Le " non " l'a très largement emporté dimanche, recueillant plus de 60 % des suffrages. Les Grecs ont très majoritairement voté dimanche contre le plan d’austérité des institutions européennes, contre le dicktat des institutions européennes à la solde des financiers ! ! !
Pour que cette dynamique s’installe, il faut que tout le monde s’entende vite et que les écuries enivrées par la primauté des élections présidentielles, comprennent comme en Espagne et en Grèce qu’un seul résultat compte pour le peuple, la victoire.
Que cette victoire suppose une réinvention de ce que nous sommes, pour réveiller la mobilisation citoyenne et que toutes les forces en présence assimilent l’importance du moment historique, là où se joue la bifurcation définitive vers une Europe allemande et américanisée, au détriment du consensus social relatif de l’après-guerre.
Oui, ce 5 juillet, en Grèce, suite à un terrible coup d’étranglement financier, comme avait déjà pu en connaître la gauche dans l’histoire (le gouvernement Allende lui même avant l’attaque militaire), le camp de l’alternative est victorieux ! Pour les décroissants, écologistes, écosocialistes, les régulationnistes keynésiens, les socialistes qui le sont encore, s’ouvrent maintenant les perspectives d’infléchir la terrible machine supranationale et pervertie que la Grande Coalition nous a imposée, malgré le referendum de 2005. Mais, au Sud et au Nord des Pyrénées, il faudra continuer à avancer.
Et ce dimanche 5 juillet 2015, un vent chaud d’espoir nous parvient d’Athènes . Gloire à Dieu.
Pour que cette dynamique s’installe, il faut que tout le monde s’entende vite et que les écuries enivrées par la primauté des élections présidentielles, comprennent comme en Espagne et en Grèce qu’un seul résultat compte pour le peuple, la victoire. Que Dieu nous entende et nous protege.
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