" Mes amis , réveillons-nous . Assez d'injustices ! " L'Abbé Pierre

lundi 14 novembre 2011

Je suis tout simplement indigné !

Quand je vois les affaires Strauss Kahn avec les police corrompue à haut niveau dans des affaires de prostitutions de luxe qui ont été étouffées depuis des années alors que tout le « grand monde des politiciens » savait …
Quand je vois ce monde économique sauvage , inhumain et corrompu qui courre à sa perte et qui fait petit à petit le lit des partis extrémiste comme en 1929-1939 ...
Quand petit à petit je vois disparaitre les especes animales à coup de nucléaire et de produits chimiques ...
Je suis indigné …
Pauvre monde… Pauvre France…
Nous vivons dans un monde, une époque devrais-je dire, où la plupart des valeurs sont inversées ou sont sur le point de l’être.
Depuis déjà quelques années, j’observe la société et ce que je subodorais devient une évidence. Nous vivons tous tant bien que mal (pour la plupart d’entre nous) dans un « monde à l’envers ».
L’on vit de plus en plus la nuit et l’on dort le jour, du moins beaucoup se lèvent la journée déjà bien avancée ; du coup, ceux qui vivent normalement le jour – on se demande où est la norme actuellement – ne peuvent dormir la nuit car cela est trop bruyant ! De ce fait, la journée n’est pas bonne, on est mal tandis que les oiseaux de nuit dorment à poings fermés jusqu’à des heures indues. N’avez-vous pas constaté cet étrange comportement de certains de nos concitoyens ? Moi, si !
Il y a de plus en plus d’oiseaux de nuit et de moins en moins d’oiseaux de jour… Ce n’est pas normal.
Pauvre monde… Pauvre France…
Je constate également qu’un nombre grandissant de criminels en tous genres, de fraudeurs, de magouilleurs, de pourris de toutes espèces courent tranquillement les rues et vaquent à leurs sales besognes, à leurs occupations très contestables du point de vue de la morale ; tandis que les braves gens, les honnêtes citoyens sont suspectés, harcelés, mis au banc des accusés, passés au crible par tout un lot d’administrations pseudo-fisco-bureaucrates qui n’ont rien de mieux à faire que de dépenser l’argent des contribuables en s’acharnant sur les petites gens au lieu de s’occuper de ceux qui pourrissent la société par les racines et sèment le mal, la débauche, la perversion à tous les étages, la fraude fiscale organisée, le vol – ou le viol -, le crime, le recel, les trafics de toutes natures… Voilà ce qui pourrit, gangrène, tue la société !
Les vraies valeurs sont totalement faussées, déplacées. Les centres d’intérêt sont déviés de leur axe. Rien n’est à sa place, rien n’est là où cela devrait être. Il y a vraiment quelque chose qui ne va pas ! Il y a un mal terrible qui ronge et grignote le monde en dedans, qui fait des ravages irréversibles dont nous commençons à entrevoir les effets dévastateurs. Quand la nuit devient le jour, c’est très inquiétant.
Alors, ouvrez les yeux ! Oh mon Dieu ! Voyez ce que je vois ! Je vous assure, je n’ai pas la berlue… Arrêtons la politique de l’autruche. Il est grand temps de mettre la tête hors du sable ! Je m’en vais vous le prouver.
Pauvre monde… Pauvre France…
Pour ce qui est des mœurs de la société actuelle, là aussi, il semble que les valeurs soient inversées, complètement faussées. Il apparait presque comme un fait admis – ou pour le moins, en passe de l’être – que pour se divertir, s’éclater comme ils disent, passer du bon temps, il faille désormais consommer des alcools allant de la simple petite mousse au bon vieux whisky de derrière les fagots, en passant par le gros rouge pas cher mais qui racle bien et la vodka frappée car ça fait chic… Tu parles ! Tout cela jusqu’à plus soif, jusqu’à tituber, jusqu’à ne plus tenir debout et se retrouver à quatre pattes dans la rue tel un animal, jusqu’à délirer totalement, jusqu’à devenir agressif et violent, tel barbare, cela même envers des êtres chers, des proches ! C’est non seulement très inquiétant mais intolérable.
Et comme si cela ne suffisait pas, il faut y ajouter une forte consommation d’excitants, de drogues « licites » telles barbituriques ou anxiolytiques, à des drogues parfaitement illicites telles shit, coke, héroïne, lsd, extasie, crack et j’en oublie certainement ! Ceci jusqu’à l’overdose quasi quotidienne, jusqu’au coma souvent, jusqu’à la mort parfois. Vous voyez ce comportement dans toutes les couches de la société, se faisant dans une large tranche d’âge allant de treize à soixante-dix ans, grosso modo.
Il est comme établi de s’attaquer à la jeunesse – alors que d’un autre côté, à l’inverse, on pratique le jeunisme à outrance – car il faut la contaminer pour que le Mal gagne du terrain rapidement pour finir par les plus âgés que l’on aurait pu croire raisonnables. Il n’en est rien ! La société trouve cela bien, chic, à la mode, dans le vent, c’est branché comme ils disent… Qu’est-ce que c’est que ce monde ? Je vous le demande. Il y a décidément des tas de choses qui ne vont pas.
Pauvre France… Pauvre monde…
Mais… Ce n’est pas tout ! Non. Vous n’avez pas tout vu ! Je vais appuyer un peu plus là où ça fait mal, bien remuer le couteau dans la plaie… Car vertu et vice sont aussi des valeurs inversées.
Il semble admis comme normal ou quasiment, d’avoir des mœurs sexuelles bizarres, sortant de la « norme ». L’on peut se poser la question : qu’est-ce que la norme ? On en finirait pas croire que la normalité est d’être hors la norme et vis et versa.
Force est de constater qu’il y a une recrudescence des échanges entre amis, c’est très à la mode, n’est-ce pas… Des échanges entre couples également, je te prête ma femme, tu me prêtes ton mari… Surtout dans la bourgeoisie, c’est monnaie courante. On s’encanaille ! On se dévergonde ! On est blasé alors il nous faut des sensations nouvelles, de grands frissons et puis comme on a plein de blé à ne plus savoir qu’en faire, on y met le paquet ! C’est purement et simplement écœurant. Les adultes sont consentants, bien entendus. Le problème des valeurs faussées c’est lorsque ces échanges en viennent à y mêler des plus jeunes, voire même des très jeunes et là, ça ne le fait vraiment plus. C’est parfaitement indécent. Et je ne parle même pas de ceux et celles qui y mêlent les animaux. Là, c’est carrément répugnant et scandaleux. D’autant vous diront que c’est exotique ! Toute cette clique dépravée se reconnaitra. Certains même se vantent avec véhémence de leurs exploits. What a shame !
Et puis, n’oublions pas, il faut accessoiriser tout ceci, de plus en plus, pour corser les sensations, pour pimenter la chose ! Ben voyons… Je ne vous citerais pas, ici, tous les accessoires dont les sex-shops et autres lieus de perdition font leurs choux gras. Ce n’est pas joli du tout… La société est complètement décadente, c’est « Sodome et Gomorrhe » le retour !
Pourquoi ce besoin de débauche et de vices ? Parce que la société, le monde doivent pourrir et ils le feront d’autant plus rapidement s’ils sont pervertis. C’est une évidence !
Et tout le monde trouve que c’est super, que l’on a bien le droit de s’éclater ! Quand le vice devient vertu, il y a beaucoup de souci à se faire sur le devenir du monde.
Pauvre France… Pauvre monde…
Venons-en au fric. Ah ! Le fric… L’un des dieux actuels. Le culte du Veau d’Or est de nouveau à la mode.
Convoitise, pouvoir, besoin de puissance, envie de contrôle, sensation de maîtrise… Que de fausses impressions, de sentiments factices, de sensations erronées… Poudre aux yeux ! Rien que de la poudre aux yeux.
Il faut prendre aux pauvres pour donner aux riches. Tout le monde sait cela, n’est-ce pas ? C’est ainsi que les pauvres deviennent de plus en plus nombreux et de plus en plus pauvres et que les riches s’engraissent de plus en plus aux détriments des premiers. Et tout le monde trouve cela normal. On laisse faire, on suit le troupeau comme des moutons, bêtement, sans réaction… Incroyable ! Pourtant c’est vrai.
Où cela va-t-il conduire la société ? A l’effondrement, à l’implosion, à l’anéantissement, pur et simple. Mais n’est-ce pas le but après tout ?
Ah ! La crise… The Crise ! Elle a bon dos la crise. En tous les cas, elle n’est pas pour tout le monde loin de là et je le constate chaque jour. Je n’ai jamais vu rouler autant de gros cubes auto ou moto, de 4X4, de pick-up, de voitures de luxe, des voitures énormes qui font un bruit d’enfer, qui en mettent – c’est ce qu’ils croient – plein la vue !
Les gens ne vous parlent plus que de leurs vacances, de leurs voyages, de leurs week-ends à droite ou à gauche, de leurs sorties, de théâtre, de cinéma, de restaurants, de grandes bouffes chez unetelle ou untel, de fringues de marque (surtout !) très à la mode… Un « rien » les habille ! Un rien qui coûte la peau du cul !
Vous n’avez pas le sou, vous n’arrivez pas à boucler vos fins de mois, vous êtes surendetté mais ils vous en mettent plein la vue, ils vous flanquent à la figure tout leur fric… C’est puant ! Et pourtant on dit que l’argent n’a pas d’odeur ? Je ne suis pas d’accord. L’argent ça pue. L’argent appelle l’argent et l’on ne prête qu’aux riches. Bien entendu. Ceux qui n’en ont pas peuvent bien crever, cela n’est pas grave. Tandis que ceux qui en ont – et qui vous le font savoir – se sentent bien, à l’aise dans leurs baskets à 250 euros la paire, propre sur eux, confiants, beaux comme des Apollons et certains d’avoir réussi. Pff ! Show off !
Il faut cependant reconnaître que le fric mène la danse dans le monde actuel. Il n’y en a que pour lui. Il régit et gouverne tout. Que vous le vouliez ou non, c’est ainsi. On a dévié la fonction initiale de l’argent. On en a fait un but, un objectif à atteindre et non plus un moyen. Remettre l’argent à sa place dans sa fonction initiale serait pure utopie et peine perdue. L’argent va gagner encore plus de terrain, va prendre de plus en plus d’importance et pourrira encore plus de gens dans le monde. C’est bien pire que la fièvre de l’or. Certains tuent déjà pour le fric, d’autres tueront pour lui. L’argent est meurtrier et sans doute l’un des plus grands. Quand la richesse devient un objectif mondial, on peut se demander jusqu’où cela peut aller et qu’adviendra-t-il de toute une population qui trime sang et eau pour quelque maigre monnaie… La question est posée.
Il est bien trop tard pour faire machine arrière. Sa puissance se décuple de façon exponentielle et cela foutra la Terre en l’air ! S’il est vrai que l’argent a toujours, plus ou moins, gouverné le monde, c’est devenu actuellement une frénésie galopante, une vraie folie qui mènera l’humanité à sa perte. Mais ce que j’en dis… Pessimiste, moi ? Non. Réaliste.
Pauvre monde… Pauvre France…
Quel est ce monde où l’on veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes ? On nous prend vraiment pour des atrophiés du cerveau ! Voilà qu’on veut nous faire croire au grand retour de l’écologie. C’est très à la mode en ce moment. Les écologistes de nos jours sont les pires que je connaisse.
Jamais on n’a autant gaspillé de matières premières – qui de plus, ne sont pas inépuisables -. Jamais on n’a autant pollué l’atmosphère. La preuve en est que, d’une part, on cherche par tous les moyens et à tous prix des matières de substitution en remplacement de celles qui commencent à manquer et, d’autre part, on a réussi (il faut le faire !) à créer un grand trou irréversible dans la couche d’ozone – notre protection naturelle contre les agressions du cosmos – et que les climats ont été modifiés. La Terre est en train de se réchauffer méchamment au risque de faire fondre les glaces des banquises et de faire monter dangereusement le niveau des mers, de faire disparaitre des espèces animales et végétales de façon définitive mais tout cela n’est pas grave puisque l’écologie est de retour ! On va vous arranger tout ça vite fait bien fait et remettre tout en ordre. C’est vraiment n’importe quoi. On nous prend tous pour des cons. Le pire c’est que certains y croient !
Jamais il n’y a eu autant de cancers de la peau, des poumons, de je ne sais quoi encore. Il en apparait sans cesse de nouveaux. Jamais il n’y a eu autant de maladies respiratoires, d’allergies en tous genres, de dépressions et pas que saisonnières, d’anorexie ou de boulimie, d’insomnie, d’angoisses, de troubles du comportement… J’en passe et des meilleurs. Cela ne vous inquiète pas, vous ? Moi si.
On détruit allègrement les forêts tropicales qui sont nos seules vraies réserves d’oxygène… On détruit à tour de bras les barrières de corail qui sont les poumons de la mer, mais savez-vous que de détruire le corail cela crée un poison mortel qui tue tout ce qui l’environne ?... On pulvérise à tout va engrais, pesticides, insecticides, plein de trucs en « ide » dont personne ne connait la véritable composition chimique ni les effets primaires, secondaires voire tertiaires (à retardement), tels des bombes qui vont nous péter tôt ou tard à la gueule et ce sera bien fait ! On veut jouer les apprentis sorciers alors qu’on n’en est absolument incapable… On verra bientôt le(s) résultat(s).
Des tas d’espèces végétales et animales sont réellement en train de disparaitre totalement de la surface de la Terre, c’est une vraie catastrophe écologique mais comme si cela ne suffisait pas, il faut aussi que l’on se prenne pour Dieu en manipulant la génétique. Fous que nous sommes ! En modifiant la structure moléculaire des organismes vivants pour les rendre, soi-disant, plus forts, plus résistants, plus beaux, plus prolifiques, plus ceci ou plus cela, toujours plus, plus, PLUS ! On est en train de se générer un sacré choc en retour qui va, c’est certain, nous arriver en pleine poire tel un boomerang… ça va faire mal, très mal.
Oups ! Trop tard ! Il fallait y penser avant. On vous avait prévenu mais vous n’avez pas voulu entendre. Tant pis pour vous !
On veut aller contre la Nature mais l’on oublie qu’elle gagne toujours, c’est ce qu’il me semble. Elle reprend toujours ses droits d’une façon ou d’une autre. Et c’est tant mieux. Aller contre nature est une aberration, une abomination, le produit d’esprits tordus et fous à lier ! J’ai toujours su que l’homme était son propre prédateur. Il est devenu, au fil des siècles, son propre bourreau.
L’homme qui se croit génial, le maître du monde, espèce évoluée (sourire), d’une intelligence incomparable… cet homme-là, Mesdames, Messieurs, est en train de se tuer lui-même lentement mais surement et de détruire en même temps toute forme de vie autour de lui. C’est une calamité incroyable et pourtant tellement vraie, tellement réelle… Je crois que si vous ouvrez grand vos yeux, vous en verrez déjà les prémices.
Pauvre, pauvre monde…
Pour preuve infime mais qui a toute son importance, les abeilles. Oui, les abeilles, vous savez ! Ces insectes pacifiques, travailleurs qui sont si utiles à nos vies… Elles sont de moins en moins nombreuses, elles disparaissent progressivement mais de façon certaine de la surface de la planète. Cela est grave, très grave parce qu’à plus ou moins brève échéance, c’est l’avenir de l’homme qui est amené à disparaitre. Comment ça ? Me direz-vous. Réfléchissez. C’est pourtant simple et tellement évident !
S’il n’y a plus d’abeilles, qui va polliniser les fleurs, les arbres fruitiers ? L’homme saura-t-il se substituer à l’abeille dans le laborieux et délicat travail de pollinisation ? Je suis persuadée que non. Rien ne vaut les abeilles pour cela, elles savent exactement ce qu’elles ont à faire, quand et où et ce, depuis l’aube des temps.
Plus d’abeilles… Plus de fleurs, plus de fruits, plus de légumes, plus d’arbres, plus de plantes, plus de verdure. Cela signifie pour l’homme, plus d’oxygène à respirer et surtout plus de nourriture de base. L’homme est condamné à dépérir lui aussi à plus ou moins longue échéance.
Comment mangerons-nous ? Comment respirerons-nous ? Il faudrait que nous envisagions d’emblée des moyens de substitution à ces deux facteurs vitaux. Je ne pense pas que cela soit déjà le cas. Nos préoccupations ne sont vraiment pas là où elles devraient l’être. Tout est inversé, on fonctionne à l’envers, rien ne va plus dans ce monde… C’est une bien triste constatation, certes, mais ô combien vraie !
L’écologie, pff ! J’en suis revenu. C’est une énorme blague moderne, une immense fumisterie mais cela ne me fait pas rire du tout, non.
Et vous ?
Nous courrons tous à notre perte à cause de notre folie du pouvoir, notre besoin insensé de destruction, notre attachement au vice et à la luxure, notre appât du gain, notre besoin de consommer et d’avoir toujours plus, plus, plus, PLUS ! STOP ! ASSEZ !
Trop c’est trop.
Pauvre, pauvre monde…
Aurait-on oublié les lois les plus élémentaires du respect de l’environnement ? Il est où le respect des droits, de l’homme, de la Nature, de la vie ? Nulle part, pas que je sache et pourtant je ne suis pas aveugle, ni sourd. Les sept péchés capitaux ? Hélas oui, c’est ce qui mène déjà l’homme à sa perte.
Qu’il se réveille vite, si tant est qu’il n’est pas déjà trop tard…





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