La justice humaine définition , permettez-moi d'etre cynique tant elle est aujourd'hui supercherie et tromperie ...
La justice des sociétés humaines , aujourd'hui , n’est que le reflet des vices qui accablent l’ensemble des membres qui composent ces sociétés, c’est pour cette raison que le vocable de «justice» ne désigne qu’une administration et jamais la Vertu Cardinale connue sous le même nom de Justice.
La justice humaine sera donc désignée sur ce blog par un «j» minuscule, et la Vertu Cardinale, expression de la Justice Divine, par un «J» de majesté.
Cette justice humaine est à l’image de ceux qui sont censés la faire et la rendre : ignorante, incompétente, prétentieuse au-delà même du ridicule des accoutrements dont se plaisent à se vêtir les plus hauts dignitaires de cette institution ; vaniteuse, arrogante, suffisante, génératrice des pires insécurités ; corrompue par ses complaisances et ses lâchetés ; servile avec les puissants, implacable avec les faibles. Par son dévoiement elle est une atteinte permanente aux libertés individuelles, et le coeur battant de tous les totalitarismes.
La justice humaine, lorsqu’elle fait reposer son existence sur des lois alambiquées, mal conçues, mal rédigées, contradictoires et prolifiques au point de parvenir à noyer l’entendement des plus experts de ses serviteurs, devient l’expression du vice et de la pire des corruptions.
La première de ces corruptions que cultive la justice humaine provient de son mépris et de sa volontaire ignorance qu’elle fait de la Déclaration des Droits de l’homme de 1789, comme d’ailleurs le stipule si justement son préambule.
Montesquieu disait : celui qui fait exécuter les lois doit y être soumis.
Voilà la deuxième corruption de cette institution judiciaire, aucun de ceux qui font exécuter les lois ne sont juridiquement et personnellement responsables de cette exécution.
J.J. Rousseau disait aussi: Si l’on me demandait quel est le plus vicieux de tous les peuples, je répondrais sans hésiter que c’est celui qui a le plus de lois. La multitude des lois annonce deux choses également dangereuses et qui marchent presque toujours ensemble, savoir que les lois sont mauvaises et qu’elles sont sans vigueur.
Pour ce qui est des atteintes aux libertés que porte cette justice corrompue, je résumerai par cette citation encore empruntée à Montesquieu :
Il n’y a pire dictature que celle qui s’exerce au nom des lois et sous les couleurs de la justice...
Ou encore ce que disait Tacite : le pire des gouvernements est celui qui promulgue le plus de lois.
Surtout lorsque cette singerie de justice ne respecte même pas ses propres règles...
La justice humaine est sans conscience, sans noblesse, sans dignité, d’une moralité plus que douteuse et liberticide.
La justice humaine sera donc désignée sur ce blog par un «j» minuscule, et la Vertu Cardinale, expression de la Justice Divine, par un «J» de majesté.
Cette justice humaine est à l’image de ceux qui sont censés la faire et la rendre : ignorante, incompétente, prétentieuse au-delà même du ridicule des accoutrements dont se plaisent à se vêtir les plus hauts dignitaires de cette institution ; vaniteuse, arrogante, suffisante, génératrice des pires insécurités ; corrompue par ses complaisances et ses lâchetés ; servile avec les puissants, implacable avec les faibles. Par son dévoiement elle est une atteinte permanente aux libertés individuelles, et le coeur battant de tous les totalitarismes.
La justice humaine, lorsqu’elle fait reposer son existence sur des lois alambiquées, mal conçues, mal rédigées, contradictoires et prolifiques au point de parvenir à noyer l’entendement des plus experts de ses serviteurs, devient l’expression du vice et de la pire des corruptions.
La première de ces corruptions que cultive la justice humaine provient de son mépris et de sa volontaire ignorance qu’elle fait de la Déclaration des Droits de l’homme de 1789, comme d’ailleurs le stipule si justement son préambule.
Montesquieu disait : celui qui fait exécuter les lois doit y être soumis.
Voilà la deuxième corruption de cette institution judiciaire, aucun de ceux qui font exécuter les lois ne sont juridiquement et personnellement responsables de cette exécution.
J.J. Rousseau disait aussi: Si l’on me demandait quel est le plus vicieux de tous les peuples, je répondrais sans hésiter que c’est celui qui a le plus de lois. La multitude des lois annonce deux choses également dangereuses et qui marchent presque toujours ensemble, savoir que les lois sont mauvaises et qu’elles sont sans vigueur.
Pour ce qui est des atteintes aux libertés que porte cette justice corrompue, je résumerai par cette citation encore empruntée à Montesquieu :
Il n’y a pire dictature que celle qui s’exerce au nom des lois et sous les couleurs de la justice...
Ou encore ce que disait Tacite : le pire des gouvernements est celui qui promulgue le plus de lois.
Surtout lorsque cette singerie de justice ne respecte même pas ses propres règles...
La justice humaine est sans conscience, sans noblesse, sans dignité, d’une moralité plus que douteuse et liberticide.
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