassemblé des milliers de contestataires à Berlin, Hambourg, Leipzig, et devant le siège de la Banque centrale européenne, à Francfort. Des manifestants se sont également groupés sur Paradeplatz, la grande place de Zurich, capitale financière de la Suisse. À Londres, quelque 2 000 personnes se sont réunies devant la cathédrale Saint-Paul, dans la City.
En Australie, en Nouvelle-Zélande et dans quelques régions d’Asie, des défilés ont marqué cette journée de colère. À Sydney, ils étaient quelque 2 000 manifestants, représentants de la communauté aborigène, syndicalistes et militants communistes, à défiler.
On comptait aussi des manifestations à Tokyo, Manille, Taipei ou Hongkong.
Mikhaïl Gorbachev dit qu’Occupy Wall Street signale l’émergeance d’un Nouvel Ordre Mondial
Alors que le mouvement Occupy Wall Street continue, certains visages peu probables soutiennent le mouvement et quelques scénarios improbables sont présentés comme des « solutions ». Alors que la plupart des revendicateurs appellent au retour des racines de la démocratie et de stopper la règle illégale des banques internationales, vous avez des figures qui travaillent pour l’exact opposé – un gros gouvernement socialiste bien gras – soutiennent le mouvement. George Soros et Mikhaïl Gorbachev, deux des plus virulents mondialistes de l’élite, ont en effet travaillé pendant des années pour un Nouvel Ordre Mondial et tout ce qu’il implique.
Est-ce qu’OWS piège les gens dans la dialectique Hégélienne, où soutenir les revendicateurs devient soutenir un Nouvel Ordre Mondial?
Voila ce que Gorbachev a dit le 20 Octobre à l’Université Lafayette :
« Nous récoltons les conséquences d’une stratégie qui n’est pas propice à la coopération et au partenariat, à la vie dans une nouvelle situation mondiale. Le monde a besoin d’objectifs qui rassemblent les gens. Certaines personnes aux Etats-Unis ont poussé l’idée de créer un empire mondial américain, et ce fut une erreur dès le début. D’autres personnes en Amérique réfléchissent à l’avenir de leur pays. Les grandes banques, les grandes sociétés, paient encore les mêmes gros bonus pour leurs patrons. Y a-t-il déjà eu une crise pour eux? … Je crois que l’Amérique a besoin de sa propre perestroïka. La situation entière mondiale ne se développe pas correctement. Nous avons vu la détérioration là où il y aurait dû avoir un mouvement positif. »
Encore Mikhaïl Gorbatchev :
« Mon ami le regretté Pape Jean-Paul II l’a dit le mieux. Il a dit, « Nous avons besoin d’un nouvel ordre mondial, un qui est plus stable, plus humain, et plus juste. »D’autres, comme moi-même ont parlé d’un nouvel ordre mondial, mais nous sommes toujours confrontés au problème de la construction d’un tel ordre mondial … les problèmes de l’environnement, de l’arriération et la pauvreté, les pénuries alimentaires … tout cela parce que nous n’avons pas un système de gouvernance mondiale. Nous ne pouvons pas laisser les choses comme elles étaient avant, quand nous voyons que ces manifestations se déplacent même à de nouveaux pays, que presque tous les pays observent maintenant ces protestations, que les gens veulent du changement. Comme nous sommes face à ces défis, ces problèmes soulevés par ces mouvements de protestation, nous allons progressivement trouver notre chemin vers un nouvel ordre mondial. »
Les manifestations du jour : Occupons Wall Street prend de l’ampleur
Mobilisation record à New York contre le monde de la finance :
Des milliers de personnes manifestent près de Wall Street, le 5 octobre 2011.
Le mouvement « Occupons Wall Street » prend de l’ampleur. Des milliers de manifestants ont défilé mercredi après-midi dans le quartier financier de New York pour réclamer une meilleure justice économique. Ils étaient environ 5000, selon des sources policières, et jusqu’à 12 000, selon des organisations syndicales. Un nombre record.
« Nous sommes les indignés de New York, les indignés de l’Amérique, les indignés du monde », a dit Hector Figueroa, du Syndicat des employés des services, en référence aux contestations en Espagne.
« Occupons Wall Street » se réclame du printemps arabe et certains militants se disaient solidaires mercredi de la Grèce. Mais les manifestants parlaient davantage du chômage aux États-Unis, des saisies immobilières « inhumaines » et de leurs difficultés à « finir le mois ». « Mettez fin aux guerres, taxez les riches », scandaient notamment les protestataires.
19 jours dans la rue
Quelques centaines de manifestants campent symboliquement depuis près de trois semaines dans le parc Zoccotti, qu’ils surnomment la « place de la liberté », à deux pas de la Bourse de New York.
Jusqu’à présent, les rassemblements n’avaient pas attiré plus de 2500 personnes. Mais l’arrestation samedi de plus de 700 manifestants , après qu’ils eurent bloqué le pont de Brooklyn, a contribué à étendre le mouvement.
Depuis, « Occupons Wall Street » a commencé à faire des émules, notamment à Boston, à Chicago et à Washington.
Le mouvement, qui s’appuie sur les réseaux sociaux pour diffuser son message, se présente comme « un mouvement de résistance sans leader » et non violent. « Nous sommes les 99 % qui ne toléreront pas plus longtemps la cupidité et la corruption du 1 % [restant] », précise-t-il sur son site web.
Soutien d’élus démocrates
Les manifestants ont également reçu l’appui d’élus démocrates. Mercredi, le président du groupe démocrate à la Chambre des représentants, John Larson, a « salué » ces manifestants qui « se battent pour donner une voix aux Américains qui luttent chaque jour ». La représentante démocrate de New York, Louise Slaughter, s’est pour sa part dite fière de les voir se dresser « contre la cupidité des corporations ».
Mardi, le président de la banque centrale américaine (Fed), Ben Bernanke, et le secrétaire au Trésor des États-Unis, Timothy Geithner, disaient comprendre les frustrations des manifestants devant un secteur financier qui se comporte avec une certaine insouciance, malgré la crise financière dont il a été responsable.
« Jusqu’à un certain point, je ne peux pas leur reprocher quoi que ce soit. Il est certain qu’avec un chômage de 9 % et une croissance économique très faible, la situation n’est pas très bonne. C’est contre cela qu’ils protestent », a dit M. Bernanke.
Occupons Wall Street : 700 militants arrêtés à New York
La manifestation avait débuté dans l'après-midi à Liberty Plaza, dans le quartier de la finance, où campent depuis deux semaines des militants du mouvement «Occupons Wall Street».
La plupart des 700 personnes arrêtées samedi à New York pour avoir bloqué la circulation sur le pont de Brooklyn au cours d’une manifestation contre les effets de la crise économique, ont été libérées dimanche alors que le mouvement «anti-Wall Street» prenait de l’ampleur.
S’inspirant à la fois des «indignés» espagnols et des révoltes du «printemps arabe», le mouvement «Occupons Wall Street» a été lancé le 17 septembre. Depuis, plusieurs centaines de personnes se rassemblent chaque jour devant la Bourse de New York, à l’extrême sud de Manhattan. Dimanche, près de 800 personnes se sont encore réunies aux abords de Wall Street, a constaté un journaliste de l’AFP.
«Notre nation, notre espèce et notre monde sont en crise. Les États-Unis ont un rôle important à jouer pour trouver une solution, mais nous ne pouvons plus nous permettre de laisser la cupidité du capitalisme et des politiques corrompus définir la politique de notre pays», dit le manifeste du mouvement.
Samedi, la mobilisation a pris un nouveau tour. Plus de 700 personnes qui ont bloqué la circulation sur le pont de Brooklyn ont été interpellées, selon la police de New York, provoquant un fort soutien sur internet et une publicité sans précédent pour le mouvement.
Seule «une minorité» de ces manifestants se trouvait encore derrière les barreaux dimanche, a indiqué à l’AFP un porte-parole de la police de New York. La plupart ont été libérés après avoir fait l’objet de citations à comparaître pour trouble à l’ordre public, selon la même source.
«Beaucoup de manifestants sont de retour. C’est un groupe qui ne va pas se dissoudre», assure Robert Cammisos à 300 mètres de la Bourse de New York. «Arrêtez l’un d’entre nous et vous en verrez deux autres arriver. Nous sommes une légion», a-t-il affirmé à l’AFP dimanche.
La veille, la manifestation avait débuté dans l’après-midi dans le quartier de la finance, où campent depuis deux semaines les militants. Des centaines de personnes s’étaient ensuite dirigées vers le pont de Brooklyn, selon la police qui a précisé que la majorité des manifestants étaient restés sur le trottoir, sans incident.
Des manifestants arboraient des pancartes écrites à la main incitant à «en finir avec la Fed», la Réserve fédérale, ou s’en prenant à Goldman Sachs, grande banque d’investissement new-yorkaise mise en cause pour son rôle dans la crise économique générale en 2008.
Des pancartes reprenaient aussi ce qui est devenu le slogan du mouvement: «Nous sommes les 99%».
«Nous sommes de toutes les races, tous les sexes, toutes les croyances. Nous sommes la majorité. Nous sommes les 99%. Et nous ne voulons plus être silencieux», expliquent les militants sur leur site web.
Plusieurs assemblées générales doivent se tenir dimanche et un appel à manifester a été lancé pour mercredi, indique le site internet du mouvement, occupywallst.org
«Il fait beau sur occupywallstreet. Nous sommes forts», proclamait dimanche un des comptes Twitter du mouvement (@occupywallstNYC) au lendemain de la vague d’arrestations très suivie sur les réseaux sociaux.
«J’espère qu’on va maintenir la pression», souhaite Zephyr Teachout, une professeure de droit de 39 ans. «C’est un mouvement libre, les gens sentent qu’ils peuvent participer comme ils l’entendent», explique-t-elle tout en reconnaissant qu’il est «peu probable» que le mouvement obtienne les changements qu’il réclame dans le système financier. Mais «ça vaut le coup d’essayer», juge-t-elle.
États-Unis : des gaz lacrymogènes contre les manifestants et 85 arrestations
À Oakland, la police a interpellé 85 personnes après une opération visant à disperser les manifestants d’un endroit.
La police a fait usage de gaz lacrymogènes et de grenades assourdissantes, mardi 25 octobre, pour disperser des militants anti-Wall Street à Oakland (Californie, Etats-Unis), près de San Francisco.
En début de soirée, la police avait interpellé 85 personnes, alors qu’elle tentait de dégager une place occupée par les manifestants. Selon la chaîne de télévision CBS, les forces de l’ordre avaient alors déjà eu recours aux gaz lacrymogènes lors de cette opération. Un peu plus tard, la police anti-émeutes est intervenue pour évacuer les derniers manifestants.
Au moins l’un des manifestants est tombé à terre, a saigné de la tête et perdu conscience. Il a ensuite été évacué par d’autres manifestants. Les protestataires, qui se sont ensuite regroupés, ont commencé à jeter des oeufs en direction de la police, qui a répondu en tirant des balles de peinture.
Des militants d’ « Occupons Wall Street sont installés depuis le 17 septembre dans le quartier financier de Wall Street à New York pour dénoncer les excès du monde de la finance et les inégalités croissantes. D’autres manifestants ont fait de même dans le pays, notamment à Chicago.
Attention Monsieur Le President Obama ,
ne soyez pas trop tenté de faire appel à la force
pour taire ces "cris du coeur du peuple" !
Car vous pourriez bien à votre tour de connaitre un Sunday Bloody Sunday
car à 20 ans on n'a rien à perdre ,
bien au contraire on a que le monde à prendre !
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