La Sublime Hypothese :
Ce qui est le plus universel s'impose toujours à ce qui l'est moins !
Imaginons que les principes qui donnent à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789, son statut d’inviolabilité grâce aux caractéristiques que lui confèrent les adjectifs de : Naturel, Inaliénable, Sacré et Imprescriptible, soient enfin reconnus, respectés et strictement appliqués...
L’ensemble des Droits contenus dans cette Déclaration deviendrait donc incontournables aux corps et aux individus qui exerceraient une autorité quelle qu’elle soit. Autorité qui ne pourrait être que l’émanation émanant expressément de la Nation, comme le stipule l’Article 3, de cette Déclaration :
Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Une autorité qui tenterait de s’imposer sans avoir la légitimité de l’imprimatur de la souveraineté nationale, ne serait qu’imposture et usurpation . N'est-ce pas Mr Sarkosy ? imposteur et bandit .
Il découle tout naturellement de l’application de ce principe qu’une loi pour être conforme à la Constitution qui se réclame officiellement de cette Déclaration, doit tenir sa légitimité de cette autorité souveraine expressément manifestée, et ici chaque mot prend un sens précis et rigoureux. Une loi venant d’un individu ou d’un groupe d’individus n’ayant pas expressément reçu de la souveraineté nationale l’autorité pour la faire, ne serait qu’une loi scélérate sans aucune légitimité juridique.
De ce qui précède nous pouvons très naturellement déduire, que l’inviolabilité de la DDHC de 1789, ne permet pas à des lois extérieures à la souveraineté nationale d’avoir cours légal au sein de la Nation.
Considérant, comme le reconnaissent l’ensemble des responsables politiques d’aujourd’hui, que près de 75% des lois et règlements qui voient actuellement le jour, proviennent de l’Europe, corps qui n’a absolument pas reçu expressément autorité pour exercer en lieu et place des représentants ayant eux délégation de pouvoir de la souveraineté nationale, c’est lois ne sont donc pas conforme au pacte républicain et constitutionnel dont la clé de voute est la DDHC de 1789.
Si aucune loi sur le territoire national ne peut se permettre de porter atteinte à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, comme lui confèrent ses caractéristiques de : Naturelle, Sacrée, Inaliénable et Imprescriptible, alors aucune loi d’origine européenne ne peut s’appliquer sur le territoire national si elle viole l’inaliénabilité et l’imprescriptibilité de cette Déclaration.
Ici, nous entrons dans une dimension sublime qui a échappée et qui échappe complètement à la conscience dévoyée et corrompue de nos dirigeants : celle qui veut que l’inviolabilité de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, condamne l’Europe à concevoir des lois qui soient compatibles avec cette Déclaration inaliénable par aucun corps ni aucun individu, puisque même la souveraineté nationale ne pourrait en disposer autrement.
Du microcosme au Macrocosme.
Les lois européennes qui sont entérinées par une représentation nationale, comme une obligation qui s’imposerait, y compris au détriment de l’inviolabilité de la DDHC de 1789, n’est qu’une imposture découlant et de l’ignorance, et de l’irresponsabilité de ces représentants nationaux manifestant ainsi leur terrible incompétence. Ces représentants n’exercent plus une autorité qui émane expressément de la souveraineté nationale, mais d’une souveraineté étrangère à la Nation et en contradiction avec ses principes.
Pour qu’une loi européenne puisse être entérinée par la représentation nationale française, elle doit donc être compatible avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789. Il découle naturellement du respect absolu de ce principe, que cette Déclaration devient ipso facto, et sans qu’il puisse en être changer une virgule, la Déclaration des Droits de l’Homme de l’Europe entière !
Nous retrouvons là, le caractère universel de cette sublime Déclaration, qui n’a aucun équivalent dans l’histoire. Ses propriétés que lui confèrent les adjectifs de : Naturel, Sacré, Inaliénable et Imprescriptible, de chacun de ces droits, font l’intemporalité et l’universalité de ses principes.
Il serait temps que nos médiocres dirigeants, qui se gargarisent de l’Europe et de ses pseudos vertus, prennent conscience de la chance qu’ils ont de disposer de la plus puissante ontologie politique civilisatrice et qu’ils ont autant le DEVOIR que la RESPONSABILITÉ de promouvoir sur le plan européen, bien avant des constitutions de pacotilles, illisibles et inapplicables, car sans aucune âme humaniste et sans vertu libératrice.
La liberté et la libération des peuples européens reposent, dans leur essence la plus sublime, sur la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.
Seule l'amplitude de cette vision de l'histoire de l'humanité fait les responsables politique clairvoyants.
L’ensemble des Droits contenus dans cette Déclaration deviendrait donc incontournables aux corps et aux individus qui exerceraient une autorité quelle qu’elle soit. Autorité qui ne pourrait être que l’émanation émanant expressément de la Nation, comme le stipule l’Article 3, de cette Déclaration :
Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Une autorité qui tenterait de s’imposer sans avoir la légitimité de l’imprimatur de la souveraineté nationale, ne serait qu’imposture et usurpation . N'est-ce pas Mr Sarkosy ? imposteur et bandit .
Il découle tout naturellement de l’application de ce principe qu’une loi pour être conforme à la Constitution qui se réclame officiellement de cette Déclaration, doit tenir sa légitimité de cette autorité souveraine expressément manifestée, et ici chaque mot prend un sens précis et rigoureux. Une loi venant d’un individu ou d’un groupe d’individus n’ayant pas expressément reçu de la souveraineté nationale l’autorité pour la faire, ne serait qu’une loi scélérate sans aucune légitimité juridique.
De ce qui précède nous pouvons très naturellement déduire, que l’inviolabilité de la DDHC de 1789, ne permet pas à des lois extérieures à la souveraineté nationale d’avoir cours légal au sein de la Nation.
Considérant, comme le reconnaissent l’ensemble des responsables politiques d’aujourd’hui, que près de 75% des lois et règlements qui voient actuellement le jour, proviennent de l’Europe, corps qui n’a absolument pas reçu expressément autorité pour exercer en lieu et place des représentants ayant eux délégation de pouvoir de la souveraineté nationale, c’est lois ne sont donc pas conforme au pacte républicain et constitutionnel dont la clé de voute est la DDHC de 1789.
Si aucune loi sur le territoire national ne peut se permettre de porter atteinte à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, comme lui confèrent ses caractéristiques de : Naturelle, Sacrée, Inaliénable et Imprescriptible, alors aucune loi d’origine européenne ne peut s’appliquer sur le territoire national si elle viole l’inaliénabilité et l’imprescriptibilité de cette Déclaration.
Ici, nous entrons dans une dimension sublime qui a échappée et qui échappe complètement à la conscience dévoyée et corrompue de nos dirigeants : celle qui veut que l’inviolabilité de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, condamne l’Europe à concevoir des lois qui soient compatibles avec cette Déclaration inaliénable par aucun corps ni aucun individu, puisque même la souveraineté nationale ne pourrait en disposer autrement.
Du microcosme au Macrocosme.
Les lois européennes qui sont entérinées par une représentation nationale, comme une obligation qui s’imposerait, y compris au détriment de l’inviolabilité de la DDHC de 1789, n’est qu’une imposture découlant et de l’ignorance, et de l’irresponsabilité de ces représentants nationaux manifestant ainsi leur terrible incompétence. Ces représentants n’exercent plus une autorité qui émane expressément de la souveraineté nationale, mais d’une souveraineté étrangère à la Nation et en contradiction avec ses principes.
Pour qu’une loi européenne puisse être entérinée par la représentation nationale française, elle doit donc être compatible avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789. Il découle naturellement du respect absolu de ce principe, que cette Déclaration devient ipso facto, et sans qu’il puisse en être changer une virgule, la Déclaration des Droits de l’Homme de l’Europe entière !
Nous retrouvons là, le caractère universel de cette sublime Déclaration, qui n’a aucun équivalent dans l’histoire. Ses propriétés que lui confèrent les adjectifs de : Naturel, Sacré, Inaliénable et Imprescriptible, de chacun de ces droits, font l’intemporalité et l’universalité de ses principes.
Il serait temps que nos médiocres dirigeants, qui se gargarisent de l’Europe et de ses pseudos vertus, prennent conscience de la chance qu’ils ont de disposer de la plus puissante ontologie politique civilisatrice et qu’ils ont autant le DEVOIR que la RESPONSABILITÉ de promouvoir sur le plan européen, bien avant des constitutions de pacotilles, illisibles et inapplicables, car sans aucune âme humaniste et sans vertu libératrice.
La liberté et la libération des peuples européens reposent, dans leur essence la plus sublime, sur la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.
Seule l'amplitude de cette vision de l'histoire de l'humanité fait les responsables politique clairvoyants.
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