Le soutien chinois à l'Europe est sans contrepartie, dit le ministre français Guaino .
Ma réponse : Pardonnez-moi ma vulguarité pour une fois – « Quand est-ce que les gouvernements arreteront de nous prendre pour des abrutis et des vaches à lait ! » :
Le possible soutien de la Chine au Fonds européen de stabilité financière (FESF), auquel un accord sur la crise de l'euro entre pays européens ouvre la porte, n'aura aucune contrepartie, a assuré lundi le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henry Guaino .
Dans le cadre de l'accord trouvé jeudi par les dirigeants européens, de grands pays émergents comme la Chine pourraient participer à la création d'un "véhicule spécial" au sein du FESF, contribuant à démultiplier la capacité de ce dernier au-delà de 1.000 milliards d'euros.
Nicolas Sarkozy a déclaré que Pékin avait "un rôle majeur à jouer" dans la résolution de la crise, ce qui a donné lieu à de vives réactions, l'opposition de gauche en France parlant d'aveu de faiblesse et qualifiant de "choquant" cet appel à une dictature communiste.
Interrogé sur Europe 1, Henri Guaino a estimé qu'il fallait au contraire voir cette ouverture comme positive et assuré qu'il n'y aurait pas de contrepartie.
"C'est plutôt un bon signe, c'est le signe que tout le monde se sent vraiment concerné et que tout le monde veut éviter une catastrophe planétaire (...) Je ne comprends pas les critiques qu'on entend partout, c'est absurde", a-t-il déclaré.
"Il est hors de question de négocier des contreparties. Si la Chine vient, c'est pour faire un placement dans un fonds qui va jouer un rôle important dans la stabilité mondiale", a-t-il ajouté.
A ses yeux, l'arrivée des Chinois dans le FESF reste encore à négocier et on ignore encore si une éventuelle entrée au FESF s'effectuerait directement ou en passant par le Fonds monétaire international.
Dans le cadre de l'accord trouvé jeudi par les dirigeants européens, de grands pays émergents comme la Chine pourraient participer à la création d'un "véhicule spécial" au sein du FESF, contribuant à démultiplier la capacité de ce dernier au-delà de 1.000 milliards d'euros.
Nicolas Sarkozy a déclaré que Pékin avait "un rôle majeur à jouer" dans la résolution de la crise, ce qui a donné lieu à de vives réactions, l'opposition de gauche en France parlant d'aveu de faiblesse et qualifiant de "choquant" cet appel à une dictature communiste.
Interrogé sur Europe 1, Henri Guaino a estimé qu'il fallait au contraire voir cette ouverture comme positive et assuré qu'il n'y aurait pas de contrepartie.
"C'est plutôt un bon signe, c'est le signe que tout le monde se sent vraiment concerné et que tout le monde veut éviter une catastrophe planétaire (...) Je ne comprends pas les critiques qu'on entend partout, c'est absurde", a-t-il déclaré.
"Il est hors de question de négocier des contreparties. Si la Chine vient, c'est pour faire un placement dans un fonds qui va jouer un rôle important dans la stabilité mondiale", a-t-il ajouté.
A ses yeux, l'arrivée des Chinois dans le FESF reste encore à négocier et on ignore encore si une éventuelle entrée au FESF s'effectuerait directement ou en passant par le Fonds monétaire international.
Je répete :
Ma réponse : Pardonnez-moi ma vulguarité pour une fois – « Quand est-ce que les gouvernements arreteront de nous prendre pour des « abrutis » et des « vaches à lait » ! » :
A qui veut-t-on faire croire que , un individu ou un pays prête de l’argent sans contrepartie !
A moins de nous prendre pour des « cons » …
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire