L'égalité sans vertu est toujours une injustice , source de corruption et des maux de nos Démocraties !
Liberté et égalité :
Article premier - Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Le vicomte de Mirabeau rappelait : on de décrète pas le droit, on le constate et on le formule. Les hommes naissent naturellement libres, mais il convient de comprendre que cette liberté ne peut s’exercer que si des lois en définissent les champs d’application. La liberté sans règle n’est que la liberté du plus fort, et cette liberté du plus fort n’est qu’une tyrannie et un despotisme. Dans la grande tradition hermétique, un des axiomes des Tablettes de Thoth indique que : connaître les lois c’est être libre. Tous les hommes naissent et demeurent libres seulement par la Connaissance des lois qui délimitent cette liberté, et comme j’ai déjà eu l’occasion de le signaler, ce périmètre de la liberté individuelle est tracé par la Déclaration des Droits de l'Homme (DDHC) de 1789. Cette Déclaration proclame des droits naturels, inaliénables et sacrés, les lois viendront permettre l’exercice de ces droits, avec toujours la tentation d’en réduire le plus possible l’envergure, surtout lorsqu’il s’agit de la liberté. J’ai encore en mémoire une anecdote vécue dans ma vie professionnelle, d’un fonctionnaire titré de l’administration de la surveillance de la concurrence venant un jour dans mon bureau me demander, avec l’arrogance que cultivent ces zélés serviteurs d’un gouvernement corrompu, quelle loi m’autorisait à pratiquer certaines activités qui manifestement n’étaient pas faites pour lui plaire. Ce à quoi je lui ai tout aussi sèchement répondu qu’il suffisait, en vertu de la DDHC de 1789, qu’aucune loi ne m’interdise de faire ce que je faisais, pour que mon activité soit parfaitement licite sans que j’aie à justifier de la moindre loi autorisant l’exercice de cette liberté.
Il faut dire que depuis l’avènement de cette Déclaration, les agents serviles de la technostructure sont formés non pas à la respecter, mais à faire en sorte qu’elle soit inapplicable, à défaut d’être ignorée.
Là encore, je reviendrai sur l’accablante responsabilité des fonctionnaires de l’Éducation nationale, qui, en maintenant les futurs citoyens de ce pays dans l’ignorance de leurs droits naturels, inaliénables et sacrés, les privent de la possibilité de ce droit qu’est la Liberté. Les hommes naissent et demeurent libres, mais s’ils ne sont pas et ne restent pas ignorants, et ceux qui volontairement ou non les maintiennent dans l'ignorance, commettent un acte liberticide.
Je ne m’attarderai pas davantage sur la liberté, d’autres articles de cette DDHC venant compléter son contour, j’aurai donc l’occasion d’y revenir. Je soulignerai simplement que cette liberté ne veut pas dire pouvoir faire tout et n’importe quoi, sans tenir compte des nécessaires rapports que comportent cette liberté individuelle avec celle des autres membres du corps social. La liberté n’est possible pour le plus grand nombre que parce qu’il y a des règles qui en définissent les champs du possible dans un état d’évolution donné.
Il est précisé dans ce premier article que : les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit. C’est d’ailleurs en général la seule phrase que le plus grand nombre d’individus de ce pays savent et retiennent de cette admirable DDHC ; c’est dire l’état d’ignorance dans lequel ils sont, et ont été maintenus. Drôle d’idée à première vue que la cohabitation de ces deux principes fortement contradictoires que sont la liberté et l’égalité. S’il y a bien un principe qui soit contraire à la liberté, c’est bien l’égalité. La liberté est la justice, celle qui consiste notamment à pouvoir exercer les droits contenus dans cette Déclaration. Il ne peut pas y avoir de liberté sans justice, puisque, comme je viens de l’expliquer, il n’y a pas de liberté sans règles (lois), et l’application loyale de ces règles repose sur la justice qui est chargée de faire respecter ces règles, enfin lorsqu’elle remplit sa mission noblement...
L’égalité est fondamentalement injuste pour la simple et bonne raison que rien dans l’univers n’est parfaitement semblable. Les êtres humains, comme il est difficile d’en contester le principe, ne naissent pas égaux en compétences, facultés et possibilités. Cette inégalité qualitative entre les individus d’une même espèce, qui n’est pas pour l’occultiste une injustice, mais l’expression d’une Justice Divine nécessairement parfaite - ce qui serait trop long et hors sujet d’expliquer ici -, est donc la règle naturelle commune. Vouloir artificiellement appliquer le principe d’égalité à l’ensemble des membres d’une même espèce, cela n’est possible qu’en alignant les qualités communes sur le plus petit dénominateur commun, invariablement le plus médiocre, tare congénitale du communisme. Celui qui accède à la connaissance, par ses mérites, ses efforts et l’activation volontaire de ses facultés, ne peut pas être réduit à une égalité de traitement qui serait réservée à l’ignorant, le paresseux et le volontairement inculte. Ce dernier, par un jugement vicieux pourrait trouver la chose agréable, mais ce serait une profonde injustice pour le premier, et une privation de ses droits naturels et de sa liberté d’en jouir.
La nature ne pratique jamais l’égalité, puisqu'elle ne pratique jamais l'injustice. Donner la même quantité et la même qualité de nourriture à l’ensemble d’une population est une perversité imbécile. Un nourrisson n’a pas les mêmes besoins qu’un adulte dans la force de l’âge ; ni un vieillard les mêmes besoins que cet adulte. Donner la même responsabilité à l’ignorant comme celle que l’on confierait à l’érudit, l’expert ou le savant, c’est se condamner à de terribles catastrophes pour cause de manque de discernement (un vice). Je pourrais multiplier les exemples à l’infini, tant cette notion d’égalité sans distinction est contraire aux lois naturelles et à l’ordre souverain des choses. Quel que soit l’angle sous lequel on aborde l’égalité, dans son sens égalitarisme, on ne peut que constater que c’est une injustice, une imbécillité, une coquecigrue, une baliverne.
Alors se pose la question de savoir pourquoi nos brillants et inspirés parlementaires ont introduit cette chimère dans la première phrase de l’article premier de cette Déclaration?
La réponse est dans la suite même de cet article, qui vient compléter et éclairer de toute sa subtilité la lumineuse clairvoyance dont ils ont fait preuve, en plus d’une érudition et d’une inspiration mystique de très haute élévation.
Si la Justice Divine repose sur le principe que : chacun reçoit selon ses mérites, et que cette règle ne souffre d'aucunes exceptions, accorder une égalité de droit sans autre discernement serait contraire à toute idée de justice, et par voie de conséquences de liberté. Mais si l’Être Suprême, pour employer une dénomination propre à nos illustres parlementaires, est en mesure dans sa sagesse infinie, et sa Perfection absolue de dire ce qui correspond à un mérite, et que ce mérite soit supérieur ou inférieur à un ou des autres, combien cette tâche devient rapidement surhumaine et pour tout dire impossible aux êtres constamment perfectibles que nous sommes. Il était donc difficile d'établir que cette égalité reposerait sur l’appréciation de mérites, sans sombrer dans les interminables débats qu’aurait occasionnés la définition de “mérite”, et accessoirement une liste infinie constituant la hiérarchie que recouvrent les différentes manifestations de ce terme. La formulation utilisée démontre par son évidente simplicité, l'extraordinaire sophistication intellectuelle des rédacteurs de cette Déclaration :
Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
L’égalité n’est donc plus une égalité dans le sens vulgaire et réducteur comme elle est traduite par la première phrase qui resterait sans autres explications. Cette égalité devient par la précision apportée, une égalité potentielle, une égalité principe, qui ne viole en rien les lois de la nature, mais qui au contraire les constate. Si l’égalité admet les distinctions sociales, et forcément par cette expression, il est clairement admis que tous ne sont pas également admissibles à ces plus ou moins hautes distinctions sociales, c’est qu’il faut que les mérites qui justifient ces distinctions reposent sur l’utilité commune... Il y avait indiscutablement parmi ces pères illustres, de grands initiés, sinon comment expliquer cette parfaite concordance entre ce principe de distinctions sociales fondées sur l’utilité commune et celui du plus haut grade dans toutes les grandes traditions initiatiques et qui est justement celui consistant à s’élever spirituellement par le service désintéressé au profit du groupe et de la fraternité humaine...
Nous retrouvons dans l’Évangile de Thomas, découvert seulement en 1945, le loggion suivant :
6 parce que beaucoup de premiers se feront derniers,
7 et ils seront Un.
Tout comme dans le précieux Taö-To-King de Lao-Tseu, nous retrouvons cette sentence :
Le vicomte de Mirabeau rappelait : on de décrète pas le droit, on le constate et on le formule. Les hommes naissent naturellement libres, mais il convient de comprendre que cette liberté ne peut s’exercer que si des lois en définissent les champs d’application. La liberté sans règle n’est que la liberté du plus fort, et cette liberté du plus fort n’est qu’une tyrannie et un despotisme. Dans la grande tradition hermétique, un des axiomes des Tablettes de Thoth indique que : connaître les lois c’est être libre. Tous les hommes naissent et demeurent libres seulement par la Connaissance des lois qui délimitent cette liberté, et comme j’ai déjà eu l’occasion de le signaler, ce périmètre de la liberté individuelle est tracé par la Déclaration des Droits de l'Homme (DDHC) de 1789. Cette Déclaration proclame des droits naturels, inaliénables et sacrés, les lois viendront permettre l’exercice de ces droits, avec toujours la tentation d’en réduire le plus possible l’envergure, surtout lorsqu’il s’agit de la liberté. J’ai encore en mémoire une anecdote vécue dans ma vie professionnelle, d’un fonctionnaire titré de l’administration de la surveillance de la concurrence venant un jour dans mon bureau me demander, avec l’arrogance que cultivent ces zélés serviteurs d’un gouvernement corrompu, quelle loi m’autorisait à pratiquer certaines activités qui manifestement n’étaient pas faites pour lui plaire. Ce à quoi je lui ai tout aussi sèchement répondu qu’il suffisait, en vertu de la DDHC de 1789, qu’aucune loi ne m’interdise de faire ce que je faisais, pour que mon activité soit parfaitement licite sans que j’aie à justifier de la moindre loi autorisant l’exercice de cette liberté.
Il faut dire que depuis l’avènement de cette Déclaration, les agents serviles de la technostructure sont formés non pas à la respecter, mais à faire en sorte qu’elle soit inapplicable, à défaut d’être ignorée.
Là encore, je reviendrai sur l’accablante responsabilité des fonctionnaires de l’Éducation nationale, qui, en maintenant les futurs citoyens de ce pays dans l’ignorance de leurs droits naturels, inaliénables et sacrés, les privent de la possibilité de ce droit qu’est la Liberté. Les hommes naissent et demeurent libres, mais s’ils ne sont pas et ne restent pas ignorants, et ceux qui volontairement ou non les maintiennent dans l'ignorance, commettent un acte liberticide.
Je ne m’attarderai pas davantage sur la liberté, d’autres articles de cette DDHC venant compléter son contour, j’aurai donc l’occasion d’y revenir. Je soulignerai simplement que cette liberté ne veut pas dire pouvoir faire tout et n’importe quoi, sans tenir compte des nécessaires rapports que comportent cette liberté individuelle avec celle des autres membres du corps social. La liberté n’est possible pour le plus grand nombre que parce qu’il y a des règles qui en définissent les champs du possible dans un état d’évolution donné.
Il est précisé dans ce premier article que : les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit. C’est d’ailleurs en général la seule phrase que le plus grand nombre d’individus de ce pays savent et retiennent de cette admirable DDHC ; c’est dire l’état d’ignorance dans lequel ils sont, et ont été maintenus. Drôle d’idée à première vue que la cohabitation de ces deux principes fortement contradictoires que sont la liberté et l’égalité. S’il y a bien un principe qui soit contraire à la liberté, c’est bien l’égalité. La liberté est la justice, celle qui consiste notamment à pouvoir exercer les droits contenus dans cette Déclaration. Il ne peut pas y avoir de liberté sans justice, puisque, comme je viens de l’expliquer, il n’y a pas de liberté sans règles (lois), et l’application loyale de ces règles repose sur la justice qui est chargée de faire respecter ces règles, enfin lorsqu’elle remplit sa mission noblement...
L’égalité est fondamentalement injuste pour la simple et bonne raison que rien dans l’univers n’est parfaitement semblable. Les êtres humains, comme il est difficile d’en contester le principe, ne naissent pas égaux en compétences, facultés et possibilités. Cette inégalité qualitative entre les individus d’une même espèce, qui n’est pas pour l’occultiste une injustice, mais l’expression d’une Justice Divine nécessairement parfaite - ce qui serait trop long et hors sujet d’expliquer ici -, est donc la règle naturelle commune. Vouloir artificiellement appliquer le principe d’égalité à l’ensemble des membres d’une même espèce, cela n’est possible qu’en alignant les qualités communes sur le plus petit dénominateur commun, invariablement le plus médiocre, tare congénitale du communisme. Celui qui accède à la connaissance, par ses mérites, ses efforts et l’activation volontaire de ses facultés, ne peut pas être réduit à une égalité de traitement qui serait réservée à l’ignorant, le paresseux et le volontairement inculte. Ce dernier, par un jugement vicieux pourrait trouver la chose agréable, mais ce serait une profonde injustice pour le premier, et une privation de ses droits naturels et de sa liberté d’en jouir.
La nature ne pratique jamais l’égalité, puisqu'elle ne pratique jamais l'injustice. Donner la même quantité et la même qualité de nourriture à l’ensemble d’une population est une perversité imbécile. Un nourrisson n’a pas les mêmes besoins qu’un adulte dans la force de l’âge ; ni un vieillard les mêmes besoins que cet adulte. Donner la même responsabilité à l’ignorant comme celle que l’on confierait à l’érudit, l’expert ou le savant, c’est se condamner à de terribles catastrophes pour cause de manque de discernement (un vice). Je pourrais multiplier les exemples à l’infini, tant cette notion d’égalité sans distinction est contraire aux lois naturelles et à l’ordre souverain des choses. Quel que soit l’angle sous lequel on aborde l’égalité, dans son sens égalitarisme, on ne peut que constater que c’est une injustice, une imbécillité, une coquecigrue, une baliverne.
Alors se pose la question de savoir pourquoi nos brillants et inspirés parlementaires ont introduit cette chimère dans la première phrase de l’article premier de cette Déclaration?
La réponse est dans la suite même de cet article, qui vient compléter et éclairer de toute sa subtilité la lumineuse clairvoyance dont ils ont fait preuve, en plus d’une érudition et d’une inspiration mystique de très haute élévation.
Si la Justice Divine repose sur le principe que : chacun reçoit selon ses mérites, et que cette règle ne souffre d'aucunes exceptions, accorder une égalité de droit sans autre discernement serait contraire à toute idée de justice, et par voie de conséquences de liberté. Mais si l’Être Suprême, pour employer une dénomination propre à nos illustres parlementaires, est en mesure dans sa sagesse infinie, et sa Perfection absolue de dire ce qui correspond à un mérite, et que ce mérite soit supérieur ou inférieur à un ou des autres, combien cette tâche devient rapidement surhumaine et pour tout dire impossible aux êtres constamment perfectibles que nous sommes. Il était donc difficile d'établir que cette égalité reposerait sur l’appréciation de mérites, sans sombrer dans les interminables débats qu’aurait occasionnés la définition de “mérite”, et accessoirement une liste infinie constituant la hiérarchie que recouvrent les différentes manifestations de ce terme. La formulation utilisée démontre par son évidente simplicité, l'extraordinaire sophistication intellectuelle des rédacteurs de cette Déclaration :
Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
L’égalité n’est donc plus une égalité dans le sens vulgaire et réducteur comme elle est traduite par la première phrase qui resterait sans autres explications. Cette égalité devient par la précision apportée, une égalité potentielle, une égalité principe, qui ne viole en rien les lois de la nature, mais qui au contraire les constate. Si l’égalité admet les distinctions sociales, et forcément par cette expression, il est clairement admis que tous ne sont pas également admissibles à ces plus ou moins hautes distinctions sociales, c’est qu’il faut que les mérites qui justifient ces distinctions reposent sur l’utilité commune... Il y avait indiscutablement parmi ces pères illustres, de grands initiés, sinon comment expliquer cette parfaite concordance entre ce principe de distinctions sociales fondées sur l’utilité commune et celui du plus haut grade dans toutes les grandes traditions initiatiques et qui est justement celui consistant à s’élever spirituellement par le service désintéressé au profit du groupe et de la fraternité humaine...
Nous retrouvons dans l’Évangile de Thomas, découvert seulement en 1945, le loggion suivant :
6 parce que beaucoup de premiers se feront derniers,
7 et ils seront Un.
Tout comme dans le précieux Taö-To-King de Lao-Tseu, nous retrouvons cette sentence :
Ainsi, la première place revient au Sage qui a su s'effacer.
En oubliant sa personne, il s'impose au monde.
Sans désirs pour lui-même, ce qu'il entreprend est parfait.
Il s'était assis à la dernière place.
C'est pour cela qu'il se retrouve à la première.
Il convient donc bien de considérer que l’égalité dont fait état ce premier article de la DDHC de 1789, n’est pas une égalité injuste, arbitraire et régressive, mais est une égalité de traitement dans l’attribution de droits qui varient selon les mérites manifestés au service du bien commun. La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, n’instaure pas une égalité aveugle et injuste, comme le croient les ignorants et les incultes, mais une égalité juste, celle qui repose sur le niveau de compétences et de responsabilités assumées. Nous avons vu que la liberté d’un ignorant n’était qu’une étroite prison de certitudes dérisoires. L’amplitude de cette liberté ne pouvant s’élargir qu’avec une plus large amplitude donnée à un champ de connaissance. Tous les membres d’un corps social ne peuvent pas avoir les mêmes qualités, compétences et facultés qui permettent de se hisser au plus haut niveau de connaissance et de responsabilité. La liberté qui est étroitement liée à la responsabilité ne pourra donc pas être la même pour tous dans les faits, même si elle est la même pour tous en principe. Voilà ce que contient ce premier article, si méconnu dans son application pratique et son dessein. Il nous dit que tous les êtres humains ont potentiellement les mêmes facultés et possibilités, mais il y en a certains qui les utilisent beaucoup plus que d’autres, et ceux-là nécessairement conquièrent plus de liberté et de droits par le service qu’ils rendent à la communauté.
Ici notons que la responsabilité est nécessairement affaire de degré. Plus ce degré est élevé et plus la responsabilité est grande, et la plus grande de toutes les responsabilités est celle qui consiste à se sentir responsable des autres.
Rappelons que cet article ne peut être parfaitement applicable qu’à la condition que n’existe plus aucun privilège, car un privilège revient toujours à accorder des droits à ceux qui n'en ont pas les mérites, d'où l'inégalité de traitement et l'injustice qui en découlent. Ce principe de la suppression des privilèges était encore clairement affirmé dans la première Constitution de 1791 :
“L'Assemblée nationale voulant établir la Constitution française sur les principes qu'elle vient de reconnaître et de déclarer, abolit irrévocablement les institutions qui blessaient la liberté et l'égalité des droits. - Il n'y a plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinctions d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie, ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité, que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions. - Il n'y a plus ni vénalité, ni hérédité d'aucun office public. - Il n'y a plus, pour aucune partie de la Nation, ni pour aucun individu, aucun privilège, ni exception au droit commun de tous les Français. - Il n'y a plus ni jurandes, ni corporations de professions, arts et métiers. La loi ne reconnaît plus ni vœux religieux, ni aucun autre engagement qui serait contraire aux droits naturels ou à la Constitution.”
Cette réaffirmation de la suppression des privilèges sous quelque forme que ce soit, n’a pas été reprise ni réaménagée dans le préambule de la Constitution de 1958, et pour cause, le statut même des fonctionnaires (et attention je ne suis pas contre les fonctionnaires pour autant car je les défends car ils sont les boucs émissaires injustifiés de nos politiciens sans foi ni loi qui livrent les foctionnaires en pature au peuple pour se dédouaner de leurs responsabilités et de leur manque de courage - voire de leur corruption - dans la crise que nous vivons !!!) tel que nous le connaissons aujourd’hui, comme je le démontrerai de façon indiscutable, n’est que la reconstitution sous une forme moderne des privilèges, des ordres, des titres ne reposant sur aucune utilité commune, et très souvent sur aucun mérite particulier. Pour vous en donner un petit exemple : la garantie de l’emploi à vie dont bénéficient les fonctionnaires ne repose sur aucune utilité commune, elle n’est qu’un privilège qui permet aux gouvernements corrompus d’asservir ceux qui participent au fonctionnement de la technostructure. Ce privilège est en outre une violation des droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme dont le principe de l’égalité des droits ne repose que sur l’utilité commune. Il n’y a aucune utilité commune à accorder à des fonctionnaires le bénéfice de la sécurité de l’emploi à vie, et de la refuser aux membres de la société civile. C’est si vrai, qu’un fonctionnaire s’il a des privilèges indus, et ils sont nombreux et illégitimes, n’a pas la liberté d’expression (obligation de réserve), même et surtout lorsqu’il constate des manquements sérieux à la loi et aux droits de l’homme... Ce n’est jamais un fonctionnaire qui dénonce une corruption, ou un délit dans la fonction publique, comme lui en fait pourtant obligation l’article 40 du Code de procédure pénale. La seule justification de la protection de l’emploi à vie ne réside que dans la volonté des gouvernements corrompus de reconstituer les privilèges (attention je pense aux ministres et leurs privileges et ... leurs avantages salariales ).
Nous avons vu précédemment que la DDHC est une proclamation de droits, mais aussi de devoirs, comme il est précisé dans le préambule. Ceux qui déplorent de ne pas y trouver de devoirs font manifestement une lecture peu attentive de cette Déclaration. En effet, dès ce premier article, lorsqu’il est parfaitement compris dans ses intentions précises, nous trouvons les droits de liberté et d’égalité juste, et non d’égalitarisme dogmatique et despotique. Cette liberté implique une nécessité de connaissance, devoir d’une grande noblesse, car seule la connaissance est libératrice pour soi mais aussi pour les autres. Et l’égalité de droits proportionnelle aux mérites du niveau de responsabilité assumé au service de l’utilité commune, ce qui implique un devoir de générosité, de dévouement et de fraternité. Nous seulement la DDHC est juste, mais elle est à l’image de la Divine Providence de laquelle elle reçoit une forte inspiration, c’est-à-dire morale et vertueuse. Il n’y a pas de liberté dans l’ignorance, et d’égalité de droits qui ne soit proportionnelle à l’égalité de devoirs. Ceux qui s’imaginent que l’ignorant, le paresseux, l’égoïste, l’incompétent, l’irresponsable et le nuisible à l’utilité commune, peuvent se prévaloir d’une égalité de droit se fourvoient complètement. La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, se veut une déclinaison de la Justice Divine qui n’accorde à chacun que selon ses mérites. Ici, les mérites sont estimés à l’aune d’une fraternité humaine et d’une utilité commune. Ce n’est certes pas comparable en perfection à la Justice Divine, mais cela a au moins l’ambition de vouloir en suivre l’exemple, ce qui lui confère une supériorité indiscutable sur une justice humaine uniquement au service de gouvernements corrompus et des privilèges.
Ne croyez surtout pas que chaque mot, chaque tournure de phrase de cette DDHC soit le fruit d’un hasard ou de lieux communs paresseusement véhiculés. Nos parlementaires historiques ont pris le soin de peser chaque expression sur les plus fines balances. Le sens de chaque proposition n’a pas pour vocation de traiter un sujet spécifique d’une époque donnée, ce qui aurait eu pour effet de rendre cette Déclaration, en tout ou partie, obsolète avec le temps. Comme tout ce qui s’ouvre à la Divine Providence, la DDHC a une préoccupation d’universalité, elle se place sur le plan des principes et s'efforce de s’approcher autant qu’il lui est possible de l’intemporel. C’est pour cette évidente raison qu’elle n’a pas pris une ride, et que son effet est tout aussi subversif, pour un gouvernement corrompu, qu’il l’était à l’origine.
Lorsque chaque membre du corps social de ce pays se sera réapproprié ses droits naturels, inaliénables et sacrés, notamment en exigeant qu’aucun acte législatif ou exécutif ne puisse leur porter la plus petite atteinte, alors la corruption sera dans l’obligation de reculer. Les vices s’installent dans une conscience tant que les vertus ne se manifestent pas. Dés qu’elles se manifestent, ce qui demande au début volonté, courage, effort et obstination, les maires du palais (les vices) qui usurpaient le trône du pouvoir, rentrent à nouveau dans le rang et se mettent au service de leur souverain, la Conscience volontaire exprimant les forces des vertus.
En oubliant sa personne, il s'impose au monde.
Sans désirs pour lui-même, ce qu'il entreprend est parfait.
Il s'était assis à la dernière place.
C'est pour cela qu'il se retrouve à la première.
Il convient donc bien de considérer que l’égalité dont fait état ce premier article de la DDHC de 1789, n’est pas une égalité injuste, arbitraire et régressive, mais est une égalité de traitement dans l’attribution de droits qui varient selon les mérites manifestés au service du bien commun. La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, n’instaure pas une égalité aveugle et injuste, comme le croient les ignorants et les incultes, mais une égalité juste, celle qui repose sur le niveau de compétences et de responsabilités assumées. Nous avons vu que la liberté d’un ignorant n’était qu’une étroite prison de certitudes dérisoires. L’amplitude de cette liberté ne pouvant s’élargir qu’avec une plus large amplitude donnée à un champ de connaissance. Tous les membres d’un corps social ne peuvent pas avoir les mêmes qualités, compétences et facultés qui permettent de se hisser au plus haut niveau de connaissance et de responsabilité. La liberté qui est étroitement liée à la responsabilité ne pourra donc pas être la même pour tous dans les faits, même si elle est la même pour tous en principe. Voilà ce que contient ce premier article, si méconnu dans son application pratique et son dessein. Il nous dit que tous les êtres humains ont potentiellement les mêmes facultés et possibilités, mais il y en a certains qui les utilisent beaucoup plus que d’autres, et ceux-là nécessairement conquièrent plus de liberté et de droits par le service qu’ils rendent à la communauté.
Ici notons que la responsabilité est nécessairement affaire de degré. Plus ce degré est élevé et plus la responsabilité est grande, et la plus grande de toutes les responsabilités est celle qui consiste à se sentir responsable des autres.
Rappelons que cet article ne peut être parfaitement applicable qu’à la condition que n’existe plus aucun privilège, car un privilège revient toujours à accorder des droits à ceux qui n'en ont pas les mérites, d'où l'inégalité de traitement et l'injustice qui en découlent. Ce principe de la suppression des privilèges était encore clairement affirmé dans la première Constitution de 1791 :
“L'Assemblée nationale voulant établir la Constitution française sur les principes qu'elle vient de reconnaître et de déclarer, abolit irrévocablement les institutions qui blessaient la liberté et l'égalité des droits. - Il n'y a plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinctions d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie, ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité, que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions. - Il n'y a plus ni vénalité, ni hérédité d'aucun office public. - Il n'y a plus, pour aucune partie de la Nation, ni pour aucun individu, aucun privilège, ni exception au droit commun de tous les Français. - Il n'y a plus ni jurandes, ni corporations de professions, arts et métiers. La loi ne reconnaît plus ni vœux religieux, ni aucun autre engagement qui serait contraire aux droits naturels ou à la Constitution.”
Cette réaffirmation de la suppression des privilèges sous quelque forme que ce soit, n’a pas été reprise ni réaménagée dans le préambule de la Constitution de 1958, et pour cause, le statut même des fonctionnaires (et attention je ne suis pas contre les fonctionnaires pour autant car je les défends car ils sont les boucs émissaires injustifiés de nos politiciens sans foi ni loi qui livrent les foctionnaires en pature au peuple pour se dédouaner de leurs responsabilités et de leur manque de courage - voire de leur corruption - dans la crise que nous vivons !!!) tel que nous le connaissons aujourd’hui, comme je le démontrerai de façon indiscutable, n’est que la reconstitution sous une forme moderne des privilèges, des ordres, des titres ne reposant sur aucune utilité commune, et très souvent sur aucun mérite particulier. Pour vous en donner un petit exemple : la garantie de l’emploi à vie dont bénéficient les fonctionnaires ne repose sur aucune utilité commune, elle n’est qu’un privilège qui permet aux gouvernements corrompus d’asservir ceux qui participent au fonctionnement de la technostructure. Ce privilège est en outre une violation des droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme dont le principe de l’égalité des droits ne repose que sur l’utilité commune. Il n’y a aucune utilité commune à accorder à des fonctionnaires le bénéfice de la sécurité de l’emploi à vie, et de la refuser aux membres de la société civile. C’est si vrai, qu’un fonctionnaire s’il a des privilèges indus, et ils sont nombreux et illégitimes, n’a pas la liberté d’expression (obligation de réserve), même et surtout lorsqu’il constate des manquements sérieux à la loi et aux droits de l’homme... Ce n’est jamais un fonctionnaire qui dénonce une corruption, ou un délit dans la fonction publique, comme lui en fait pourtant obligation l’article 40 du Code de procédure pénale. La seule justification de la protection de l’emploi à vie ne réside que dans la volonté des gouvernements corrompus de reconstituer les privilèges (attention je pense aux ministres et leurs privileges et ... leurs avantages salariales ).
Nous avons vu précédemment que la DDHC est une proclamation de droits, mais aussi de devoirs, comme il est précisé dans le préambule. Ceux qui déplorent de ne pas y trouver de devoirs font manifestement une lecture peu attentive de cette Déclaration. En effet, dès ce premier article, lorsqu’il est parfaitement compris dans ses intentions précises, nous trouvons les droits de liberté et d’égalité juste, et non d’égalitarisme dogmatique et despotique. Cette liberté implique une nécessité de connaissance, devoir d’une grande noblesse, car seule la connaissance est libératrice pour soi mais aussi pour les autres. Et l’égalité de droits proportionnelle aux mérites du niveau de responsabilité assumé au service de l’utilité commune, ce qui implique un devoir de générosité, de dévouement et de fraternité. Nous seulement la DDHC est juste, mais elle est à l’image de la Divine Providence de laquelle elle reçoit une forte inspiration, c’est-à-dire morale et vertueuse. Il n’y a pas de liberté dans l’ignorance, et d’égalité de droits qui ne soit proportionnelle à l’égalité de devoirs. Ceux qui s’imaginent que l’ignorant, le paresseux, l’égoïste, l’incompétent, l’irresponsable et le nuisible à l’utilité commune, peuvent se prévaloir d’une égalité de droit se fourvoient complètement. La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, se veut une déclinaison de la Justice Divine qui n’accorde à chacun que selon ses mérites. Ici, les mérites sont estimés à l’aune d’une fraternité humaine et d’une utilité commune. Ce n’est certes pas comparable en perfection à la Justice Divine, mais cela a au moins l’ambition de vouloir en suivre l’exemple, ce qui lui confère une supériorité indiscutable sur une justice humaine uniquement au service de gouvernements corrompus et des privilèges.
Ne croyez surtout pas que chaque mot, chaque tournure de phrase de cette DDHC soit le fruit d’un hasard ou de lieux communs paresseusement véhiculés. Nos parlementaires historiques ont pris le soin de peser chaque expression sur les plus fines balances. Le sens de chaque proposition n’a pas pour vocation de traiter un sujet spécifique d’une époque donnée, ce qui aurait eu pour effet de rendre cette Déclaration, en tout ou partie, obsolète avec le temps. Comme tout ce qui s’ouvre à la Divine Providence, la DDHC a une préoccupation d’universalité, elle se place sur le plan des principes et s'efforce de s’approcher autant qu’il lui est possible de l’intemporel. C’est pour cette évidente raison qu’elle n’a pas pris une ride, et que son effet est tout aussi subversif, pour un gouvernement corrompu, qu’il l’était à l’origine.
Lorsque chaque membre du corps social de ce pays se sera réapproprié ses droits naturels, inaliénables et sacrés, notamment en exigeant qu’aucun acte législatif ou exécutif ne puisse leur porter la plus petite atteinte, alors la corruption sera dans l’obligation de reculer. Les vices s’installent dans une conscience tant que les vertus ne se manifestent pas. Dés qu’elles se manifestent, ce qui demande au début volonté, courage, effort et obstination, les maires du palais (les vices) qui usurpaient le trône du pouvoir, rentrent à nouveau dans le rang et se mettent au service de leur souverain, la Conscience volontaire exprimant les forces des vertus.
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